L'Ombre d'un doute

Lorenzaccio de Musset Une étude de Jean-Luc. | Version pdf Ce drame historique romantique en cinq actes a été publié en 1834 dans le second volume d’Un spectacle dans un fauteuil, c’est-à-dire qu’initialement Musset n’envisageait pas de le mettre en scène. La première représentation eut lieu en 1896, au théâtre de la Renaissance, à Paris, sans doute à l’initiative de Sarah Bernhardt qui joua le rôle de Lorenzo dans une version passablement mutilée pour pouvoir être représentée selon les conventions

trouver un axe de lecture dans La Religieuse Avant toute chose : - Qu’est-ce qui me prouve sans l’ombre d’un doute que j’ai bien affaire à un extrait de La Religieuse ? - Quel est l’objectif de l’auteur dans cet extrait ? - Quel titre non descriptif pourrais-je donner à cet extrait ? - Se passe-t-il quelque chose de particulier, ou au contraire s’agit-il d’une pause, d’une description, d’un portrait ou d’une réflexion intime de Suzanne ? Sur le plan de la narration : - Comment Suzanne

Adonis doit de passer 1 tiers de l'année avec Perséphone aux enfers, 1 autre tiers avec Aphrodite et pourra disposer à sa guise du dernier tiers. Adonis, choisit de passer ses mois de liberté auprès de Vénus. Ces sentiments provoquent la jalousie d'un autre amant de Vénus, Arès (Mars), dieu de la Guerre. Celui-ci, pour se venger, envoie contre Adonis un sanglier qui le blesse mortellement. Les gouttes de sang versées sur le sol au moment de sa mort donnent naissance à une plante nouvelle à fleur

Résumé Maria, une jeune Brésilienne, passe ses vacances à Rio de Janeiro où elle fait la connaissance d'un Suisse qui lui propose de venir avec lui pour travailler en tant que danseuse. Maria accepte après quelques hésitations et elle se retrouve en Suisse dans un cabaret. Elle veut gagner de l'argent pour aider sa famille qui est restée au Brésil. Au bout de quelques années, elle rencontre Ralf, un de ses clients, qui tombe amoureux d'elle. Au début, elle ne reste réticente, mais à la fin de

comme monarque absolu, et procès des pratiques d’une fiscalité d’un autre âge, au cœur d’un état croulant sous l’emprunt à l’issue de nombreuses années de guerre, li est l’un des procès politiques les plus célèbres de l’histoire de France. Nicolas Fouquet  est procureur général du parlement de Paris, surintendant des finances de Louis XIV, vicomte de Melun et de Vaux. C’est un juriste, un financier, un diplomate, un mécène, disposant d’un vaste réseau au sein du Royaume. Il est aussi protecteur de

flamboyance et l’imaginaire de ce siècle intéresse les artistes puis des écrivains tels que les Goncourts, Hugo1, Gautier, Baudelaire2 et bien d’autres encore3. Dans le monde artistique on commence alors tout juste à reconnaitre et à mesurer le génie d’un peintre caractéristique de ce siècle : Jean-Antoine Watteau, celui qui créa le genre pictural de la « fête galante » dont Verlaine tire le titre de son second recueil poétique : « Fêtes Galantes ». Situation : Il fête alors son vingt-cinquième

publie son premier roman. Ses écrits s’intéressent aux mêmes thèmes : le langage, la voix, le silence, la musique, la mort. On retrouve dans ses thèmes Tous les matins du monde. Alain Corneau Né à Orléans en 1943 et est décédé en 2010 à 67 ans d'un cancer. C’était un cinéphile précoce bien qu'il soit attiré par une carrière de musicien de jazz, il choisit le cinéma. Son premier film sort en 1974. En 1991 il remporte avec Tous les matins du monde un grand succès ainsi que de nombreux Césars.

encore repérés ? Si rompu que je sois à m’observer moi-même, si maniaque que soit mon goût pour ce genre amer de contemplation, il y a sans nul doute des choses qui m’échappent, et vraisemblablement parmi les plus apparentes, puisque la perspective est tout et qu’un tableau de moi, peint selon ma propre perspective, a de grandes chances de laisser dans l’ombre certains détails qui, pour les autres, doivent être plus flagrants. Michel Leiris, L’Âge d’homme, 1939. A L’ORAL ● Rapide présentation

revenais du théâtre St. Charles. La rue était déserte, bien qu’il y eût eu une foule immense à issue du spectacle. Depuis la rue d’Orléans jusqu’à la rue du Quartier, je ne rencontrai pas un citadin, pas un célibataire en bonne fortune, pas même l’ombre d’un officier de police. Et la pluie commença à tomber. Je hâtai les pas; mais je me vis bientôt contraint de m’arrêter au coin des rues de l’Esplanade et Dauphine où l’inconnu s’était déjà abrité. Ce devrait être un homme, sinon riche au moins

chose sur la conduite des hommes en lisant les maximes de La Rochefoucauld. Ce bel équilibre dans la phrase, ces antithèses calculées, cet amour-propre érigé en raison universelle, cela est bien loin des replis et des caprices qui font l’expérience d’un homme. Je donnerais volontiers tout le livre des Maximes pour une phrase heureuse de La Princesse de Clèves et pour deux ou trois petits faits vrais comme savait les collectionner Stendhal. » (Œuvres complètes, T.1, Gallimard, coll. La Pléiade, p.924)