L Ignorance Chassée Rosso

illustrer cette cour qui devient un instrument de propagande monarchique, on peut étudier la galerie de François Ier au château de Fontainebleau. Galerie qui a été édifiée entre 1534 et 1539. Ce sont deux artistes toscans qui en sont les auteurs : Le Rosso et Le Primatice. Ces artistes réalisent un vaste ensemble décoratif dans un nouvel espace qu’on appelle la galerie. Leur grand coup de génie provient du fait qu’ils ont su donner égale importance aux grandes scènes peintes et à leur encadrement de

et l’éducation humaniste l’empêche de dériver vers la tyrannie. Enfin, la Boétie, conseiller au parlement de Bordeaux explique que les individus abandonnent volontairement leur liberté aux mains d’un seul individu (par lassitude, par intérêt, par ignorance) sans aucune assurance que cet individu agira de manière juste. Il condamne la servitude curiale et fiscale. LA Boétie meurt en 1553 de la Peste. Dans son œuvre, il ne distingue pas la royauté de la tyrannie et lorsque que Montaigne souhaite éditer

imposait ses admirations, la lassait de ses extases. Il montait d'épithètes en épithètes, se grisait, délirait, finissait par croire qu'il était en marché avec un acheteur idéal, débattait le prix du chef-d'oeuvre, criait : – Cent mille livres, mon Rosso ! oui, monsieur, cent mille livres !... Sa fille, effrayée de tout l'argent que ces grandes vilaines choses, où étaient de grands affreux hommes tous nus, prenaient au ménage, essayait des représentations, voulait arrêter cette ruine : M. de Varandeuil

imposait ses admirations, la lassait de ses extases. Il montait d’épithètes en épithètes, se grisait, délirait, finissait par croire qu’il était en marché avec un acheteur idéal, débattait le prix 32 du chef-d’œuvre, criait : – Cent mille livres, mon Rosso ! oui, monsieur, cent mille livres !... Sa fille, effrayée de tout l’argent que ces grandes vilaines choses, où étaient de grands affreux hommes tout nus, prenaient au ménage, essayait des représentations, voulait arrêter cette ruine : M. de Varandeuil

lui imposait ses admirations, la lassait de ses extases. Il montait d’épithètes en épithètes, se grisait, délirait, finissait par croire qu’il était en marché avec un acheteur idéal, débattait le prix du chef-d’œuvre, criait :– Cent mille livres, mon Rosso ! oui, monsieur, cent mille livres !... Sa fille, effrayée de tout l’argent que ces grandes vilaines choses, où étaient de grands affreux hommes tout nus, prenaient au ménage, essayait des représentations, voulait arrêter cette ruine : M. de Varandeuil

imposait ses admirations, la lassait de ses extases. Il montait d'épithètes en épithètes, se grisait, délirait, finissait par croire qu'il était en marché avec un acheteur idéal, débattait le prix du chef-d'oeuvre, criait : - Cent mille livres, mon Rosso ! oui, monsieur, cent mille livres !... Sa fille, effrayée de tout l'argent que ces grandes vilaines choses, où étaient de grands affreux hommes tous nus, prenaient au ménage, essayait des représentations, voulait arrêter cette ruine : M. de Varandeuil

qu'elle a l'air de traiter; elle ne veut qu'une occasion de compliments pour ce peuple esclave de la mode, qu'un grand homme avait appelé la grande nation, oubliant qu'elle n'était grande qu'avec la condition de l'avoir pour chef. Le résultat de mon ignorance des conditions du plus humble succès fut de ne trouver que dix-sept lecteurs de 1822 à 1833; c'est à peine si, après vingt ans d'existence, l'Essai sur l'Amour a été compris d'une centaine de curieux. Quelques-uns ont eu la patience d'observer les

n’avaient qu’un sacrement d’initiation, le consolamentum. Le Christ était sans doute présent dans le catharisme, mais l’idée de l’Incarnation ne pouvait y trouver place. Malgré tous les efforts de nombreux passionnés, il faut se résigner à une grande ignorance concernant le contenu de la foi cathare. Il reste difficile de savoir si le catharisme est une hérésie chrétienne ou une religion alternative. Question 2 : L’auteur, tout en étant respectueux de la réalité historique, présente avec un ton froid