L Homme Peut T Il Vivre Sans Croyances

d’améliorer la santé et de vivre plus longtemps. D’autres, en revanche, estiment que le travail est une obligation lourde, stressante et fatigante, qui nous empêche de profiter des autres opportunités de la vie. Nous pouvons alors nous demander si le travail est vraiment un avantage dans la vie. La rend-il plus passionnante, vivante et saine ou, au contraire, l’empêche-t-il d’être vécue pleinement ? On estime souvent qu’on travaille par nécessité économique avant tout, afin de vivre et de pourvoir aux

bonheur est-il affaire de chance « Carpe diem, quan minimum credula postère » c’est à dire « cueille le jour présent sans te soucier du lendemain », pour Horace, un poète épicurien du V siècle avant J.-C., cela signifiait que le fait de savoir vivre pleinement l’instant présent représentait certainement une condition essentielle du bonheur. Mais dans cette citation, quel est le rapport avec la chance, ce concept qui exprime la réalisation d’un événement positif, améliorant une situation humaine

LA RELIGION I. L’approche des sciences humaines Religion : ensemble de croyances (mythes révélations dogmes) et pratiques ( rites cérémonies interdits tabou) tous tenu pour impératifs. Il faut qu’elles soient collectives, fait social et coercitif. Présupposée méthodologique : Durkheim considère que l’essence de ces religions peut être trouver chez ses formes les plus élémentaires dans tribus primitifs. -Animisme : voir dans certains objets ou être vivant une âme -Totémisme : attribuer

Le personnage principal s'appelle Meursault. Le nom du narrateur n'est sans doute pas anodin. On peut en effet penser à « meur » qui renvoie à la fois à la mer et au meurtre et « sault » qui fait phonétiquement référence au soleil. Nous constatons une absence de portrait physique, sans doute parce que de cette façon, le lecteur peut plus facilement s'y identifier. On ne connait que son nom et son appartenance socioprofessionnelle.   C'est un personnage qui vit dans une rare insensibilité et indifférence

Antique était indépassable, aux Modernes, eux, qui privilégient l'innovation. Une catégorie s'en distingue : les Philosophes des Lumières. Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort, poète et moraliste français, nous en propose une définition : « C'est un homme qui oppose la nature à la loi, la raison à l'usage, sa conscience à l'opinion, son jugement à l'erreur. » Cette définition soulève un choix cornélien au XVIIIe siècle : faut-il adopter la philosophie des Lumières (la nature, la raison, la conscience

L’absence de valeurs absolues fait en sorte que les hommes ne peuvent plus faire la distinction entre les deux. Le rationalisme et l’athéisme sont les causes de ce dérèglement, de cette déflagration des valeurs. L’homme atteint du nihilisme n’est pas un homme libre sans certaines valeurs. On comprend alors que Dostoïevski se pose en tant que dénonciateur du nihilisme présent dans la société Russe. Il ne se veut pas propagateur de négation ou de révolution. Posture singulière, dans un contexte historique

satisfaire tous ses désirs ? Platon, Gorgias 492-493Ligne 1, être sous esclavage revient à ne pas avoir de liberté. Sous esclavage, on ne peut pas faire ce que l’on veut du coup, quand on manque de liberté on ne fait pas ce qu’on veut. L’indépendance c’est celui qui est contraint par rien, celui qui est entravé par rien. L’esclave est la propriété d’un autre homme, il n’est pas libre de faire ce qu’il veut. La liberté comme indépendance est le plus bas degré de la liberté, à

sans histoire et sans question ses mois en prison et son destin. Meursault n’est donc étranger que parce qu’il appartient trop à sa nation, il ne remet rien en cause et accepte tout d’elle : le mode de vie qu’elle impose et sa loi, même si cette loi peut être injuste. Au fond, tout cela n’a pas d’importance. II. Entre nature et culture. Pourquoi Meursault inspire-t-il une telle horreur à ses compatriotes, à ceux qui ne font pas l’effort de « comprendre », comme le veut le vieux Salamo ? Meursault

l’avenir d’une personne comme d’une collective. Au premier lieu on peut dire que la vertu est vraiment nécessaire ou indispensable pour la société et bien évidement pour chacun. Puis que maintenir des bonnes relations entre les sujets et entre les cultures nous permet d’avoir une dignité moins faible. Tel est le cas du refus contre la discrimination qui fait un appel d’attention au respect pour les différences de race, genre, âge, croyances, mœurs, etc. Ça permet de comprendre à l’autre en ses dissemblances

> L’aphorisme est un genre spécifique, = un fragment , inaccessible, qui existe dans son autonomie, il s’agit à chaque fois d’une expérience ou d’une perspective sur les croyances religieuses;sur l’Etat;sur les femmes;sur les enfants… > nouvel infini: infinité de perspectives sur la vie (si univers est fini, il existe un autre type d’infini = les perspectives)