L Innommable

des réalités nous dépassent puisqu’elles sont à la fois rationnelles et irrationnelles. La « folie » ainsi que la mélancolie désignent des états qui nous permettent d’accéder à des vérités supérieures qui nous dépasse totalement. Ces états sont innommables ; ainsi ils sont incompréhensibles puisqu’on ne peut nommer l’innommable. §1 : Nerval parle d’un « état de rêverie » dans ces poèmes. Or la rêverie était un délire causé par une maladie. La rêverie était une réalité au dessus du réel et Nerval

Vocabulaire de la ficelle– Paysan nom commun – masculin, féminin (paysanne, paysans, cultivateur ,paysannes agriculteur) personne qui vit à la campagne, de la culture et de l’élevage– torse nom commun – masculin(torses)1 partie d’une statue représentant un buste humain dépourvu de tête ou de membres une sculpture dont il ne reste plus que le torse2 partie supérieure et antérieure du tronc, constituée des épaules, du thorax et d’une partie de l’abdomen (buste poitrine) Charrue nom commun – féminin(charrue)1

souvent aux soldats avant de partir combattre de la gnole ou du vin pour les saouler un peu, ainsi ils se rendaient moins compte du danger. Boue, pluie, feu, froid... Durant 4 années de douleurs intenses, promiscuité irrespirable, condition de vie innommable... Les poilus ont beaucoup souffert pendant cette guerre. Ils se font mordre par les rats pendant la nuit et soufre de démangeaison dû leur mauvaise hygiène et aux poux. La boue liées au froid est une lèpre, elle attaque tout le système nerveux

Étant un passionné de la deuxième guerre mondiale je sais, et je confirme qu’Hitler est méchant, inhumain ou plutôt innommable. Cet homme politique est le fondateur du nazisme. Rapidement, il réussira à instaurer une dictature totalitaire. En prenant le pouvoir il va commettre de nombreux crimes car pour lui seul la race acceptable en Allemagne est la race Ariène. Quels sont exactement les actions qu’il a mené durant plusieurs années ? Et pourquoi a-t-il commis de tel atrocités ? Tout d'abord, il

incertaines et antonymes: Les personnages du roman sont des figures indécises qui ont parfois plus de nom ou ce dernier est réduit à une seule lettre (K, Kafka) ou à un pronom personnel: “vous” (Butor), “ils” et “nous” (Sarraute) et le “je” informe et innommable de Beckett. Le roman privilégie des êtres indéterminés socialement marginaux ou étranger au monde (Camus). Paroles répétitives, vides qui relève de l’impossibilité de communiquer et la difficulté à décrire un monde opaque. On parle d’évolution

rejeta le crime sur les chrétiens. Les uns furent jetés aux bêtes; d'autres, enduits de poix, servirent de torches pour éclairer pendant une fête les jardins de Néron. Ce fut la première persécution (64-68). Cependant, il s'adonnait à des débauches innommables, scandalisait Rome en montant sur les planches. Une conspiration formée par Pison fut découverte, et une foule de victimes périrent, parmi lesquelles Pétrone, Thraséas, Corbulon, Lucain, Sénèque. Le signal de la délivrance partit des Gaules: Vindex

dénouer au moment le plus inattendu, bousculant les hypothèses. Le passé refait soudainement surface et met à nu des personnalités insoupçonnées, grattant dans les recoins obscurs des âmes. Chaque personnage détient le secret de gestes parfois innommables, créant alors une intrigue parfaite allant de rebondissement en rebondissement, ficelée de main de maître et menée à un rythme effréné Qui a failli ? Qui joue ? Qui croire ? Au coeur des familles, du couple et de l’amitié, les points troubles,

Un jour, cela te tombes dessus. Pouf. Une analyse positive et s'en ai fini. Tu es condamné. À quoi me demandez vous ? À vivre avec cela. Cela ? C'est ta maladie.  Innommable tant que tu n'auras pas accepté, c'est ton déni. Ce n'est pas possible, cela n'arrive qu'aux autres. Et un jour, tu te lèveras et se sera fini cette sorte d'insouciance. Tu auras accepté. Est-ce mieux au final ?  Les idées les plus folles te passent par la tête. Tu voudrais changer de sang ou de corps. Impossible. C'est

de mobilier, le fauteuil, aucun élément de décoration, ni de dimension de la pièce. Il concentre le lecteur sur les détails qui illustrent la maladie et les dégradations de cette dernière : « la fièvre, la tisane, l’éther, le goudron, cette odeur innommable et lourde » et surtout sur la fenêtre. La fenêtre incarne dans ce récit non seulement la frontière entre la chambre et l’extérieur, entre la laideur er la beauté, entre la vie et la mort. Cette fenêtre est un des éléments récurrents du récit, elle

moi ; en se tenant à la surface de la chose même. Le mot ‘table’ ne désigne pas cette table-ci avec toutes ses qualités sensibles, empiriques, concrètes, mais l’idée générale et abstraite de la table. N’est-ce pas dire que la réalité empirique est innommable parce qu’entièrement singulière ? Le mot n’abandonne-il pas la réalité empirique particulière, sensible, au profit du général ? Le langage en sa nature ne nous détourne-t-il pas de la réalité en son essence en occultant l’essentiel, la chose comme