L étranger Camus Monstre

Commentaire composé : Camus : Caligula : Acte II scène 5 Extrait étudié : Albert CAMUS, Caligula, acte II, scène 5, 1944. Depuis la mort de sa sœur Drusilla, Caligula, jeune empereur romain, prend conscience de l'absurdité du monde. II décide d'exercer un pouvoir absolu, tyrannique et cruel sur son royaume. ACTE II SCÈNE 5 Il mange, les autres aussi. Il devient évident que Caligula se tient mal à table. Rien ne le force à jeter ses noyaux d'olives dans l'assiette de ses voisins immédiats

Albert Camus, L'Etranger Biographie de Camus - Né le 7 novembre 1913 en Algérie à Mondovi, il est le second enfant de Lucien Camus, ouvrier agricole, et de Catherine Sintes, une jeune servante d'origine espagnole. - Il n’a pas connu son père, mort en 1914 lors de la bataille de la Marne. - Lorsque son mari est mobilisé, Catherine s’installe avec ses deux fils chez sa mère dans un quartier pauvre d’Alger. - Aidé par l’un de ses instituteurs, Louis Germain (à qui il dédiera son discours de

« malade » à mort. Pour Aristote, pour les criminels les moins récalcitrants, des peines dites par le juges (indemnités pécuniaires) pour les autres criminels ; la mort. Rome Antique : Les citoyens romains sont peu jugé à mort, c’était plutôt les étrangers et les esclaves. Les citoyens étaient torturés, exilés, ou emprisonnés. Cela protégeait la société car cela dissuade les criminels. Moyen-Age ; voir feuille. Temps lumière :Victor Hugo discrédite la position que prend la peine de mort dans la société

PREFACE La carrière d'écrivain de Camus commence et s'achève par le théâtre. En 1936, âgé de vingt-trois ans, il fonde une troupe d'amateurs, le Théâtre du Travail (plus tard rebaptisé Théâtre de l'Équipe) et collabore avec trois amis à la composition d'une pièce intitulée Révolte dans les Asturies. En 1959, quelques mois avant de mourir, il adapte pour la scène Les Possédés, de Dostoïevski. Célébrer collectivement une insurrection ouvrière correspondait à l'idéal communiste qui l'anima pendant

Albert Camus Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi, près d'Annaba (anciennement Bône), en Algérie, et mort le 4 janvier 1960 àVilleblevin, dans l'Yonne en France1, est un écrivain, philosophe, romancier, dramaturge, essayiste et nouvelliste français. Il est aussijournaliste militant engagé dans la Résistance française et, proche des courants libertaires2, dans les combats moraux de l'après-guerre. Son œuvre comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des films, des poèmes et

PREFACE La carrière d'écrivain de Camus commence et s'achève par le théâtre. En 1936, âgé de vingt-trois ans, il fonde une troupe d'amateurs, le Théâtre du Travail (plus tard rebaptisé Théâtre de l'Équipe) et collabore avec trois amis à la composition d'une pièce intitulée Révolte dans les Asturies. En 1959, quelques mois avant de mourir, il adapte pour la scène Les Possédés, de Dostoïevski. Célébrer collectivement une insurrection ouvrière correspondait à l'idéal communiste qui l'anima pendant

04 – Le Roman au XX° siècle – L’ Etranger (1942) Le roman au XX° s èc e – (1942) d’’Allbert Camus Problématique : En quoi L’Etranger est-il représentatif d’une veine romanesque du XX° siècle ? Objet d’étude : Le roman et ses personnages, vision du monde et de l’Homme L’’iinciipiit (I,1) L nc p t (I,1) Le meurtre de ll’’Arabe (I,6) Le meurtre de Arabe (I,6) Le procès (II,3) Le procès (II,3) La scène avec ll’’aumôniier (II,5) La scène avec aumôn er (II,5) L’’exciipiit (II,5) L exc p t (II,5)

aussi par le vocabulaire : le poète est toujours à la recherche de termes précis et techniques qu’il emprunte aux domaines spécialisés; il emploie aussi des mots archaïques ou importe des substantifs étrangers. André Durand présente ‘’Caligula’’ (1944) drame en quatre actes d’Albert CAMUS pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 3) l’intérêt de l’action (page 4) l’intérêt littéraire (page 6) l’intérêt documentaire (page 8) l’intérêt

Ce passage est extrait de L’Etranger, roman écrit par Albert Camus, en 1941 et faisant partie du cycle de l’absurde au même titre que l’essai, le mythe de Sisyphe et la pièce Calligula. Ce roman s’inscrit donc dans une réflexion plus vaste, celle sur l’Absurde, dont Camus donne cette définition : « dans un univers soudain privé d’illusions et de lumières, l’homme se sent un étranger. Cet exil est sans recours, puisqu’il est privé des souvenirs d’une patrie perdue ou de l’espoir d’une terre promise

du narrateur, qui ne peut contrôler ses émotions de détresse ou de colère. De plus, la forte présence d’un vocabulaire évaluatif montre que le narrateur ose exposer son point de vue sur les actes et les faits commis. A l’inverse, dans le texte de Camus, la présence du narrateur est beaucoup plus discrète, voire ténue. En effet, on ne remarque qu’une seule marque de la première personne : « j’ai essayé » (l.1) ; la voix narrative cède devant celle du procureur, qui développe sa plaidoirie. Cette voix