L Humanité Est Elle Un Critère De Vérité

en France, au XVIIIème siècle, nommé ainsi siècle des Lumières. Les penseurs, scientifiques et écrivains impriment cette époque de leurs esprits critiques en se donnant pour tâche d’éclairer (d’où la métaphore de la lumière) par la « Raison » une humanité plongée dans l’obscurantisme : les anciennes idées politiques et religieuses qui nient tout progrès et tout nouveau savoir et qui s’opposent à la science et à la diffusion des idées nouvelles et progressistes ; à l’image d’Emmanuel Kant (philosophe

colonisation les espagnoles n'ont pas identifier l'identité des indigènes et pour la trouvé ou du moins la rechercher ils les ont torturé afin de savoir s'ils avaient une âme. Mais les indigènes ont également torturé les espagnoles pour vérifié leurs humanité (ou leurs divinité). C'est donc parce que des hommes nous semblent barbare (animaux, inhumain) que nous nous conduisons en vers eux de façon barbare. « Le barbare, c'est d'abord l'homme qui croit à l barbarie » cf Controverse de Valladolid pièce

convaincu, par des moyens rationnels ou seulement persuadé, c'est-à-dire affectivement attaché ? Comment savoir ? Cette situation nous montre la difficulté de départager entre croire et savoir, entre opinion qui passe pour savoir, et connaissance en vérité. A quelles conditions est-il légitime de tenir son discours pour rationnel ? L'enjeu de cette question est d'éviter deux écueils : l'une qui consisterait à s'appuyer sur l'évidence spontanée de ce que l'on tient pour vrai et qui ne produirait que

s'hummaniser librement . Puisqu'on ne naît pas homme ,on le devient. Ceci nous amène donc à nous demander quels critères prendre en compte pour comparer les cultures? Si l'art , la technique , la religion , les sciences etc .. sont des composants de la culture , admettent-ils des différents degrés d'évolution? Ou bien le projet même de hiérarchiser les cultures ne peut-il s'appuyer sur aucun critère acceptable ?La hiérarchisation des cultures ne nous ammène-t-elle pas à commettre un éthnocentrisme ou pire

de la violence légitime = MAX WEBER La vérité : ● Platon: La recherche de la vérité est essentiel pour l'homme ● Platon : cette recherche suppose l'opposition au relativisme : toutes les opinions se valent ● Putnam : le relativisme détruit la possibilité même de penser car il n'y a plus de différence entre avoir raison et penser qu'on a raison ● Allégorie de la caverne ● Putnam : Les faits sont indissociable de la valeur qu'on leur attribue ● James : la vérité n'est pas une propriété de l'idée / dans

de responsabilité. Ça marque la différence entre un roi et un dictateur. Ce principe d’hétéronomie est à connecter avec le principe d’autorité. Si l’homme est hétéronome, il est sous l’obéissance de quelque chose qui le transcende. Ce peut être la vérité qui peut faire autorité qui en ce sens est révélée et non construite par la science humaine. Ce peut être l’autorité de la morale qui vient d’en haut. On est dans un monde où règne l’autorité c’est-à-dire où règne tout ce qui est supérieur à l’homme

ait un héros dont sa conduite ne correspond pas à un idéal (par exemple, s’il est lâche ou cupide). C’est alors, que l’on qualifie le personnage principal d’ « antihéros ». En effet, la psychologie et l’action du personnage ne conviennent pas aux critères des héros traditionnels. On peut distinguer comme type d’antihéros : * le personnage « sans qualités », l’être ordinaire vivant une vie ordinaire dans un cadre ordinaire. * le héros négatif, porteur de valeurs antihéroïques et en général

Camenae n° 8 - décembre 2010 Christophe BOURIAU DIGNITÉ HUMAINE ET IMAGINATION SELON MONTAIGNE La présente étude ne traitera pas de l’imagination pour elle-même, mais en la rattachant au thème de l’humanisme, c’est-à-dire à la question du critère de la dignité humaine. Je souhaite manifester que l’imagination reçoit une fonction spécifique et particulièrement positive dans un certain courant de l’humanisme, celui développé exemplairement par Montaigne. Je me propose : 1) de présenter ce

de cet homme. Ainsi, les hommes n’ayant pas effectué la transformation du corps au corps-machine puis à l’énergie mentale se raccrochent aux souvenirs de l’amour de la mort de leurs proches et à des sentiments comme la compassion, la justice ou la vérité. L’autre étant toujours présent. Le thème de l’altérité est au cœur du récit de Clarke. Que ce soit une autre forme de vie extraterrestre ou la conscience d’un superordinateur, la rencontre avec l’autre (ce « choc culturel ») amène toujours une

apparaître d'ailleurs la généralité du mot : "science" vient du latin scientia qui désigne le savoir en général. Ce mot a pris bien sûr un sens spécifique au fur et à mesure de l'histoire. Il s'applique maintenant à des connaissances qui reposent sur des critères de vérification à travers expérimentation. A l'inverse d'autres domaines, la science recherche l'objectivité. Le savoir qu'elle prône est détaché de tout point de vue personnel. Si on parle de la science dans son unité pour évoquer la similitude