L Islamophobie

Depuis le 11 septembre 2001, observateurs et analystes n'ont jamais autant parlé de l'« islamisme » et même d'Islam, les différents commentaires - souvent hâtifs et superficiels - oscillant entre l'« islamophobie » que sous-tend le dangereux amalgame islam=terrorisme islamiste, et l'autre face de Janus de l'ignorance que constitue l'« islamiquement correct », en vertu duquel les récurrents attentats islamistes sont toujours des occasions, sous prétexte de dénoncer l'amalgame, de vanter les qualités

1990 qui font de plus en plus débats dans les écoles(et notamment après les problèmes due à l'exclusion d'une collégienne suite à son port de voile en classe) soulevant de questions de société plus profondes ( confusion entre musulman et arabes, islamophobie). Même s'il ne faut pas amplifier, ou isoler de leur contexte social les questions de religion et d'école, il ne faut pas non plus les sous estimer car ces problèmes remettent constamment en cause la laïcité dans l'enseignement et les exemples

de dissociation inventé par Jacques Généreux montre que la société hypertrophie l'être avec, elle réprime le désir d'être avec, remplacé par l'être soi. On parle de dissociété : processus qui tend à délier et isoler les sociétés humaines (ex : islamophobie ou rivalité entre catégories sociales...) II. Le point de vue sociologique • • • • Le sociologue considère que l'homme est un animal social. L'être avec est la condition fondamentale pour réaliser l'être soi. Il a des capacités sympathiques

intégrant le camp anti-terroriste, jugeant l’islamisme jihadiste de fasciste et donc de menace pour la nation française. De l’autre, les militants considèrent que ceux sont les attentats qui donnent lieu à une défiance envers l’Islam, voire à une islamophobie, qui est à considérer comme un racisme à combattre. Les trois pôles que nous venons d’expliciter ne sont bien-sûr pas cloisonnés aux quelques caractéristiques que nous leur avons donné. De plus, n’oublions pas qu’il existe toujours des dissonances

pour justifier leurs attaques contre l’islam. L’islamophobie s’est aujourd’hui constitué en fonds de commerce attisant des campagnes médiatiques dans certains pays, utilisant les amalgames et favorisant l’intolérance, la haine, la violence. Islamophobie et islamisme politique : même combat Ce qu’il est convenu d’appeler en Occident l’islamisme politique chasse sur les mêmes terres de l’intolérance pour les partisans d’une violence qui se distingue par la déformation et la défiguration du message

élections présidentielles et législatives. 3. Les Principaux partis. PS, UMP. Autres partis : • en déclins ex. PC (effondrement bloc soviétique, catégorie ouvrière en désaffection). • FN : poussée du FN (vote protestataire, islamophobie, xénophobie) • NPA Besancenot. • Les verts et Europe écologie. • Le centre (Modem) en déclin (vie politique très polarisée). 4. Faut-il moderniser la République. En débat : • Montebourg (PS) : régime plus

qui s'est longtemps caractérisé par une grande tolérance et un multiculturalisme assumé. Certes le populisme de Geert Wilders n'est pas assimilable à un extrémisme de droite classique. Libéral et pro-israélien, il transmet à titre principal une islamophobie radicale indispensable, selon lui, à la défense du pays. L'audience croissante de son parti dans l'opinion reflète toutefois une montée de l'intolérance aux Pays-Bas depuis le début des années 2000. Dans ce contexte, l'interdiction générale du

sanglants des attentats de Charlie Hebdo ont soulevé une question qu’ont ne peut aucunement éluder. Cette question revient à savoir s’il est possible de rire du tout, même du réligieux sous la bannière de la liberté d’expression ? à quand la loi sur l islamophobie, l’égalité…. B- Des réflexions à mener La liberté d’expression a-t-elle des limites ? Pour certains les croyances et les comportements religieux ne sont pas au-dessus de l’humour, au-dessus du rire et de la caricature critique. La notion de

monté en puissance de l’islam (en Tunisie et Lybie) provoque l’inquiétude chez les pays occidentaux. B) L'origine des grands préjugés : Un rejet de l'islam ou l'islamophobie. Les préjugés sur l'Islam sont les préjugés sur la charia. Le terme « islamophobie » réfère à la peur et aux préjugés à l'encontre de l'islam et par la suite au rejet des personnes de confession musulmane. Une partie importante de l'opinion publique assimile l'islam ou l'islamisme radical aux Arabes. Dans son rapport de mars

« L’islam à la télévision, les étapes de la médiatisation », Cahiers de la Méditerranée [En ligne], vol. 76 | 2008, mis en ligne le 05 mars 2009, URL : http://cdlm.revues.org/index4308.html, (Page consultée le 26 juillet 2009). [70] Sami ZEMNI, « Islamophobie. Clé de lecture de l’exclusion sociale et politique des musulmans en Occident », dans Ural MANÇO (sous la direction de), Reconnaissance et discrimination. Présence de l’islam en Europe occidentale et en Amérique du Nord, Paris, L’harmattan, 2004