L'Œuvre

Gargantua, écrit par François Rabelais. L’extrait étudier démarre de « N’avez-vous jamais attaqué » et se termine à « la gestion des affaires ». Nous allons voir en quoi Rabelais, par son portrait du lecteur idéal donne les clefs pour comprendre l’œuvre et en saisir au mieux le coté sérieux. Nous allons donc dans un premier temps, analysé les analogies qui lient les deux paragraphes de l’extrait, puis dans un second comprendre ce que Rabelais nomme un « lecteur idéal », et enfin, quelles marques

I. Fiche de renseignement * Titre de l’œuvre: Room in New York * Date d'exécution: En 1932 * Technique et support: Huile sur toile * Dimension: 74x91cm * Lieu de conservation: Exposé à Sheldon (usa) au Sheldon Art Gallery * Remarque: Thématique: Salon, piano, appartement * II. Description * C’est une scène de la vie quotidienne d’un couple vivant à New York. La scène est montrée à travers la fenêtre ouverte donnant sur leur appartement. Les murs de l’appartement

clairement à l’avance que nous chercherons à organiser l’auto-défense des travailleurs, pour que le coup d’État militaire et la répression massive qui ont eu lieu au Chili en 1973 ne puissent pas se reproduire. “ L’émancipation des travailleurs sera l’œuvre des travailleurs eux-mêmes ” (Marx dans Le Manifeste communiste) reste notre boussole. D’une manière générale, ce sont les forces de la réaction qui imposent la violence. Notre choix est celui du nombre, des formes de lutte qui rendent les revendications

Conseil constitutionnel n’est pas toujours du coté du pouvoir exécutif car il fait de plus en plus respecter le jeu des articles 34 et 37 de la Constitution de 1958. Nous pouvons donc nous poser la problématique de savoir dans quelle mesure la loi est l’œuvre du Parlement sous la Vème République. Pour y répondre il parait judicieux de traiter en premier lieu la fonction proprement législative du Parlement et en second lieu la fonction de contrôle du Parlement sur le Gouvernement. I). La fonction proprement

Text 8: Intro: The scene takes place when Grant joins Miss Emma on her next visit to Jefferson, bringing along a notebook and pencil. In the dayroom, Jefferson refuses to eat at first. Grant asks Jefferson to walk with him around the room. As they walk, they start talking together.... Heroism according to Grant Grant’s vision of heroism --> Grant’s definition of what a hero is, it is someone who does something for other people. He does something that other men don’t and can’t do. A hero

RICHARD Hugo 1ère STMG Partie 1 : recherches a. biographie détaillée de Paul Verlaine : Sources : http://www.mag4.net/Verlaine/Biographie.html http://verlaineexplique.free.fr/verlindex.htm Paul Verlaine est né à Metz le 30 mars 1844, où son père, officier, se trouve en garnison. Les parents de Verlaine, longtemps restés sans enfants, ont adopté une nièce, Élisa. Elle sera pour leur fils une grande sœur pleine d'indulgence. Verlaine, enfant, est excessivement "gâté". En 1849, le

I-PRESENTATION DES PERSONNAGES DANS LES SOLEILS DES INDEPENDANCES 1 : Personnage principal 2 : Personnages secondaires 3 : Personnages épisodiques II-ETUDE DESPERSONNAGES DANS LES SOLEILS DES INDEPENDANCES 1 : Fama, personnage principal 2 : Personnages secondaires III- ANALYSE SEMANTIQUE 1 : Perception de Fama à l’égard de la société 2 : perception deSalimata à l’égard de la société 2 : 1/ La perception de la société vis-à-vis de Fama 2 :2 / La perception de la société vis-à-vis

Walter Benjamin : « L’œuvre d’art à l’ère de sa reproductibilité technique » écrit en 1939 B. y expose une vision largement négative de l’émergence de nouveaux dispositifs médiateurs aux effets, selon lui, destructeurs. Pour lui, lorsque les œuvres se transmettent par la « machine » médiatique qui les reproduit, la perte de l’ « aura » qui en résulte entraine fatalement un déficit du côté des amateurs. I. La perte de l’ « Aura » La « déchéance de l’aura », c’est par exemple le passage d’une œuvre

Pensez-vous que les différents pouvoirs à l’œuvre dans notre société agissent aussi dans le sport ? Document 1 En investissant dans les clubs, les médias cherchent à contrôler une filière quitte à intervenir sur les règles du jeu pour attirer plus de téléspectateurs. Une logique qui menace le sport comme institution de la démocratie. Le sport est une institution de la démocratie parce qu’il en rend visible, à travers son fonctionnement, les valeurs et en traduit les tensions, permettant de s’interroger

Le thème de la souffrance dans l’œuvre de Fédor Dostoïevski, Le Rêve d’un homme ridicule Durant toute son évolution, l’Homme a lutté désespérément pour sa survie. Il fut soumis à un processus d’élimination cruel dans lequel les moins aptes à la survie étaient éliminés contrairement au plus aptes, dont ceux-ci pouvaient assurer leur continuité. Ajoutons à cela les extinctions massives sur des populations entières causées par des maladies ravageuses ou par de gigantesques cataclysmes dont la race