L étranger Camus Monstre

Activités/ Fiches et Ressources  pour Accompagner  la Lecture de l'ÉTRANGER CAMUS, (Albert), écrivain français né en Algérie en 1913; auteur d'essais (Le mythe de Sisyphe),  de romans (L'Étranger, La Peste), et de  pièces de théâtre (Caligula, Les Justes).  Prix Nobel de littérature en 1957, avant sa mort absurde en 1960 dans un accident  de la voiture dont  il était passager. | Albert Camus s’explique dans une dernière interview : «...J'ai résumé L'Étranger, il y a longtemps, par une phrase

rencontre un vieillard   qui l'empêche de passer. Il se querelle avec et le tue. En arrivant à Thèbes, Œdipe se trouve face au Sphinx qui pose des énigmes aux passants et dévore ceux qui ne savent pas répondre. Il répond correctement à l'énigme du monstre et ainsi débarrasse le pays du Sphinx. Pour le remercier, les habitants le font roi de Thèbes et il épouse la reine Jocaste qui est veuve. Comme l'avait prédit la Pythie, Œdipe a tué son père et épousé sa mère, mais il l'ignore. Un jour, la peste

personnage permet aussi une réflexion philosophique. A travers ce personnage, se posera une multitude de questions philosophique comme dans le personnage de Meursault dans L’Etranger par Albert Camus. Meursault, personnage principale du roman va rester, comme le titre de l’œuvre nous l’indique ‘étranger’ au lecteur. Aucune description ni physique, ni morale nous est donnée. Nous n’apprenons son nom qu’à la troisième page. Toutes les péripéties sont faites pour remettre en question la condition humaine

trouver en Langlois (chaleureux, serviable, amical...) : un prodige vivant. C’est cette faculté à réveiller les imaginations et les élans qui arrache le personnage à l’humanité ordinaire pour le faire voisiner avec les ‘grands hommes’. 3. Familier et étranger Langlois n’est en rien « comme les autres », tout d’abord parce qu’il est le nouveau venu, l’étranger d’un groupe social fermé et reclus entre ses montagnes : « l’Anglois ». De plus, il est sans attaches sociales et familiales, le rôle qu’il

sont tranchées par l'avis du procureur, l'avocat général. On a l'impression qu'il se sent étranger à son procès (« taisez-vous ... je n'avais rien à dire »). Le procureur reconstitue toute la première partie du roman tentet de démontrer que Meursault a prémédité ce crime et qu'il a tué en pleine connaissance de cause, son attitude envers sa mère prend le pas sur le crime lui-même : Meursault est un monstre moral qui représente un danger pour la société. Le procureur assimile son crime à celui du

récurrent qui parcourt l’œuvre : l’omniprésence de la mort. Qu’il s’agisse de la première phrase du récit (l’annonce de la mort de la mère de Meursault), du centre du récit (le meurtre de l’Arabe) et de sa fin (la condamnation à la peine capitale), Camus dessine cette figure obsédante de la condition humaine qu’est la conscience d’une vie promise à la mort. Dès lors, le personnage de Meursault qui attend sa condamnation dans sa prison atteint à la métaphore : sa prison, comme une image de la condition

bsurde Quotidienneté Etude de L'étranger, d'Albert Camus   Avertissement : Les textes étant protégés par la loi sur la propriété intellectuelle, merci de me contacter sur le blog en cas de désir de reproduire cette analyse en totalité ou en partie. Merci aussi d'en indiquer la provenance en proposant un lien vers le site en cas d'évocation de cet article.     Traiter de l’absurde est difficile dans un roman. La notion désigne l’absence de sens et un roman sur l’absurde est un roman traitant

L’Etranger – Albert Camus Résumé : Dans les années 1950, un homme nommé Meursault, et dont on ignorera le prénom vit en Algérie Française. La narration de ce narrateur-personnage débute par la réception d’un télégramme qui lui annonce le décès de sa mère. Il quitte donc son travail pour deux jours et part pour l’asile où elle était placée, à 80km de là. L’enterrement a lieu sous un soleil aveuglant, et sans une larme versée. A son retour en ville, il rencontre l’une de ses anciennes collègues

fille aveugle, un amour sincère sans jugement, ce qui apporte à l’œuvre une part de divin dans le réel avec l'évocation du paradis. De plus, on peut également découvrir des héros fictifs, où il peut il y avoir, une création de créature ou de monstre, comme Frankeinstein ou Dracula, deux personnages inventé qui suscite l'imagination. Mais il peut également traité un héros comprenant des pouvoirs surnaturels défiant la condition humaine et les éléments naturels, comme Harry Potter, qui a le pouvoir

nuance "Je n'arrive pas à barrir. Je hurle seulement." révèle l'emprisonnement dans la condition humaine déplorée. Il aboutit alors à ce renversement paradoxal de valeurs qui lui fait dire, toujours dans la répétition, "Hélas, je suis un monstre, je suis un monstre." pour signifier son obsession de n'être qu'un homme ; en revanche le rhinocéros n'a pour lui rien de monstrueux et reste le modèle à adopter. Bérenger passe de sa situation actuelle je, ici, maintenant » à la généralisation  «  Malheur