L'Interprète

envers tous. 3-Racontez en 3 lignes cette affaire : L’affaire Calas est une affaire judiciaire française qui se déroule de 1761 à 1765 à Toulouse. Jean Calas découvre son fils,Marc-Antoine, pendu,pour éviter le traitement infligé aux suicidés,il l’interprète comme un meurtre. Jean Calas, protestant, est accusé à tort d’avoir assassiné son fils pour l’empêcher de se convertir au catholicisme. 4-Qu’arrive-t-il en mars 1762 ? Quelle est la condamnation ? En mars 1762, Jean Calas est condamné à mort

de Lorenzo, d'ailleurs ce dernier ressentira des doutes quant à la réalisation de son acte à la scène 9 de l'acte 4, car que ressentira sa mère au regard de son acte ? Quant au personnage de Catherine - sa tante -, il y a plusieurs façons de l'interpréter, mais la manière la plus évidente est qu'elle va permettre à Lorenzo de constater toute l'étendue de la corruption de son double, en effet, il n'hésitera pas à vendre sa tante au Duc - la connotation de l'acte sexuel et de la débauche est très

souvient de son enfance ou plutôt de sa jeunesse. Il fait tout pour sa petite-fille. Chapitre 6 : M Linh retrouve M Bark et cela le rassure et le réconforte. Il ne comprend rien mais apprécie le ton de sa voix. Chapitre 7 : Il rentre au dortoir. L’interprète lui dit qu’il devra partir quand on lui aura trouvé quelque chose. Il veut savoir comment dire « bonjour ». Il s’occupe avec beaucoup de soin de sa petite-fille. Chapitre 8 : Il se promène et a hâte de retrouver son « ami ». Celui-ci ne vient

«des jours qui ne sont plus») et la brièveté de l’existence. LA FONCTION DU POETE A partir de 1830 les poètes, engagés dans les lutter de leur temps, affirment leur nouveau rôle qui est une mission sociale à accomplir. Lamartine devient l’interprète des souffrances humaines, il affirme que le poète a le devoir d’oublier son art quand la patrie est en danger. Hugo croit dans la mission rédemptrice de la poésie pour un avenir plus heureux : pour lui le poète est le prophète, le flambeau qui

ainsi le peintre voudrait exhiber la valeur des tons. b. Le créateur est celui qui peut dépasser les conditions de la production artistique de son époque. Le grand artiste transcende les déterminations historiques pour se montrer novateur. c. L’interprète doit surtout retrouver l’originalité d’une production artistique donnée. Le propre du génie, c’est de donner sa règle à l’art. Le propre du goût, c’est d’identifier la capacité novatrice d’un créateur. III. L’art créé par transgression de règles

réflexion et peut s’avérer très persuasive dans les campagnes de sensibilisation par exemple. Cette efficacité la rend dangereuse lorsqu’elle est utilisée à des fins de manipulation ou de propagande. C’est pourquoi il faut apprendre à l’interpréter et à la situer dans son contexte.

illustre bien ce procédé. Conclusion : On peut penser que les apologues sont des inventions qui permettent de voir le monde tel qu’il est, car ils sont en général le reflet de notre société. Bien qu’ils aient certaines limites, chacun peut l’interpréter à sa façon, se faire sa propre opinion et en tirer un enseignement. Tout d’abord, on peut dire que les apologues sont des reflets de la société car ce sont de courts récits qui mettent en scène quelques personnages, réels ou non, où

logement est soumis au double consentement des époux. Cette même indisponibilité par un époux seul, vise également les meubles qui garnissent le logement. Et la Cour de cassation, dépassant la lettre du texte, mais soucieuse de l’interpréter en fonction de son esprit, a même décidé que la résiliation du contrat d’assurance du logement était un acte soumis à l’article 215 du Code civil. Cette exigence du double consentement peut créer des situations de blocage, lorsque le désaccord

trouve les mots. Certains sont de grands princes comme le duc Guillaume IX d’Aquitaine, ou de plus modestes seigneurs comme Bertran de Born, auteur de nombreux poèmes guerriers. De son coté, le jongleur (de jogger en occitan, rire et s’amuser) est l’interprète, celui qui chante ou déclame les poèmes des autres. Mais la plupart des jongleurs savent fort bien écrire et sont aussi troubadours. Cependant, à la différence des princes composant pour leur unique plaisir, ils vivent de leur métier, qui consiste

de George Dandin, seul Angélique sait sa présence. C’est par cela que commence le double langage d’Angélique et les quiproquos avec George Dandin. Lors de cette scène Clitandre fait une révérence à Angélique, qu’elle lui rend mais George Dandin l’interprète pour lui. Il ne comprend pas les circonstances de cette révérence, engendrer un malentendu entre eux et provoquer les rires des spectateurs. Ainsi, chaque geste que fait Angélique va encore plus enfoncer George Dandin dans son rôle de « Dindon