L Homme Un Monstre Incompréhensible

fantômes qui courent joyeusement dans les rues. D'énormes citrouilles au visages difformes semblent veiller sur eux, une flamme éphémère réchauffant leurs entrailles. Les portes s'ouvrent en grand et les bonbons pleuvent dans les sacs des petits monstres. Il repartent alors de plus belle, emplis de cette énergie inépuisable propre a l'enfance. Les rues s'emplissent de leurs cris et de leurs rires, il courent en semant leurs bonbons sur les trottoirs de la petite ville. A l'écart de toute cette

le k de dino buzzati e K raconte l'histoire d'un garçon, Stefano, poursuivi par un monstre marin aux allures de squale géant, appelé « le K ». Il le fuit toute sa vie en restant loin des côtes d'abord. Mais ensuite l'appel de la mer et du K se font ressentir et il devient un marin qui parcourt le monde sur son bateau, voyant le K comme une malédiction. Alors qu'il est sur le point de mourir de vieillesse, il décide d'aller à la rencontre de son destin en affrontant le K ; ce dernier est aussi

Zadig, Chapitre 18 « L'Ermite »« Ô monstre ! Ô scélérat » jusqu'à la fin du chapitre Voltaire à l'honneur à la cour de France car il est élu historiographe de France (sous Louis XV). Il est ami avec Madame de Pompadour et est courtisan. Mais il commence à agacer la Reine et le Roi par son insolence et son franc parlé. Il s'exile donc et publie Zadig.Voltaire fait l'écho de sa propre vie, passer de courtisan à mal aimé de la cour.Dans ce conte Zadig va connaître un certain nombre d'aventures, et

selon Balzac, selon lui, une bête affreuse voire même un monstre. L’idée de comparaison entre l’humain et l’animal lui vient de la comédie humaine, c’est-à-dire que l’auteur utilise les mœurs et les philosophies de son entourage afin de critiquer le monde dans lequel il vit. (Sujet divisé) De ce fait, l’hypothèse veut que, Honoré de Balzac, à travers « Ferragus, chef des dévorants », critique la ville de Paris en l’associant à un monstre, ce qui, suite à la Restauration, lui permet d’exprimer son

conflit avec les dieux. Il a défié (consciemment ou inconsciemment) les dieux, un ensemble de forces qui le dépassent. Il a oublié qu’il était un homme, il ne s’est pas conduit raisonnablement, d’où une souffrance perpétuelle. Il sera châtié pas le dieux. Le châtiment du héros tragique fait de lui un bouc émissaire (conception de la cité grecque : si un homme faute, je ne suis pas étranger et il faut que tout le monde paye). D’où une dernière fonction de la tragédie… 4°) Une fonction de réconciliation

message, sans motivation psychologique. Les personnages sont inconsistants, leur langage est décousu, le décor est insituable dans le temps et dans l’espace. Paroles conflictuelles : les personnages semblent échoués dans un univers absurde et incompréhensible. Leur seule façon d’exister un peu est de parler mais ils n’ont rien à dire, ils répètent des clichés bêtifiants et bafouillent. Pourtant, la parole les met en relation avec autrui, ils s’énervent, ils s’opposent. Symboles : le spectacle déshumanise

tout le jour . Le soir venu alors qu’Arthur s’éloignait pour ranger les affaires de son frère dans l’écurie , il vit un vieil homme caché sous son capuchon s’approcher de Keu et prononcer à son oreille des mots incompréhensibles mais qui parurent effrayants . L’homme se retira et Keu s’effondra au sol. Aussitôt Arthur partit prévenir Antor mais ne dit mot sur le vieil homme étrange . Keu gisant à terre et pouvant à peine murmurer, demanda à son frère de combattre à sa place pour l’honneur de

disparitions se multiplièrent mais je n’avais aucune explication. J’hésitai à faire part des mystérieuses disparitions à la police ainsi qu’à ma femme, car il n’y avait aucune trace de quelconque effractions. J’étais laissé à moi-même dans cette incompréhensible histoire. Je fis mention qu’une seule fois d’objets qui bougeaient dans la maison et ma femme me répondit en blaguant que c’était sûrement des esprits. Depuis, je ne pus m’empêcher de croire que mon tracteur était contrôlé par des esprits. En

Rhinocéros, Acte II, deuxième tableau (1960). Texte A : Michel De Montaigne, Les Essais, Livre II, chap. 30, « Au sujet d'un enfant monstrueux » (1595), trad. d'André Lanly. Montaigne consacre un court chapitre de ses Essais au phénomène des monstres et apporte ainsi une contribution importante à un débat en vogue au XVIe siècle. Je vis avant-hier un enfant que deux hommes et une nourrice, qui disaient être le père, l'oncle et la tante, conduisaient pour le montrer à cause de son étrangeté

fera l’objet de notre première partie. Dans un second temps, nous allons comparer quatre œuvres à première vue dissemblables mais qui, éclairées par cette notion d’absurde, peuvent être réunies. La machine infernale de Cocteau (1934), Si c’est un homme de Primo Levi (1947) et Le château de Kafka (1926) seront tour à tour étudiés afin de confronter les différentes visions et réactions face à un même constat : l’absurdité de la condition humaine. Pour finir, nous avons confronté les observations