L Ironie De La Tirade D Henriette

Les Femmes Savantes de Molière (1672) Scène d’exposition (act1 scn1) Consigne : Rédiger les deux parties du commentaire argumenté des Femmes Savantes de Molière I. Armande et Henriette, deux points de vue qui s’affrontent : A. Deux approches contraires du mariage *deux tirades : dialogue entre les deux personnages + ponctuation très importante + 5 phrases / 4phrases donc dvlp *Discours argumentatif donc dvlp des idées B. La vision d’Armande ou la femme libérée par l’amour

périphrases et métaphores pr éviter les mots jugés bas ou aux sonorités disharmonieuses (chaise> les commodités de la conversation ; miroir > le conseiller des grâces). Dans la pièce, c’est Armande et sa mère (Philaminte) qui représentent les Précieuses. Henriette se situe à l’extrême opposé. Pièce repose sur le mariage contrarié d’Henriette, aimée de Clitandre mais promise à Trissotin qui se dit « bel esprit » et « précieux ». L’extrait prend place dans la scène d’exposition. 2) Lecture du texte + hypothèses

voyage à Lyon avec sa femme et sa fille Henriette, pour fêter sa retraite en tant que carrossier et la fin des études de sa fille. Ils se retrouvent à la gare tout excités et s’occupent des bagages. Disputes entre les époux et installation dans le train sous les conseils du facteur. Entre temps apparait Majorin qui emprunte de l’argent à M.Perrichon. Les prétendants d’Henriette arrivent à la gare également et prennent la même destination. Leur but, suivre Henriette pour la séduire. Une lutte amicale,

jalouse HARPAGON, avare ROLES CONTEMPORAINS : Le BEBE, savant La MERE, prétentieuse et cupide MINOU, homosexuel effarouché BEBERT, homosexuel autoritaire CHRISTINE, naïve NADINE, vulnérable EMMANUELLE, poétique FLORENCE, peu effarouchée HENRIETTE, ISABELLE, MICHELLE, stupides Madame SARUD, psychologue très prude MARTHE, femme cachottière ALBERT, homme jaloux Le DIRECTEUR, l’avare Le ou la concierge de service installe de décor et les accessoires : * le pupitre du METTEUR en SCENE

 sont divisées en ​ cinq actes​ , l'action culminant généralement au quatrième  (Mots­clés).     Exemple : La composition des ​ Femmes savantes​  (1672), de Molière, résumée par rapport aux  actions des personnages, est la suivante : I. Armande contre Henriette ; II. Philaminte contre  Chrysale ; III. Trissotin contre Vadius ; IV. Clitandre contre Trissotin ; V. Déroute de Trissotin.    Une scène :  Partie d'un acte ou d'un tableau au cours de laquelle le plateau est occupé par les mêmes  personnages. 

évaluer Discours épidictique Eloge ou blâme d’une personne, d'un fait, d'une société... Valeurs : le vrai/le faux, le beau/le laid, le bien/le mal ... vocabulaire valorisant ou dévalorisant, métaphores, périphrases, hyperboles, ironie, comparatifs et superlatifs de supériorité ou d'infériorité, syntaxe expressive... Marquer sa neutralité et son objectivité Proverbe, maxime, fable, apologue dès l'Antiquité Transmission Tournures impersonnelles et d'un savoir

façon elle se prête aussi à la caricature. C'est exactement ce qu'entend faire Molière: ridiculiser certaines mœurs de son temps et les précieuses sont la cible désignée de sa critique. C'est alors que le nom de précieuse a été employé avec ironie pour dénoncer la contrefaçon d'un idéal de politesse perverti par les excès, les maladresses et les insuffisances du goût. La préciosité est donc en rapport avec la politesse et la galanterie et on ne doit pas confondre le langage à la mode utilisé

ses d�clarations enflamm�es � Hermione (vers 481-504 et vers 1153-1154). Comme les personnages d�veloppent souvent des strat�gies flatteuses, une ambivalente et parfois fr�missante duplicit� est introduite dans l'�nonciation par la galanterie, l�ironie, l�insinuation ou la dissimulation. Mais, dans I'esth�tique temp�r�e de Racine, ces �lans sont �quilibr�s par une recherche paradoxale de la clart� la plus limpide. Le vers Si le lexique est r�duit, il est brillamment utilis� (parfois un peu

discrtion, qui tait essentielle pour la socit galante du XVIIe sicle, tandis quaux vers 574-576 Oreste revendique sa transgression. On a mme pu dire que ces mendiants damour ont lu des romans prcieux. Racine le nia dans sa premire prface, mais avec ironie. En fait, une prciosit de bon ton tait alors si naturelle quun auteur de tragdie et choqu la vraisemblance sil nen avait pas dot ses personnages. Pour un spectateur de 1667, Pyrrhus et Oreste taient conformes la vrit humaine en parlant damour avec

qui était essentielle pour la société galante du XVIIe siècle, tandis qu’aux vers 574-576 Oreste revendique sa transgression. On a même pu dire que ces mendiants d'amour ont lu des romans précieux. Racine le nia dans sa première préface, mais avec ironie. En fait, une préciosité de bon ton était alors si naturelle qu'un auteur de tragédie eût choqué la vraisemblance s'il n'en avait pas doté ses personnages. Pour un spectateur de 1667, Pyrrhus et Oreste étaient conformes à la vérité humaine en parlant