L Horreur De La Guerre

BOTTE Valentine 1ère S2 DM : Première Guerre Mondiale « On attendait des balles, on reçoit des obus », tiré du film Marie Curie, une femme sur le front, « La guerre réduit l'humain à l'état de bétail : la faim, la vermine, la boue et ces bruits fous » déclare Otto Dix sur l'expérience combattante et traumatisante de la Première Guerre Mondiale. L'ensemble des situations et des pratiques de guerre auxquelles les combattants sont confrontés est appelé « expérience combattante ». Elle devient

texte  Séquence: réécritures de l'épique D.M.Pour le lundi 26.03.07 Vous ferez le commentaire du texte suivant. Ferdinand Bardamu, héros narrateur du roman Voyage au bout de la nuit (Louis Ferdinand Céline, 1932) se trouve au front, pendant la guerre 1914-18. Voici ses réflexions. 1.Ce colonel, c'était donc un monstre! A présent, j'en étais assuré, pire qu'un chien, il n'imaginait  pas son trépas! Je conçus en même temps qu'il devait y en avoir beaucoup des comme lui dans notre  armée, des

| |Contexte (historique, social, artistique …) | |La guerre d’Espagne (guerre civile) éclate en Juillet 1936 et durera jusqu’en 1939. Elle oppose Nationalistes et Républicains. Franco chef de file des | |nationalistes fait appel à l’Allemagne nazie pour bombarder la petite ville de Guernica. Le 26 Avril

-autobiographie -guerre -mutilés -gueules cassés La biographie de l'auteur Otto Dix est né à Gera en 1891. Il fera des études d'arts appliqués de 1909 à 1914. Dix s'essayera au cubisme, au futurisme et plus tard au dadaïsme. Lorsque la première guerre mondiale éclate, Dix s'engage en tant que soldat, combattra en France et en Russie. Il sera blessé deux fois. L'horreur de la guerre le marque énormément et devient alors la base de ses œuvres, il y dénoncera violemment les horreurs de la guerre. Entre 1925

arrivaient à Picasso par les journaux. • En bas du tableau, un guerrier coupé en deux, main gauche ouverte, main droit crispée sur une arme cassée qui représente l’armée républicaine dont la résistance est brisée. Le corps est en morceaux : horreur de la guerre et en particulier des bombardements. Les traits sur les bras : blessures. • Tout à droite, une femme tombe d’un immeuble en flamme. Ses yeux sont aussi en forme de larmes. Des bombes incendiaires ont été utilisée. Souffrance et désespoir

s'engage volontairement comme soldat pendant la Première Guerre mondiale et l'horreur de la guerre va marquer la plupart de ses œuvres. Voilà ce qu'il déclare en 1961 : « C'est que la guerre est quelque chose de bestial : la faim, les poux, la boue, tous ces bruits déments. C'est que c'est tout autre chose. Tenez, avant mes premiers tableaux, j'ai eu l'impression que tout un aspect de la réalité n'avait pas encore été peint : l'aspect hideux. La guerre, c'était une chose horrible, et pourtant sublime.

le château, 3 princesses insupportables dont leur père Papa-Roi veut se débarrasser. La solution, marier ses filles aux princes pour être enfin peinard. Mais les princesses c'est rien que des crâneuses et les princes ça veut tout le temps faire la guerre ! 9 Personnages : Le Prince sans Peur et sans Pétoche Le Prince Malin et Magicien Le Prince Costaud Super Balèze Papa Roi Princesse Papillonne Princesse Plume Princesse Libellule DANS LA FORET PROFONDE 1: Tour à tour, les princes entrent sur scène

central de la guerre picrocholine, gargantua ayant terminé ses études vient secondé son père Grandgousier dans cet épisode de la guerre. Rabelais dénonce le fait que les éléments déclencheurs de la guerre sont ridicules et les conséquences eux-mêmes. Il dénonce ainsi l’absurdité de la guerre, ici elle est déclenchée à cause d’une simple histoire de fouace. Frère Jean des Entommeurs va tenter in extremis de défendre l’abbaye et deviendra le héro de la guerre. Ce texte est un récit de guerre, c ‘est le

épargné par la souffrance due à la guerre. Dans le deuxième paragraphe, (ligne 16) « la 6ème compagnie était un petit récipient de la 27ème division comme un boisseau à blé. » est une métaphore filée : comme le boisseau à blé que l’on va « vider sous la meule » (L21) et qui est rempli sans cesse de céréales en grain, « la 6ème compagnie a été remplie cent fois et cent fois d’hommes. » (ligne 15). Le boisseau à blé est employé pour révéler l’horreur de la guerre, dévoreuse d’hommes. De plus l’hyperbole

est un récit autobiographique de l’italien Primo Levi, survivant des camps de la mort nazi. Son ouvrage n’a pas eu un grand succès à sa sortie en 1947, ce qui traduit bien du difficile processus de mémoire qui s’est mis en place après la Seconde Guerre Mondiale, mais le livre a été redécouvert 10 ans plus tard et reconnu comme un des premiers témoignages majeurs de l’horreur des camps en faisant ainsi du récit un succès littéraire et un chef d’œuvre de la littérature de témoignage.