L'Homme sans passé

      «  Nous ne nous tenons jamais au temps présent. Nous anticipons l’avenir comme trop lent à venir, comme pour hâter son cours ; ou nous nous rappelons le passé, pour l’arrêter comme trop prompt : si imprudents, que nous errons dans les temps qui ne sont pas nôtres, et ne pensons point au seul temps qui nous appartient ; et si vains, que nous songeons à ceux qui ne sont plus rien, et échappons sans réflexion le seul qui subsiste. C’est que le présent d’ordinaire nous blesse. Nous le cachons

consacré sa vie à la biologie et à fait connaître la génétique au grand public. Humaniste, il a laissé un ensemble de textes dans lesquels il réfléchit sur les relations de l'homme et du monde qui l'entoure. Mais, laissant au moraliste le soin de peser les douleurs et les satisfactions individuelles, demandons-nous ce que l'homme, en tant que membre de l'espèce, peut penser de lui-même et de son labeur. Certes, à se souvenir de ses origines, il a bien sujet de se considérer avec complaisance. Ce

le poème évoque un passé idyllique *1ère* idée secondaire : Le locuteur du poème se souvient d’une aventure amoureuse qui a eu lieu près du lac. Preuves : « Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre / Où tu la vis s’assoir » (vers 7-8). Le locuteur interpelle le lac (« Regarde!). Du même coup, il le personnifie. Le pronom « la » se rapporte à une femme aimée. Le passé simple (« tu la vis ») nous indique bien qu’il est question du temps passé. 1er vers

force ou une faiblesse pour l'homme ? La conscience est la source de la connaissance de soi et du monde. Elle peut prendre plusieurs valeurs. Elle peut désigner la faculté qu’a l’homme de posséder une connaissance de sa réalité, de ses actes, de ses sensations, de ses réflexions, et de les juger. C'est donc un élément fondamental de la pensée. Nous pouvons distinguer 2 formes de conscience : la conscience du monde c'est-à-dire la sensibilité à ce qui se passe en dehors de nous et la conscience

caractérise l’homme en particulier, c’est de le savoir. Aussi vit-il douloureusement son rapport au temps, qui le sépare de ce qu’il désire, qui emporte ce et ceux qu’il aime, qui le rapproche inéluctablement de sa fin. Le temps semble bien être en permanence l’ennemi du bonheur. Le bonheur n’est-il donc qu’un rêve, qu’un coup de chance qui ne saurait durer ? Ou est-il hors du temps, hors de la vie (charnelle) ? Les philosophies et les sagesses antiques ont au contraire pensé que l’homme pouvait être

« L’histoire a-t-elle un sens ? » L’histoire est omniprésente dans notre société. Elle permet à l’homme de savoir qui il est et donc de vivre, d’avoir des buts dans sa vie. Elle peut être définie comme la science qui étudie le passé tel qu’il a été vécu et parcouru par l’ensemble de l’humanité, comme les événements importants retenus dans la mémoire des hommes et des différents peuples. Il s’agit d’une réalité historique. Elle peut donc être variable ou même différente selon les peuples. Si un

«la chose essentielle, l’existence véritable de l’homme, est manifestement ce qui se passe à l’intérieur de l’homme, son bien-être intérieur, qui est le résultat de ce qu’il ressent, veut, pense ».2)  Pour Schopenhauer le bonheur ultime provient de l’intérieur, c'est-à- dire de soi. La connaissance de soi apparaît alors essentielle pour construire son bonheur. Si un individu ne se connait pas intimement et ne cherche pas à faire comme tel, celui-ci passe à côté d'éléments capitaux à la formation de

« Hommes » : qu’elle peut voir le temps qui passe. Le temps qui passe est omniprésent dans le poème (ce soir, demain, la nuit, l’aube, les jours…). Le titre nous montre aussi le temps qui passe Soleils couchants, celui-ci est au pluriel, cela montre la succession des jours qui nous rapprochent chaque jour un peu plus de la fin, de la mort. Dans le premier vers le temps employé est le passé composé qui montre un passé proche puis dans les vers suivant on passe au futur, le temps est donc mobile. Il

actions. le Sujet "Je" se distingue de tout objet par sa responsabilité.   Comment définir la responsabilité du sujet? Peut on concevoir l'irresponsabilité du sujet? Visions de Descartes (16ème siècle) et Aristote (300 AV JC) Aristote: "L'Homme est un animal politique"  ---> référence à la Cité, à la collectivité communautaire: le Je n'existe pas encore, il dépend de la Cité Descartes: "Je pense donc je suis" ---> j'ai conscience donc j'existe, douter c'est penser et penser c'est

du thème de m’inconstance nous pourrons voir que Pascal le définit comme propre a l’homme et à son existence. L’inconstance apparaît dans l’Univers, dans l’Homme. Les conséquences et la possibilité d’y remédier sera aussi traiter à travers différents fragments. I) Inconstance a. Un mouvement perpétuel L’inconstance apparaît à travers l’Univers mais aussi à travers l’homme. Pour ne plus être inconstant l’homme cherche le « souverain bien », cela lui permettrait de définir sa place dans l’Univers