Là-bas si j'y suis

J’suis pas dans l’game pour les ta-tass, j’suis là d’puis Adidas frais comme Elie Nastase. En plein blizzard avec mon B.E.P. vente, j’suis condamné au mic à la vente de substances bizarres. Manque de pot j’ai pris la vie dans mes bras ah ! je l’ai serrée si fort je lui ai cassé le dos oohh !! Devinez qui mène la barre, j’suis rodave mon rap s’est laissé pousser la barbe. Faites du bruit pour le rap sa mise à mort B.O., en chair et en os en chaînes et en or. Bordel, quand on rentre sur la piste on est

d'insuffler un peu de volonté à mon destin. La vie, j'en ai hérité ; la mort, je me la donnerai ! Voilà ce que je me disais, ce matin-là, en regardant le précipice qui s'ouvrait sous mes pieds. Si loin que 10 portaient mes yeux, ce n'étaient que ravins, crevasses, pointes rocheuses poignardant les arbustes, et, plus bas, un moutonnement d'eaux immense, furieux, chaotique, comme un défi à l'immobile. J'allais pouvoir gagner un peu d'estime de moi-même en me tuant. Jusqu'à ce jour, mon existence ne m'avait

qu’en réalité qu’un cycle de création-destruction depuis l’éternité. Il existerait 6 niveaux pour les êtres vivants dotés de consciences dans celle-ci! (l’enfer, les fantômes, les animaux, les hommes, les titans et les dieux). Les niveaux les plus bas étant caractérisés par beaucoup de souffrance et les plus hauts par un bonheur incomparable. Selon le karma qu’ils ont créer, (actions mauvaises + actions bonnes), ils vont se réincarner dans les niveaux qu’ils mérites jusqu’à ce qu’ils atteignent dans

ressort reprend sa position de repos. Sa position initiale. Comme si rien ne s’était produit. Je plisse les yeux comme pour mieux voir et finit par le poser dans le premier tiroir de mon bureau. Ce n’est qu’un vulgaire jouet pour enfant de bas-âge, et ce n’est qu’à cause de la fatigue qu’il m’a l’air intéressant. J’entends des bruits de pas dans le salon ce qui attire ma curiosité. Je tends l’oreille pour discerner qui est entré. En bas, mon père parle mollement comme pour accueillir le nouveau venu

Discours de la méthode Première partie 1. Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée; car chacun pense en être si bien pourvu que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont. En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent: mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale

pose les courses qu’on a faites dans la cuisine de mon appartement et se lave les mains. Moi (m’asseyant sur la paillasse) : tu reste un peu avec moi ?Lui (s’essuyant les mains) : tu n’as pas dormi de la nuit, tu n’es pas fatiguée ? Moi (souriant) : si mais c’est pas grave je dormirais après Lui : non je crois que je vais rentrer, et te laisser te reposer. On se voit tout à l’heure de toutes les façons ?Moi (déçue) : ok Il sort de la cuisine et je descends de la paillasse. Il vérifie qu’il a toutes

même tout simplement de la proclamer. Hier en écrivant ces lignes j’écoutais une chanson qui disait, « je veux entendre ta voix, qu’elle soit bien claire comme tu as parlé à Samuel. Tu me parles mais je ne t’écoute pas… Tu me dis ne va pas là bas, mais j’y vais et je tombe et je me blesse et je crie et je lève le point vers toi…  et toi avec toute ta tendresse tu me dis je suis là. » Mais qu’est-ce-qui se passe lorsque nous n’entendons aucune réponse ? L’auteur de cette chanson a cité Samuel. Nous

appartement intérieur. Au fond, une grande cloison vitrée à châssis dorés s'ouvrant par une large porte également vitrée sur une longue galerie. Cette galerie, qui traverse tout le théâtre, est masquée par d'immenses rideaux qui tombent du haut en bas de la cloison vitrée. Une table, un fauteuil, et ce qu'il faut pour écrire. Don Salluste entre par la petite porte de gauche, suivi de Ruy Blas et de Gudiel, gui porte une cassette et divers paquets qu'on dirait disposés pour un voyage. Don Salluste

pas assez elles même. » Danses comme si personne ne te regardait, Ris comme si personne ne t'avait jamais fait pleurer, Chantes comme si personne ne t'écoutait, Vis chaque instant comme le dernier... Parce que la souffrance renforce les sentiments. Parce que l'espoir fait vivre. Parce qu'un démon est seulement un ange déchu. Parce que la vie est simple et que c'est le monde qui la complique. Vis tout simplement. Pourquoi est-ce si compliqué de vivre ? Nous ne pouvons pas passer

défouler, d’essayer de se valoriser et d’avoir la pitié de ses enfants (qui écoutent la plupart de leurs conversations): C’est toujours de ta maudite faute, toujours! J’ai beau tout essayer pour nous en sortir, on se retrouve toujours un peu plus bas… […] J’ai mis le pied dans’marde quand j’t’ai dit oui, mais avant de mourir dedans m’as te dire non ben des fois, Léopold… (Réf. : À toi, pour toujours, ta Marie-Lou, ligne 7-9 & 13-15) L’insistance des «toujours» vient insinuer que la situation est