La Baïonnette

il attaque le soldat. Il y a aussi écri,, « liberté, égalité, fraternité » (c'est la devise de l'état Français) et « 1915 ». « liberté, égalité, fraternité » (c'est la devise de l'état Français) et « 1915 ».casque à pointe. Il tient à la main une baïonnette et semble avec peur du coq donc de la France . Tout ce trouve sur un fond gris clair. Explication, Analyse : Au début de la guerre en 1914, les états français et Allemands pense que cette guerre va être courte et ils ne prévoient pas suffisamment

Verdun. Sa compagnie est anéantie au cours de ce combat et les survivants sont encerclés. Tentant alors une percée, la violence du combat l'oblige à sauter dans un trou d'obus, pour se protéger, mais des Allemands le suivent,le blessent d'un coup de baïonnette à la cuisse gauche. Pris par les troupes allemandes, il est soigné et interné. Après une tentative d'évasion manquée, il est transféré au fort d'Ingolstadt, en Bavière, un camp de représailles destiné aux officiers prisonniers remuants. Il y croise

"Allez dire au roi que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes". Célèbre citation dites par Mirabeau, Au cours d'une séance des Etats généraux ouverte le 4 mai 1789, le marquis de Dreux-Brézé, grand maître des cérémonies du roi, veut faire sortir le tiers-état de la salle. Le comte de Mirabeau, député du tiers état d'Aix-en-Provence, lui rétorque ainsi cette phrase et s'impose dès lors comme l'un des principaux orateurs du tiers état, puis

la hausse des prix des grains va enrichir toutes les classes de la société et représente l'intérêt général. Selon Mably, la politique dite de liberté est dans les faits le contraire de la liberté puisqu'elle est soutenue par les mousquets et les baïonnettes. Les économistes ne voient dans les résistances populaires que l'effet de l'ignorance et des préjugés, face à ce qu'ils considèrent comme une évidence fondée en raison. Or, pour Mably, la raison est ici du côté des émeutiers et l'erreur principale

et violemment psychologiques (la mort est omniprésente : odeurs, vision des camarades morts, corps déchiquetés...) Gaz asphyxiants, liquides enflammés, grenades, canons + obus (2 millions d'obus tirés le 1er Jour, et 30 millions en 300 jours), baïonnettes, mines... La marque d'hygiène (rats, poux = « totos »), la boue, la faim, la soif, la fatigue, le bruit, le froid. Un très grand nombre de soldats morts au front. La bataille de Verdun est le symbole de la barbarie des offensives très meurtrières

des termes spécifiques utilisés dans un contexte qui les dégrade : « meilleur des mondes » est prouvé par un carnage ; « La raison suffisante », principe leibnizien est employé de manière comique, « des effets et des causes » est trivialisé par la baïonnette. (Voltaire a toujours considéré la guerre comme la forme la plus constante du mal sur terre. C’est donc naturellement que Candide rencontre ce fléau dès qu’il quitte le « paradis » (le château). Voir aussi la dénonciation d’un optimisme forcené

prit les armes à la main, mais après un jugement sommaire ils sont fusillés. III. Analyse de l’œuvre. Ce tableau représente la répression du soulèvement des Madrilènes le 3 mai 1808. Au premier plan: A droite, sept soldats français, de dos, baïonnettes au canon, tel une machine à tuer, exécutent un groupe de résistants espagnols. A gauche, trois cadavres gisants dans leur sang : symbolisent le cauchemar de la barbarie de cette scène. Au second plan: Le personnage central : Au milieu du groupe

Capote Poiret 4e type (de caporal-chef) / 4 - Chevron de présence aux armées/ 5 - Rouleau d'épaule bleu horizon/ 6 - Masque à gaz modèle M2 dans sa housse en tissu /7 - Boite métallique du masque M2 / 8 - Petite cisaille à main modèle 1905/ 9 - Baïonnette modèle 1915 (sans le quillon)/ 10 - Fusil Berthier 1907 modifié 1915/ 11 - Brodequin modèle 1916 C'est fini. Verdun est davantage une défaite allemande qu'une victoire française, mais son impact moral est retentissant. Que de morts pour

saleté. C’est les faces moisies et les chairs en loques et les cadavres qui ne ressemblent même plus à des cadavres, surnageant sur la terre vorace. C’est cela, cette monotonie infinie de misère, interrompues de drames aigus, c’est cela et non pas la baïonnette qui étincelle comme de l’argent, ni le chant de coq du clairon au soleil » page 356 Un épisode de l'assaut du 15 avril 1915 sur L'Eperon Sud -Est de Notre-Dame-de-Lorette « La guerre, aussi hideuse au moral qu’au physique… » […] Ces hommes

Les Français face à la guerre A) Un conflit brutal : horreur des combats et brutalisation des esprits 1- la dure vie dans les tranchées Ex. La tranchée des baïonnettes à Verdun 11 juin 1916, 57 soldats sont morts debout ensevelis sous la terre et l’acier après un bombardement d’une intensité exceptionnel… Un monument protège aujourd’hui cette tranchée… Des conditions de vie horrible : boue, rat, froid, poux… les « poilus », la mort présente à chaque instant… 2- Tenir Comment