L étranger Sentiment De L Absurde

femme. Le mur est mangé par des fourmis, puis la maison disparaît, puis le train passe sur le corps de sa femme, puis le juge l’accuse, enfin la sentence d’exécution est prononcée. Mais tout cela a lieu dans le rêve même, dans la force logique et absurde du rêve où Plume, malgré tout se rendort pour mieux jouir de la suite du rêve qui ne retient de la mort que son annonce. Le texte se termine par le refrain « Et il se rendormit » ce qui, bien évidemment, n’est nullement la mort, mais la possibilité

Le théâtre de l’absurde « Absurde » : vient du mot latin « absurdus » : ce qui est dissonant, discordant, qui est contraire aux lois de la logique et de la raison. Le théâtre de l’absurde apparaît au XXe siècle, à l’époque de la seconde guerre mondiale. Ce mouvement représente une rupture dans l’histoire du genre théâtral. Les pièces traitent généralement de l’absurdité de la vie (aspect dérisoire de la vie, face à l’échéance inéluctable que constitue la mort). Contexte historique : Les deux guerres

Le théâtre de l’absurde I. Introduction « Absurde » : vient du mot latin « absurdus » : ce qui est dissonant, discordant, qui est contraire aux lois de la logique et de la raison. Le théâtre de l’absurde apparaît au XXe siècle, à l’époque de la seconde guerre mondiale. Ce mouvement représente une rupture dans l’histoire du genre théâtral. Les pièces traitent généralement de l’absurdité de la vie (aspect dérisoire de la vie, face à l’échéance inéluctable que constitue la mort). II. Contexte historique :

n'y a pas de point de vue adopté, on pourrait presque croire à un point de vue interne puisqu'on a un narrateur qui raconte à la première personne et que nous connaissons ses pensées grâce aux verbes de pensée. Il nous dit ses pensées mais pas ses sentiments. On pourrait croire à un point de vue omniscient si le texte était objectif et précis mais justement, le récit manque de précision car voir le début du texte. On peut donc se demander si le narrateur ne cherche pas à coller au plus près du réel

techniques privilégiées d’un auteur qui aime bien tourner tout en dérision: une panoplie des railleries apparaissent alors dans l’écriture camusienne : des antiphrases et des oxymores les plus provocants en passant par les paradoxes les plus absurdes jusqu’aux métaphores les plus dépréciatives. Les registres ironiques sont à tel point multipliés que parfois même ceux-ci se confondent l’un dans l’autre, tour à tour l’ironie devient humoresque et l’humour devient ironique, la satire devient

l'indépendance de l'Algérie tout en étant contre la violence. Le roman étudié fait parti de ce qu'à nommé Camus « le cycle de l'absurde », tout comme Caligula (pièce de théâtre) et le mythe de Sisyphe ( essai ). Résumé incipit : L'étranger est un roman absurde dont l'action se déroule à Alger. L'extrait étudié est l'incipit de l’œuvre ; un incipit sert à informer sur l'intrigue, les personnages, le cadre spatio-temporel et sur les horizons d'attentes. Ici Meursault, le personnage principal, vient de perdre

existant entre inconscient et refoulé: l’inconscient a un sens large, alors que le refoulé a un sens plus étroit, puisqu’il s’applique surtout aux sentiments, alors que l’inconscient concerne toutes formes de pensées, actions et sentiments. Ainsi, l’impression d’enfance est à la fois inconsciente, et plus particulièrement du domaine du refoulé. Les sentiments érotiques que Norbert refoule sont liés à son enfance et à Zoé, amie réelle qu’il prend pour sa Gradiva imaginaire. En effet, lorsqu’il étaient

brûlant… Il sera condamné à mort. ❖ Détermination du genre Roman court ❖ Détermination du sujet  L’Etranger, est donc un roman dont le personnage principal est mystérieux, ne se conforme pas aux normes sociales et semble étranger au monde et à lui-même. Grâce à une narration proche du journal intime, Meursault fait l’inventaire de ses actes. ❖ Particularités du texte • Les moments importants : L’incipit et L’excipit L’incipit : L’incipit

propos des gens et de tout ce qui l'entoure. Il en est pourtant différent, mais sans pour autant être méchant. Il tue l'Arable sans vraiment réfléchir, mais n'en n'avait pas l'intention au départ. Il n'éprouve que de la curiosité, mais aucun autre sentiment ; il est incapable d'amour, d'amitié, de joie, de haine ou même de remords .. Mais on a pourtant l'impression qu'il est sensible tout de même à la beauté d'une personne, comme par exemple à la beauté de Marie. Il est aussi près à rendre de service

bureau, y semble «étranger» à lui-même; dépourvu de sentiments vis-à-vis des êtres et des situations, il agit comme de manière machinale. La lumière, le soleil, la chaleur semblent être la cause d’une soudaine précipitation des événements : sur une plage, à la suite d’une bagarre, il tue un homme de cinq coups de revolver sans pouvoir fournir lui-même de véritable raison à son acte. C’est précisément dans ce décalage entre l’individu et le monde que se situe la dimension absurde de la condition humaine