L Inutile Beauté Maupassant

Une vie de Maupassant ou « l’écriture du vide » dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 Mémoire de Lettres modernes Sous la direction de Mme Aline MURA-BRUNEL par Mlle Aurore LOISON. Université de Pau et des Pays de l’Adour, 2006-2008. UNIVERSITE DE PAU ET DES PAYS DE L’ADOUR UFR DES LETTRES, LANGUES ET SCIENCES HUMAINES dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 Master 2 : « Discours et représentations » Parcours : « Poétique et histoire littéraire » LOISON Aurore Une vie de Guy

particulière de la littérature. On trouve, en effet, de véritables plaidoyers défendant le romantisme, en général, et le drame romantique, en particulier, dans les préfaces des pièces de Victor Hugo que sont Cromwell et Hernani. De même, lorsque Maupassant écrit la Préface de Pierre et Jean, il le fait pour défendre sa liberté d’artiste et sa propre conception du roman. D’ailleurs, dans les préfaces qui nous occupent, les auteurs placent, en quelque sorte, les textes qui nous sont donnés à lire dans

NORD COMPO — 03.20.41.40.01 — 125 x 178 — 19-02-07 11:35:06 117282VLA - Flammarion - Fiche pédagogique - Toine et autres contes normands - Page 37 — Z17282$$$1 — Rev 18.02 ` XIXe SIECLE Nouvelles – Réalisme et naturalisme MAUPASSANT Toine et autres contes normands (no 312 – 2,70 €) I. Pourquoi étudier Toine et autres contes normands en classe de Seconde ? Il est toujours malvenu d’insister sur l’aisance de lecture et la facilité de style d’un auteur. Dût-on parler de la fluidité

reconnue comme prostituée. Ou encore Les demoiselles d’Avignon de Picasso inspiré d’Olympia mettant en scène un groupe de femme nue sans aucune pudeur. La musique Noe WILLER sortit une chanson intitulée « Toi, femme publique » remettant en cause la beauté de la femme au lieu d’être prise pour une marchandise. Le sujet reste tout de même tabou. II. Comment les prostituées étaient-elles perçues au XIXème siècle ? Je vais désormais aborder la manière dont les prostituées étaient perçues à l'époque,

aller plus loin Proposition de plan de synthèse Préparation à l’écriture personnelle Correction détaillée des documents + plan de synthèse Documents complémentaires 1) Le bourgeois gentilhomme Acte 3 » SCÈNE II CBC Page 1 2) Chronique de Maupassant sur le mariage de Sarah Bernhardt - Choses et autres Gil Blas, 12 avril 1882 3) Autres temps Gil Blas, 14 juin 1882 - Confession d’une femme 4) Extrait du Blog Pat. Y’a qu’à faire (avec son aimable autorisation) Remarques préliminaires : 1) Ce corpus

splendide et trouble - Ce salut soit le messager Du temps, cap que ta poupe double Comme sur quelque vergue bas Plongeante avec la caravelle Ecumait toujours en ébats Un oiseau d’annonce nouvelle Qui criait monotonement Sans que la barre ne varie Un inutile gisement Nuit, désespoir et pierrerie Par son chant reflété jusqu’au Sourire du pâle Vasco. Stéphane Mallarmé Bel astre voyageur À La Comète de 1861 Bel astre voyageur, hôte qui nous arrives Des profondeurs du ciel et qu’on n’attendait pas, Où

l’affectivité. * L’expression du Moi : suremploi de la 1re personne du singulier. * Récit autobiographique * Romans historiques * Recours au langage populaire * Règle d’écriture poétique et dramatique modifiées. | RÉALISME : Guy de Maupassant, Émile Zola La situation dans le temps : Place l’argent et le pouvoir au centre de sa thématique. La littérature réaliste se donne pour but de copier le monde, mais elle représente en fait une problématique propre aux sociétés qui se convertissent

physiques de l’homme, la Nature néglige encore plus ses besoins intellectuels en ne faisant preuve d’aucune imagination. Puisque « la Nature a l’intellect en horreur », l’homme trouve dans l’Art le moyen de donner une nouvelle dimension à la vie : la Beauté, qui n’existe pas dans la Nature, devient le propre de la créativité humaine. Wilde reconnaît que l’Art est le propre de l’homme car c’est la manifestation de l’esprit. Alors que la Nature est la création de Dieu, l’Art devient celle de l’homme,

creuse les chemins qui s’ouvrent à elle. Une fois libérée des clichés, elle devient celle qui parle, celle qui crée, celle qui cherche la vérité. « La femme aussi sera poète », écrivait Rimbaud. Sylvie Landuyt s’y essaie dans un dialogue de toute beauté, entre une mère et sa fille. Cela devient l’histoire d’une petite fille qui invente de nouveaux mots pour recoller les morceaux, qui cherche les images qui vont la dessiner, qui traverse tous les possibles en espérant combler le vide laissée par le

sont proches des leurs : l’existence futile, la mort inexorable, l’espoir de rédemption dans l’art, le désir de choquer pour éveiller, l’amour du contraste, l’imagination et l’invention comme valeurs suprêmes en art. On veut de la grandeur et de la beauté, plutôt que de la mesure et du vraisemblable. Ce qu’on cherche, c’est la liberté – la liberté dans l’art comme dans la société. C'est ce que représente le credo romantique : l’artiste doit pouvoir se permettre toutes les libertés en autant qu’elles