La Banque Africaine De Developpement

de l’effet domino de la crise née des subprimes américains, de ces crédits hypothécaires consentis à des entreprises au bord de la faillite et à des ménages aux revenus modestes et instables. Ils ont fini par défaillir en masse, au grand dam des banques prêteuses, des fonds de placement et des hedge funds qui les ont refinancés en transférant ainsi leurs risques sur de très nombreux particuliers et acteurs économiques à travers le monde développé. Les marchés financiers du Nord sont sans doute en

au plus haut niveau entre dirigeants africains et responsables politiques des grands pays émergents, Chine, Inde, Brésil, Turquie notamment, n’ont cessé de se multiplier au cours de ces dernières années. Ces rencontres mettent au grand jour la présence croissante de nouveaux acteurs sur le continent africain, dans les domaines à la fois économique, politique et culturel. La Chine, notamment, est devenue en quelques années un partenaire majeur des Etats africains. Cette présence croissante, mais non

s’accroissent, la part du continent africain dans les échanges ne finit pas de s’amenuiser passant de 5% en 1950 à 2,4% en 1970 puis à moins de 1,8% en 2000 • Causes : F.Bakoup→Politiques non coordonnées et non orientées Pauvreté de certains Etats • Statistiques à relativiser : grande partie de l’activité économique réelle pas enregistrée • Instabilité politique B. « Des mondialisations africaines », Anne Volvey • Typologies des pays africains selon leur degré d’intégration dans la

milliard et de sa superficie de[] 30 415 873 km2[] les Africains représentent 16 % de la population mondiale et leur territoire représente 6% de la superficie de la planète. Ces dimensions ne permettent pas à l’Afrique de se développer, ce qui l’ancre dans un sous-développement profond. En effet l’IDH (indice de développement humain) était entre 0.286 et 0.7 en 2011 tandis que le monde était à 0.682 ce qui montre la médiocrité de la vie des Africains. De plus, le PIB par habitant est principalement de

palmarès exclusif des 200 premières banques du continent établi par leune Afrique (et portant sur les résultats 2010 des sociétés) - décode les performances et les principales tendances d'un monde plutôt secret. Il démontre aussi que le secteur des banques et de l'assurance fait bien mieux que résister. En 2010, les groupes ont conforté leur croissance et leurs profits. Comme aspiré vers le haut de manière inexorable, le total de bilan des 200 premières banques africaines s'est établi en 2010 à I375 milliards

CODESRIA Bulletin, Nos 3 & 4, 2006 Page 4 Repenser la science politique africaniste L a montée du nationalisme africain après 1945 et les perspectives de l’indépendance ont suscité l’étude des systèmes politiques africains. La science politique, parfois désignée sous le nom de « gouvernement », est maintenant combinée à l’anthropologie, aux langues, à l’histoire et à la géographie pour former un domaine de spécialisation intellectuelle. La littérature engendrée par ce nouveau champ d’étude

les jeunes nations africaines indépendantes, symbolisé par la création de l’Organisation de l’Union Africaine en 1963 et par le poids de plus en plus important du continent africain au sein des organisations internationales. Il est donc intéressant de se demander de quelle manière les Etats africains, récemment décolonisés ou sur la voie de l’être, ont fait entendre leur voix dans le concert des nations à partir des années 1960 ? Comment s’est traduite la volonté africaine de s’affirmer universellement

Sahr John KpundehSahr John Kpundeh est un membre de l'Équipe de Gouvernance dans l'Institut de Banque mondiale travaillant contre la corruption et sur le fonctionnement d'un gouvernement. Il futconsultant aux États-Unis au sein de l'agence de Développement International, le Programme des Nations unies pour le développement et plusieurs autres sociétés commerciales sur des questions touchants à la lutte contre la corruption et la bonne gouvernance. M. Kpundeh est l'auteur de Politique et Corruption

La politique africaine du Maroc : Atouts et faiblesses. Pendant la dernière décennie nous avons assisté au renforcement des relations politiques, commerciales et financières intra-africaines. Certains pays africains à l’instar du Maroc et l’Afrique du Sud y jouent un rôle prépondérant. A fortiori,  ces deux puissances africaines en émergence  jouent un rôle important dans le mouvement des IDE et des échanges intra-africains comme en attestent les statistiques fournies par les institutions

déficit chronique de la balance des paiements et un ralentissement de la croissance. L’explosion des ratios d’endettement et de l’incapacité de pays de l’UEMOA à faire face à cette situation a entrainé leur gouvernement, avec l’appui de la Banque Mondiale(BM) et du Fonds Monétaire International(FMI) à procéder à de nombreuses mesures de redressement économique. C’est ainsi que des politiques d’ajustements ont été adoptées dans le but d’arrêter les déséquilibres, d’assainir les bases de l’économie