L étranger Sentiment De L Absurde

Excipit, Etranger, Camus Séance finale, l'Etranger support:L'excipit objectifs: l'excipit, le questionnement, la révolte de M. Ds les passages précdt on se rend compte que M. parle en ayant une temporalité très floue, et on voit qu'il ne s'implique dans rien. Situation: L'aumônier vient le visiter, ce qui provoque la révolte pbtique, en découvrant toute l'absurdité de sa vie, cmt M. parvient-il à trouver la paix et l'acceptation de soi. Structure Trois

Le théâtre de l'absurde. « Absurde » : vient du mot latin « absurdus » : ce qui est dissonant, discordant, qui est contraire aux lois de la logique et de la raison. Le théâtre de l’absurde apparaît au XXe siècle, à l’époque de la seconde guerre mondiale. Ce mouvement représente une rupture dans l’histoire du genre théâtral. Les pièces traitent généralement de l’absurdité de la vie (aspect dérisoire de la vie, face à l’échéance inéluctable que constitue la mort). Contexte historique : Les

question que Camus poursuit dans La Peste est : Comment une personne se comporte face à l’étrangeté et l’éloignement, ou de parler dans les propres mots de Camus---comment sorti de l’état de l’absurde ? Dans La Peste, à quoi ça se produit le sentiment d’absurde à les gens qui sont encerclés à Oran ? Il y a bien sûr une profonde liaison entre les actions et les croyances des gens. Quand l’on se trouve dans l’état de l’absurde, on choisira le réveil ou le recul ? Est-ce qu’il est utile d'insister

à l’œuvre dans l’Etranger, récit qui met en scène Meursault, un homme dépourvu de sentiments, subissant passivement sa vie, faisant de lui un personnage absurde et décalé. Pour lui rien ne semble avoir aucune importance, même la demande en mariage de sa petite amie Marie qui le laisse indifférent. Il erre dans la marge de la société dans laquelle il vit. Un homme « nu » et qui se tient seul face à un monde absurde. Un homme qui refuse de « jouer le jeu » de sa société et « qui, sans aucune attitude

d’être présents. L’ancien révolutionnaire entretient des relations différentes avec les personnages du récit (Urfy, la mère d’Urfy, Omar Heykal, la prostituée, Taher), la confrontation de sa psyché avec celle des autres personnages évoque en lui des sentiments spécifiques (peur, admiration). Le caractère de Karim et ses profondes relations avec les différentes personnages du roman fait de lui une entité particulière, un nouveau genre de réactionnaire révolutionnaire, un homme plein d’humour qui lutte

mise en scène de la pièce), comme certains objets « l’escabeau » « les lunettes », on assiste à une primauté du visuel sur le langage. On peut le justifier avec l’importance des didascalies, la première où Clov enchaîne des mouvements symétriques, absurdes «  Il tourne la tête à droite regarde la fenêtre à droite » «  Il tourne la tête à gauche regarde la fenêtre à gauche » p12. Ses gestes répétitifs seront au cœur de la pièce, puisque celle-ci est fondée sur des échos, des répétitions : - de discours

Baudelaire appartient clairement à cette lignée de poètes après 1850 qu'on nomme les "poètes maudits", d'après une expression de Verlaine qui établit dans un article une liste de ces poètes, où il s'inclut lui-même. L'expression désigne le sentiment de marginalisation de ces poètes, qui se sentent exclus de leur société contemporaine pour deux raisons: des raisons morales: ils vivent en marge des codes sociaux et moraux de leur époque (drogues, alcoolisme, homosexualité pour Verlaine et Rimbaud

(ex : fume à un enterrement et ne pleure pas …)· Etranger à quelqu’un, inconnu (il nous paraît étranger, on ne le connaît pas bien et les autres personnages non, il est étranger à lui-même : ne se reconnaît pas dans un miroir)· Etranger à quelque chose (indifférent devant son patron, devant Marie, déconcerte son avocat et parait indifférent à la mort de sa mère)· Se sent étranger puis non étranger (avant son jugement) et enfin de nouveau étranger (durant le procès)6. Mouvement littéraire : l’absurde·

Structure Caractère étrange et déroutant de la scène : le dialogue et la narration/ L’étrangeté du narrateur Vision du monde qui illustre « l’homme absurde » : contraste entre les deux personnages / passage permettant de compléter le portrait moral de « l’étranger » Analyse de chaque partie : Caractère étrange et déroutant de la scène Le dialogue et la narration Discours direct Meursault ; discours rapportés l. 12 et 16→ décalage entre la question et la réponse +l. 29-32 → pas réelle Marie

INTRODUCTION Ce passage constitue la fin d’un long monologue occupant l’entracte intitulée " lamento du jardinier ". Le malheureux jardinier s’est vu enlevé Électre, qu’il s’apprêtait à épouser, par un étranger qui n’est autre qu’Oreste. Son discours est rempli de paradoxes étranges: c’est l’ironie d’un désespéré qui s’efforce par la magie des mots, de changer la réalité selon ses désirs. On pourra analyser successivement : I. Une ironie amère, II. Une manière de refaire le