L Homme Providentiel

| | | |Général et homme politique romain (Rome 101 av. J.-C. - id. 44 av. J.-C.). | |Naissance - Jeunesse.

Le sénatus consulte du 4 aout 1802 vient confirmer le changement et va organiser les pouvoirs au profit de Bonaparte. L'instauration de l'Empire en l'an 12 va confirmer cela. Jusque là, il ne s'agissait que de confirmer le pouvoir d'un homme qui été providentiel. Avec l'Empire, on passe à autre chose, on passe à un monarque héréditaire : Empereur. B) L'accroissement du pouvoir personnel 3 Consultes sont nommés à vie mais le 1e joue un rôle essentiel dans la section des deux autres. Le Premier

accentuée la bipolarisation. Rapport au Peuple et à la Nation Ce qui est à la fois dérangeant et fascinant, c’est que De Gaulle se sent investit d’une mission quasi mystique, il constate sans cesse le caractère providentiel de son action. De Gaulle à un rapport au Peuple tel qu’aucun homme politique français n’en à jamais eu. Il est peu influencé par les critiques partisanes mais se soucie très largement de l’opinion. « Pour être présent partout, la télévision est soudain un moyen sans égal. A condition

«aliénations» de la condition prolétarienne (c’est dans ce sens que les divers mouvements fascistes se prétendent socialistes et proclament leur volonté d’associer l’affirmation de ce socialisme à celle de leur nationalisme); culte du chef, de l’homme providentiel, du sauveur, incarnation de la collectivité tout entière et ayant pour mission de guider son destin (c’est ce qu’il est convenu de désigner du terme allemand de Führerprinzip). III.Les structures d’organisation Les mouvements fascistes présentent

soit un passage obligé : après tout, Hugo a été à la merci des circonstances qui ont infléchi son œuvre et ont produit ce résultat que sont les Contemplations en 1856. Mais le père endeuillé n’était pas forcément annoncé par l’adolescent ou le jeune homme lyrique du Rayon et des ombres. Ensuite on remarque que ce qui est l’événement incontestablement le plus marquant et déterminant de son existence n’a fait l’objet que d’une publication, preuve que le malheur n’est peut-être pas le levier forcément

1735 dans son Traité de métaphysique. L’homme fait le mal, dit-il, en mésusant et en abusant des passions et des besoins dont la bienveillance divine l’a dotés comme autant de ressorts qui le font agir dans le sens de l’accomplissement des fins providentielles : la vie sociale, l’extension des arts et des plaisirs. L’homme est d’ailleurs également pourvu d’instincts universels qui lui permettent d’identifier le bien et le mal, et chacun peut ainsi se référer à des critères qui le sont tout autant[2] :

dangers d'une conception radicale de la représentation artistique. Le personnage, en régime naturaliste, n'est pas doté d'une autonomie susceptible de ménager la surprise, l'hésitation, l'incertitude, la profondeur en un mot. Le refus de l'« homme métaphysique[1] », de la psychologie stendhalienne, est constant chez un Zola qui milite pour un matérialisme à la fois philosophique et littéraire. Pour exprimer la détresse de Christine, point n'est besoin d'en faire une héroïne en proie aux imaginations

transcende en intention du moins les conditions de la « société close ». Elle attribue à l’homme des droits inviolables. Ces droits pour rester inviolés, exigent de la part de tous une fidélité inaltérable au devoir. Elle prend donc pour matière un homme idéal, respectueux des autres comme de lui même, s’insérant dans des obligations qu’il tient pour absolues […]Le citoyen ainsi défini est à la fois « législateur et sujet » pour parler comme Kant. L’ensemble des citoyens, c’est à dire le peuple est

ou connaître le juste, si ni la loi positive ni la conscience ne sont des références fiables et sûres ? Qu'est-ce qui nous permet de dire si une loi est juste ? - On pourrait d'abord imaginer qu'une loi juste émane d'une autorité (celle d'un seul homme ou d'un groupe de « sages ») possédant la vertu de justice, une connaissance de ce qu'est la justice. C'est l'espoir qu'exprime le Gorgias de Platon dans lequel Socrate cherche tout au long du dialogue à faire comprendre à son jeune ami Alcibiade,

idéologie commune ? Les fascismes ont en commun une idéologie démagogique et agressive qui vous une haine à l'individualisme et rejette le modèle libéral. Tout est subordonné à l'État qui s'incarne dans un chef infaillible. Ce chef est le guide providentiel de la nation et s'appuie sur un parti unique. Le fascisme et le national socialisme récuse la lutte des classes et sont anti-égalitaires, antidémocratiques. Le communisme prétend créer une société égalitaire et juste. L'importance du racisme et