L'Or du diable

d'un air crâne et gaillard, et il jugeait d'un coup d'oeil, à la mine, à l'habit, ce que chaque consommateur devait porter d'argent sur lui. Et une colère l'envahissait contre ces gens assis et tranquilles. En fouillant leurs poches, on trouverait de l'or, de la monnaie blanche et des sous. En moyenne, chacun devait avoir au moins deux louis ; ils étaient bien une centaine au café ; cent fois deux louis font quatre mille francs ! Il murmurait : " Les cochons ! " tout en se dandinant avec grâce. S'il

de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo, « Pauca meae » Les Contemplations, 1856- texte 2 : Ma bohème1 (Fantaisie)

mère, ni sœur, ni frère. - Tes amis ? - Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu. - Ta patrie ? - J'ignore sous quelle latitude elle est située. - La beauté ? - Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle. - L'or ? - Je le hais comme vous haïssez Dieu. - Eh ! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger ? - J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages ! 18 L'horloge. Charles Baudelaire Horloge ! dieu sinistre

monde à sa fantaisie. Il va bien, puisque la multitude en est contente. Si je savais l’histoire, je vous montrerais que le mal est toujours venu ici-bas, par quelque homme de génie. Mais je ne sais pas l’histoire, parce que je ne sais rien. Le diable m’emporte, si j’ai jamais rien appris ; et si pour n’avoir rien appris, je m’en trouve plus mal. J’étais un jour à la table d’un ministre du roi de France qui a de l’esprit comme quatre ; eh bien, il nous démontra clair comme un et un font deux

raisonne réponses si bizarres ? Dromio - . Réponses Quoi, monsieur ? Quand je vous ai parlé ? ANTÍFOLO . Tout à l'heure , mon ¬ mo ici , il n'y a pas une demi-heure . DROMIO. - je n'ai pas vu depuis que je suis homme ¬ donné ici par Centaur avec l'or que vous m'avez eu ¬ crédit. ANTÍFOLO. -Rogue , j'ai refusé de recevoir ce dépôt , et vous avez mentionné un amour et une mesure de co ¬ , ce qui me déplaît trop , comme vous le sentez , je l'espère. DROMIO. - Je suis très heureux de vous voir dans

Bergman : Le gardien de l'asile de nuit ▪ Raymond Lee : Le gamin qui se bat avec le Kid ▪ Charles Reisner : Bully son grand frère ▪ Lita Grey : L'ange séducteur ▪ Edith Wilson : La dame au landau ▪ Jack Coogan Senior : Le pickpocket / le diable ▪ Frank Campeau : Le directeur de l'orphelinat Filmographie Keystone (1914) Pour gagner sa vie -· Charlot est content de lui -· L'Étrange Aventure de Mabel -· La Course au voleur -· Charlot et le Parapluie -· Charlot fait du cinéma -· Charlot

et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. 10  Un fleuve sortait d'Éden pour arroser le jardin, et de là il se divisait en quatre bras. 11  Le nom du premier est Pischon; c'est celui qui entoure tout le pays de Havila, où se trouve l'or.12  L'or de ce pays est pur; on y trouve aussi le bdellium et la pierre d'onyx. 13  Le nom du second fleuve est Guihon; c'est celui qui entoure tout le pays de Cusch. 14  Le nom du troisième est Hiddékel; c'est celui qui coule à l'orient de l'Assyrie.

composition des Nuits 1836 : Musset : Les confessions d'un enfant du siècle 1838 : Hugo : Ruy Blas ; Poe : les Histoires Extraordinaires 1839 : Stendhal : La Chartreuse de Parme 1841 : Wagner : Le Vaisseau Fantôme 1846 : George Sand : la mare au diable ; Berlioz : La Malédiction de Faust 1847 : Emily Brontë : Hurlevent 1846-1847 Crise économique et chute du régime de Louis-Philippe 1848-1851:  la Seconde République 1848 février:  La Révolution de 48 donne naissance à la Seconde République

Odyssée mais bien une suite. II.Les œuvres latines. 1)L’Aulularia de Plaute Molière s’est très fortement inspiré de cette œuvre pour écrire sa pièce très connue l’Avare. a)La version de Plaute Un pauvre diable, Euclion, a découvert dans sa cheminée une marmite pleine d'or qu'avait déposée secrètement son grand-père. Depuis ce jour, il vit dans la crainte d'être volé. Il soupçonne sa vieille servante Staphyla de l'épier pour s'emparer du trésor. Il accueille

les narrateurs omniscients et présente les choses qui environnent les personnages comme un monde de signes qui nous renseignent sur leur personnalité. Dans La Curée, on reconnaît le parvenu à son hôtel particulier, qui mêle « tous les styles », où l’or ruisselle sur les murs, affichant une réussite insolente ; on reconnaît l’insouciance de Mme de Marelle, dans Bel-Ami, aux quatre tableaux qu’elle laisse pendre du mur « au bout de cordons inégaux ». Leurs sujets naïfs, « une barque sur un fleuve »