L Homme Fondamentalement Bon Ou Mauvais

diffuseurs traditionnels des fabliaux. Quoi qu’il en soit, il est certain que les fabliaux appartiennent à une littérature orale dans laquelle la présence du conteur se manifeste constamment, et qu’ils exploitent un fons traditionnel et intemporel de bonnes histoires à rire qu’ils se limitent à actualiser pour leur donner une plus grande puissance comique. 3. Le fabliau, « miroir du temps » Les fabliaux étaient un « miroir du temps ». Beaucoup de textes citent des noms de lieux précis

dans la cité de Mantoue à une époque où les Transpadans n'avaient pas encore la citoyenneté romaine. Des traditions qui remontent très haut et qui trouvent dans son œuvre de singuliers appuis font de lui un rural, ce qui dans une civilisation fondamentalement urbaine est, en revanche, assez exceptionnel ; mais ce fut là sans doute une des premières chances du futur poète. On localise sans invraisemblance le domaine de Virgile près du bourg de Góito, à l'endroit où la route de Mantoue à Brescia franchit

physiologique (activité hormonale, désir du corps) Ex : beauté du corps / désir sexuel. Plusieurs amours… -Pour une personne -Un sentiment (Amitié / désir / attirance / passion amoureuse) -Amour maternel (instinct biologique de protection) -Entre un homme et une femme 2) Ensuite, un sentiment pour une personnalité (pour le corps et l’esprit) Ex : les qualités (psychologiques / morales / intellectuelles) 2 cas limites : - La Pure Antiquité - L’Amour Platonique Héloïse

n’appliqueraient pas, et que lui-même n’appliquera pas de la même façon la prochaine fois. Alors que l’objet technique est uniforme, il n’y a pas d e critère de différence tellement la ressemblance est forte. L’objet technique va montrer le rapport Homme/Nature dans la mesure où l’Homme modifie la matière naturelle pour arriver à un objet qui n’aurait pas eu lieu d’être au naturel. L’objet technique à pour vocation son utilisation. Technique : La tekhnè ou technê, désigne le savoir-faire des métiers

que ce qui est interdit soit véritablement un mal puisque c’est la crainte d’un autre mal (celui du châtiment) qui est sensé nous détourner du premier. Un véritable mal devrait-il avoir besoin qu’on l’interdise s’il était réellement et seulement mauvais ? Notre dégoût ne nous en détournerait-il pas spontanément ? Faut-il que le mal prenne les apparences trompeuses et séductrices d’un bien pour justifier le recours à l’interdiction ? Faut-il qu’il y ait de telles différences (de maturité, d’expérience

d’ici-bas pour le processus d’efficacité, et les deux mondes pour le processus de réussite. Etre efficace, entre autres, c’est réussir un acte, une action, une tâche, un travail, bref une réalisation rapporté à un objectif fixé au préalable. Or tout homme croyant sait que le travail ou l’exercice d’un effort est à la fois une joie et un châtiment qu’Allah nous ordonne de l’accomplir uniquement dans le monde d’ici-bas: «Celui qui a créé la mort et la vie pour

un objet, cet objet nous devient désirable. Nous désirons ce que désire l'autre parce que son désir rend la chose désirable.Une fois l'objet en notre possession nous avons besoin d'être désiré et reconnu à notre tour. Le désir apparaît alors fondamentalement comme un désir de reconnaissance. Prenons l'exemple de l'enfant qui se met à désirer le même jouet que l'autre enfant vient de prendre alors que jusque là, le jouet lui était indifférent. Hegel montre que ce désir prend la forme d'une lutte à

les armes, à recourir à la force pour imposer la volonté disons du « groupe » – volonté présentée régulièrement comme l’expression d’un « droit » - au groupe adverse. Les belligérants prétendent soutenir leur droit – ou ce qu’ils croient être leur bon droit – par la force. Droit à un territoire, par exemple, ou droit à la sécurité, ou à la liberté, etc. Mais s’il est vrai que la guerre présuppose un conflit sur des « droits », elle n’est pas le conflit lui-même. Elle est le choix de la force pour

(ce tout-pouvoir étant bien inutile puisque contrecarré immédiatement par plus fort que soi..etc.) : il serait le socle de l’organisation sociale, avec ses restrictions morales et sexuelles, sa religion . Freud nous indique toutefois que « les mauvais penchants ne disparaissent pas, ne sont jamais déracinés mais seulement refoulés ». L’être vivant préserve le plus souvent sa propre vie en détruisant celle de l’autre (soit pour se nourrir de lui, soit pour s’en préserver). Selon ce dernier, la guerre

sensibiliser son auditoire et de le convaincre de se mobiliser contre la misère, considérée un mal à éradiquer (niveau micro). 2.2 la conception de misÈre La misère est normalement définie comme un état d'extrême pauvreté, le manque de ce qui est fondamentalement nécessaire à la vie, résultant d’un découragement spirituel, malheur et un sens de désolation. Selon Hugo la misère est une maladie (3), un démon qui afflige le peuple et qui doit être éradiqué du sol français. Dans le texte, on peut voir comme