L Homme N Est Pas Fait Pour Agir Mais Pour Méditer

le chemin.» (Henry Miller) «Il est toujours plus plaisant de suivre que de guider.» (Montaigne) «Un chef est un homme qui a besoin des autres.» (Paul Valéry) «Le plus grand conquérant est celui qui sait vaincre l’ennemi sans effusion de sang.» (Proverbe chinois) «Il y en a qui sont fait pour commander et d’autres pour obéir. Moi, je suis fait pour les deux : ce midi j’ai obéi à mes instincts en commandant un deuxième pastis.» (Pierre Dac) « Un chef a un devoir

deviennes. Il a des choses à te dire et à te révéler uniquement s'Il a la possibilité de te les dire face à face comme un homme parle à son ami. Jésus ne nous appelle plus seulement serviteur mais ami : quel privilège ! Jean 15:15 Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père. Il veut marcher avec vous, parler avec vous et partager sa vie avec vous

celle-ci beaucoup plus dépendante de la circonstance historique. Je crois, au moins dans le cas des grandes créations de l’esprit, à une pensée, celle-ci implicite ou même inconsciente, qui par déplacements ou condensations travaille là comme le rêve le fait, le rêve des nuits, et avec alors allégeance à d’autres préoccupations ou intuitions ou croyances que celles que l’on décèle dans l’époque ou même la langue contemporaines. En d’autres mots, il y a plusieurs niveaux de pensée dans tout ce qui est écriture

| | | |23 avril |-les mesures financières, les ministres de l’économie. |132 | | | |De Gaulle, homme et chef |138-141 | | | | |143 | | |Mars

semblant être fort grande, j’ai attendu que j’eusse atteint un âge qui fût si mûr que je n’en pusse espérer d’autre après lui auquel je fusse plus propre à l’exécuter ; ce qui m’a fait différer si long-temps, que désormais je croirois commettre une faute si j’employois encore à délibérer le temps qui me reste pour agir. Aujourd’hui donc que, fort à propos pour ce dessein, j’ai délivré mon esprit de toutes sortes de soins, que par bonheur je ne me sens agité d’aucunes passions, et que je me suis procuré

Christ, entouré à droite et à gauche de ses brebis, m'enchante tellement que je l'ai fait mettre dans l'oratoire où je célèbre habituellement la sainte Messe; et ailleurs j'ai fait graver, pour nous éveiller à la présence de Dieu, les paroles de Jésus: cognosco oves meas et cognoscunt me meae, afin que nous considérions à tout instant qu'Il nous reprend, ou nous instruit et nous enseigne comme le pasteur le fait pour son troupeau. Ce souvenir de Castille vient donc bien à propos. 2 Nous appartenons

dans le petit volume bleu qui parut dans la collection Delaplane, Les Philosophes. Je me suis longtemps demandé pourquoi je n'aimais pas ce résumé exact et bien sage. Le ton me semblait en être tout à fait étranger à l'étonnante entreprise de Spinoza. Oui, il me semblait que je trahissais ce grand homme en l'exposant tout au niveau du bon sens. Cela me semblait trop professeur. La philosophie est certes une grande chose ; on peut en faire tout ce qu'on veut, excepté quelque chose de plat. Il en est

Les Thébains craignent les dieux et le fait qu’il les a offensés les apeure. Comme vous le savez, les dieux ont déjà maudits Thèbes à cause de l’inceste d’Œdipe et Jocaste, alors si Créon les provoque encore une fois, qu’en sera-t-il de nous

de tâcher toujours de me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l’ordre du monde, et plus généralement, de m’accoutumer de croire qu’il n’y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir, que nos pensées, en sorte qu’après que nous avons fait de notre mieux, touchant les choses qui nous sont extérieures, tout ce qui manque de nous réussir est au regard de nous, absolument impossible ». La perspective de Descartes est très voisine de celle des anciens philosophes qui recommandaient de renoncer

me semblant être fort grande, j'ai attendu que j'eusse atteint un âge qui fût si mûr que je n'en pusse espérer d'autre après lui auquel je fusse plus propre à l'exécuter; ce qui m'a fait différer si longtemps que désormais je croirais commettre une faute, si j'employais encore à délibérer le temps qui me reste pour agir. Aujourd'hui donc que, fort à propos pour ce dessein, j'ai délivré mon esprit de toutes sortes de soins, que par bonheur je ne me sens agité d'aucunes passions, et que je me suis procuré