L Homme Peut Il Etre Inhumain

pour défendre leurs idées. En quoi les écrits de certains philosophes du XVIIIème siècle ont-ils favorisé une prise de conscience antiesclavagiste ? I-HISTOIRE DE L’ESCLAVAGE L’histoire de l’esclavage remonte à la « nuit des temps » si l’on peut dire et a évolué de différentes manières. Dans cette partie nous traiterons donc du commencement de l’esclavage, de quoi il est parti, puis des préjugés que portaient les blancs à propos des nègres et de ce qui poussait à l’esclavage et enfin du XVIII

existance, l´Homme a cherché à se connaître, à savoir qui il est et quel est son but dans le monde. La philosophie a ensuite permit aux Hommes, entre autres, de se définir. En tenant compte du langage, de l´art et du travail, les philosophes ont ainsi réussit à différencier l´Homme de l´Animal. Grâce à ses notions, on pourrait affirmer que l´homme est un Être de culture. Cependant, est ce la nature originelle de l´Homme? Est ce que la culture prends le dessus sur la nature de l´homme? Dans « Le Malaise

La peine de mort Peut-on venger le crime illégal par la mort légal? La société a-t-elle le droit de condamner à mort celui qui transgresse les lois et qui porte atteinte à son prochain ? Pendant des siècles la peine de mort était tout ce qu'il y a de plus normal dans les mœurs, elle était même un divertissement au temps de la royauté. Il a fallu les excès de celle-ci pour que la question de son abolition ce pose. La peine de mort est le jugement le plus sévère dans la justice 

irrépressible, impossible à contrôler, ce qui signifie que Don Juan transgresse les limites de la raison, c'est quelqu'un à qui on ne peut pas faire entendre raison, -« c'est un chien », « une bête brute », « un pourceau d’Epicure » : ces métaphores qui comparent Don Juan à des animaux le déshumanisent, réduit à ses pulsions primitives Don Juan est ainsi rendu inhumain, monstrueux et ces qualificatifs le rabaissent au rang d'animal. Rq : Épicure : philosophe grec dont la doctrine lie le plaisir des

OBJET D'ETUDE 2 AU XXè SIECLE, L'HOMME ET SON RAPPORT AU MONDE A TRAVERS LA LITTERATURE ET LES ARTS SEQUENCE 6 : Primo levi, Si c'est un homme / Parcours d'une œuvre intégrale Objectifs : Mettre en relation l'écriture et son contexte historique Identifier le récit de Primo Levi comme un témoignage, quels enjeux ? Savoir présenter l’œuvre à l'oral de contrôle Ce dossier est à rendre pour le :  Vous le complétez en saisissant vos réponses, vous me le rendez imprimé et complet à la

(« condamné »). On peut donc déduire assez facilement que le thème est celui de la peine de mort. En affinant les repérages et l’analyse, on remarque l’opposition entre l’article défini « le » et l’indéfini « un » : le premier insiste sur l’imminence, le caractère inéluctable de la mort, tandis que le deuxième renvoie le condamné à l’anonymat, lui donnant ainsi paradoxalement une valeur générale. Il s’agit donc, pour Hugo, de raconter les derniers instants de la vie d’un homme qui sait que, dans

seulement tâché de rendre vraisemblable ce qui était déjà vrai. » Les personnages Kaliayev : ce personnage porte le nom d’un de ceux qui ont réellement commis l’attentat contre le grand-duc. Il incarne le conflit entre pensée et action. C’est un jeune homme, amoureux de la vie (« J’aime la vie. Je ne m’ennuie pas. Je suis entré dans la révolution parce que j’aime la vie » p. 68 ; « j’aime la beauté, le bonheur ! p. 71), fantaisiste (il change le signal pour s’amuser, p. 61 ), rieur (voir les didascalies

Un être seul est sans compagnie, il n'est point avec d'autres. Il n'a pas de famille, n'est uni à personne par les liens de l'affection, de l'amitié : il vit dans l'isolement. Ces personnes sont donc en quelques sortes coupé du monde, ne sont pas conditionner par une société aux actes égoïste, futiles, et parfois inhumains. Par conséquent, nous aurions envie de dire qu'un homme seul peut bien penser ; c'est à dire méditer, réfléchir et juger avec un raisonnement pertinent. Mais un homme solitaire

En quel sens peut-on dire « summum jus, summa injuria » ? La justice est symboliquement représentée par une femme, les yeux bandés, tenant deux instruments : d’un côté le glaive, de l’autre la balance. Le glaive exprime le pouvoir exécutoire de la justice, sa capacité à trancher et donc, à punir. La balance en revanche indique que la justice est le résultat d’une mesure et que toute décision doit être la conséquence d’une délibération. La représentation traditionnelle de la justice met donc en évidence

point : les coupables peuvent être des victimes et les victimes des coupables. D’abord, monsieur le président, mesdames et messieurs les jurés, pourquoi cet homme était-il en prison pour une si longue durée ? Avait-il tué ? Avait-il violé ? Avait-il torturé ? Non ! Il avait volé de quoi nourrir sa famille. Certes c’est un délit(=une faute) ; mais un simple larcin (vol) doit-il être puni comme un crime ? Quelle peut-être ensuite l’image de la justice humaine pour cet homme abusivement puni ? Ce coupable