L Intolérance Religieuse Du Siecle Des Lumieres

affaire de conscience individuelle, non de vie en commun – ainsi lorsque le christianisme devint la religion officielle de l’Etat romain, une distinction catégorique devint nécessaire entre le pouvoir religieux et le pouvoir temporel, les lois religieuses et civiles, les fêtes… Jusqu’alors, la religion publique, celle de l’Etat, contribuait à l’édification de l’Etat lui-même, elle n’exigeait pas d’être différenciée par rapport à lui - sa transcendance par rapport à l’Etat s’exprime par le nouveau

française. Nous sommes les héritiers d’une nouvelle vision sociale, la volonté des révolutionnaires de changer l’ordre ancien au profit d’un ordre nouveau fondé sur l’individu, l’égalité et la liberté. Ce passage en quelque sorte s’est fait pendant ce siècle dans une certaine douleur. Il s’agira ainsi d’étudier le processus qui a permit qu’on en arrive là aujourd’hui. Il a suffit qu’un certain nombre de tension (lié au monde économique, à la situation de l’emploi, au pouvoir d’achat) pour qu’on voie

chacun au sort des centaines de milliers de chrétiens en Irak, qui chaque jour, risquent leurs vies pour le seul motif qu’ils sont chrétiens. Ils subissent une authentique persécution. L'objectif de ce travail de fin d’études est donc une mise en lumière du phénomène croissant de l’antichristianisme. Étant de confession chrétienne, je me suis posée de nombreuses questions sur les raisons et les sources de ces persécutions, qui m’ont dès lors dirigé vers le choix de la problématique de l’antichristianisme

menaçante, "étrangère" à notre intimité (ou à notre famille). La rencontre avec Autrui, cet autre privilégié que l'on reconnaîtra comme un sujet et que l'on pourra nommer le "Prochain", ne s'effectue pas immédiatement. Sans doute nécessite-t-elle les "lumières", non seulement de l'intelligence, mais de la culture. 1.0.0 - AUTRUI, L’ETRANGER 1.1.0. - L’intrusion de l'étranger 1.1.1. – Les premiers hommes Jean-Jacques Rousseau (18è) - "Dans les premiers temps, les hommes épars sur la surface

investis d’une mission semblable à celle que l’élection confère de nos jours aux défenseurs de nos libertés. Les éphores, sans doute, après avoir été institués par les rois, furent nommés par le peuple. Mais ils n’étaient que cinq. Leur autorité était religieuse autant que politique ; ils avaient part à l’administration même du gouvernement, c’est-à-dire, au pouvoir exécutif ; et par là, leur prérogative, comme celle de presque tous les magistrats populaires dans les anciennes républiques, loin d’être simplement

monstre ou comme un singe possédé du diable. » Préjugés religieux, intolérance (les procès en sorcellerie sont encore fréquents ds la 1ère moitié du XVIIème s., majoritairement des femmes, mais aussi homosexuels ou vagabonds) + réflexion sur les « sauvages ». => Le monde de la lune : miroir du nôtre permet la critique, la satire comme certains récits de voyage. Récit ou fiction à visée argumentative. III. La satire sociale et religieuse : le roman libertin et ses leçons voilées A. La satire sociale

politique ayant permis le développement des droits de l’Homme a réussi à justifier l’esclavage. Ainsi est adopté le Code Noir sous Louis XIV en 1635. L’esclave peut et être échangé, vendu, etc. C’est un bien meuble. Ce Code Noir persiste sous les Lumières. Montesquieu, père de la séparation des pouvoirs, ne propose pas l’abolition du Code Noir ; il propose de l’adoucir. Il faut attendre 1794 pour que le Code Noir soit aboli. Pourquoi pas 1789 ? Donc les Révolutionnaires, après avoir écrit la DDHC

2. Suggestibilité et crédulité des foules § 3. Exagération et simplisme des sentiments § 4. Intolérance, autoritarisme et conservatisme des foules § 5. Moralité des foules Chapitre III Idées, raisonnements et imagination des foules § 1. Les idées des foules § 2. Les raisonnements des foules § 3. L'imagination des foules Chapitre IV Formes religieuses que revêtent toutes les convictions des foules. Livre II : Les opinions et les croyances des foules

sur le comportement d’une bonne partie de la population mondiale, dont les itinéraires, relativement faciles à identifier, correspondent souvent aux courants d’échanges et schémas de diaspora et de repeuplement traditionnels. Depuis la fin du XVIIe siècle jusqu’à nos jours, de nouvelles motivations comme la curiosité, le souci de s’instruire et la promotion sociale ont favorisé l’apparition, à côté des déplacements « imposés par les circonstances », d’une pratique du voyage considéré comme une activité

 vit  une  enfance  très  dure  où  la  violence  et  la  pauvreté  fait  partie   de   son   quotidien.   Cependant,   grâce   à   sa   mère,   Staline   va   à   l’école   religieuse   de   Gori   puis   est   admit   au   séminaire   orthodoxe   de   Tiflis,   capital   de   la   Géorgie.   Là-­‐bas,   le   géorgien   y   est   prohibé,  cependant  Staline