L Ironie De La Tirade D Henriette

____________________________________________________________ _____________________ En 1753, parut le tome 3 de l'’’Encyclopédie’’ qui avait déjà été condamnée par un conseil du roi. Ce serait au cours de l'automne 1755 que Diderot rencontra Louise-Henriette dite « Sophie » Volland, fille d'un écuyer, « seigneur d'Isle-sur-Marne et autres lieux », qui avait alors trente-huit ans, qui portait lunettes et avait des mains sèches de malade, devant être d'une constitution faible, mais d'une intelligence forte

quarante-cinq ans» (l.  15), il prend le train pour se rendre à Rome pour quelques jours. Plus loin on comprend que le personnage a des enfants « pour les enfants » (l. 19) et des liens proches avec deux femmes dont on apprend le nom, « pour Henriette et pour Cécile » (l. 19). Le lecteur est amené à partager tout au long des deux premiers paragraphes les sensations physiques du personnage, sa relative faiblesse «vous essayez en vain de pousser un peu plus le panneau coulissant» (l. 3-4), «vos

réclame vengeance. • Le passage : cet extrait se situe à la scène 3 de l'acte IV, après la bataille dans laquelle Rodrigue a joué un rôle décisif. La bataille ne pouvant être représentée sur scène, elle est donc racontée avec précision dans une longue tirade de Rodrigue qui s'adresse au roi. Le bon conseil Identifiez avec précision les procédés littéraires mis au service du récit et n’oubliez pas de prendre en compte la dimension poétique du texte : – présent de narration utilisé tout au long de cette

. . la .... position . . . . . . . . . . . voulue . . . . . . . . .», . .« . . d’un . . . . . . regard . . . . . . . . .innocent . . . . . . . . . . . et . . . approbateur . . . . . . . . . . . . . . . . ») . . . et . . . par ...... son . . . . . ironie . . . . . . . .vis-à-vis . . . . . . . . . . .du . . . personnage . . . . . . . . . . . . . . . .féminin . . . . . . . . . .(« . . Nous . . . . . . . étions . . . . . . . . reçus ........... chez . . . . . . .des . . . . tas . . . . .de . . . “grands

de Frédéric ; effacement du narrateur qui se trouve emporté par Frédéric. Ironie flaubertienne qui passe souvent par D-I-L. ex :passage du pont neuf, pas tout en D-I-L, seulement les deux dernières phrases. En même temps : enthousiasme de Frédéric et regard ironique de Flaubert sur cet enthousiasme. On sent plus nettement l’ironie par rapport à Frédéric que par rapport à Mme Bovary. Cf. : Maupassant : Une Vie : Ironie du roman par rapport au personnage : Hommage à Flaubert Le D-I-L est privilégié

majorité des auteurs de l’époque, dans une louange constante du roi : ses odes et Alexandre en sont les marques les plus évidentes, et jamais cette attitude courtisane ne se démentira. La cour est alors jeune et encline aux plaisirs, dominée par Henriette d’Angleterre et toujours émue aux nouvelles conquêtes féminines de Sa Majesté. Colbert orchestre l’ensemble et le roi, grand guerrier, bon danseur, excellent chasseur, devient le centre de toutes choses. Encore itinérante, puisque Versailles est

Caroline attend la visite de Mme de Maupassant. Elle ne dessine plus car l’atelier est vide depuis le départ de son frère. Le soir, visite de Bourlet. À Paris, Flaubert va voir la famille Collier pour remettre une lettre de Caroline à Gertrude. Quant à Henriette, elle va plus mal, et désire consulter le docteur Flaubert. Gustave déjeune avec Orlowski qui était à Paris pour la journée Flaubert loue un logement au 19 rue de l’Est, et achète pour 200 francs de meubles, dont un « lit en fer de 3 pieds sur 6

lequel ils ne toucheraient pas la terre. Gringoire jouissait de sentir, de voir, de palper pour ainsi dire une assemblée entière, de marauds il est vrai, mais qu'importe, stupéfiée, pétrifiée, et comme asphyxiée devant les incommensurables tirades qui surgissaient à chaque instant de toutes les parties de son épithalame. J'affirme qu'il partageait lui-même la béatitude générale, et qu'au rebours de La Fontaine, qui, à la représentation de sa comédie du Florentin, demandait: Quel est le malotru

sans lequel ils ne toucheraient pas la terre. Gringoire jouissait de sentir, de voir, de palper pour ainsi dire une assemblée entière, de marauds il est vrai, mais qu’importe, stupéfiée, pétrifiée, et comme asphyxiée devant les incommensurables tirades qui surgissaient à chaque instant de toutes les parties de son épithalame. J’affirme qu’il partageait lui-même la béatitude générale, et qu’au rebours de La Fontaine, qui, à la représentation de sa comédie du Florentin, demandait : Quel est le

labandon de Clitandre qui sest lass de ses froideurs, affecte de mpriser le mariage, sa jeune sur Henriette entend au contraire pouser ce mme Clitandre, devenu amoureux delle. Mais Philaminte compte marier Henriette contre sa volont Trissotin, un pote pdant et intress qui profite du travers de ces femmes prtentieuses et qui se couvre de ridicule au cours dun affrontement verbal avec lhellniste Vadius. Henriette, soutenue par son pre, son oncle Ariste et la servante Martine, rsiste ce mariage, alors quau