La Beauté du geste

I. Rappel sur la marque Lancôme A. La création Lancôme est né du rêve d’un homme exceptionnel : Armand Petitjean. Passionné par les femmes et l’élégance à la française, il avait compris que la beauté d’une femme émane des mille facettes de sa féminité, où l’allure accompagne le geste, où la beauté du corps rejoint les sentiments de l’âme, où la fascination rencontre l’émotion. Le 21 février 1935, Armand Petitjean, parfumeur de génie ayant fait ses classes chez le très célèbre François Coty, décide

amants entrent en scène. - Le poète porte une attention particulière à Marie en lui envoyant un "bouquet" vers 1 : cette attention est renforcée par la mise en valeur du COD «que ma main» : démarche personnelle et volontaire. -> la simplicité de ce geste participe à la manifestation de son amour. - "trier" vers 2 suppose un choix, affirmant la délicatesse de son attention déjà présente dans "que ma main vient" vers 1, et renforcé par le pronom démonstratif "ces fleurs". - L'emploi du présent «envoie/vient»

lecture Amadieu J.-F., Le poids des apparences. Beauté, amour et gloire, Paris, Odile Jacob, 2005 Jean-François Amadieu, est professeur à l'université Paris-1 où il enseigne la sociologie et la gestion des ressources humaines, il est également directeur de l'Observatoire des discriminations qui a pour objectif de mener des études et des recherches concernant toutes les formes de discriminations. Dans son livre intitulé Le poids des apparences. Beauté, amour et gloire il désire nous montrer qu'en

Burgod 2°C Yann Le plus beau poème d’amour : Complainte amoureuse Oui dès l'instant que je vous vis Beauté féroce, vous me plûtes De l'amour qu'en vos yeux je pris Sur-le-champ vous vous aperçûtes Ah ! Fallait-il que je vous visse Fallait-il que vous me plussiez Qu'ingénument je vous le disse Qu'avec orgueil vous vous tussiez Fallait-il que je vous

rien perdu de sa capacité de fascination depuis le XVIème siècle. Les rideaux rouges écartés invitent à pénétrer l'intimité de deux jeunes femmes, assises nues dans un bain. Leur peau est pâle et douce, leur attitude réservée. L'une d'elles fait un geste provocant : pincer l'extrémité du sein de sa compagne, laquelle tient une bague. Derrière les deux femmes un autre rideau rouge dissimule partiellement l'arrière-plan dans lequel se trouve une couturière. On perçoit également une table recouverte d'un

souviens. Ils s’accordaient parfaitement au teint de cette jeune femme qui se présentait face à moi. Je ne la quittais pas des yeux, je ne voulais pas perdre une seule seconde qui m’était accordé pour la contempler. La dessiner, l’inventer. Dans un geste doux, presque maternel, elle relevait ses cheveux. La chaleur était accablante, et tel des cascades, des eaux diluviennes et agitées, ses cheveux semblaient peser des tonnes. J’aurais voulu m’approcher d’elle, la toucher, couvrir son corps de baisers

prestance : « cambra sa taille », « pose », « geste », « frisa sa moustache » (montres on côté viril », « il inclinait ». La comparaison : « comme des coups d’épervier » (rappel de son « regard de joli garçon » et montre sa vivacité, sa beauté). Conclusion L'ouverture de ce roman

combat apparaissent au premier plan : Ivan Kaliayev, qui croit à la beauté et à la joie et n’accepte de tuer que pour donner une chance à la vie. Stepan Fedorov, qui lui ne croit plus qu’à la haine, et Dora Doulebov, une jeune fille qui n’a pas renoncé à son cœur dans son amour de la justice. C’est Kaliayev qui doit lancer la bombe, mais au moment de la jeter il aperçoit dans la calèche les neveux du grand-duc et il suspend son geste. Quelques jours plus tard, Kaliayev tue le grand-duc. Arrêté, il reçoit

fresques cède la place à la simplicité scénographique. L'espace est dépouillé, presque abstrait, muet, situé hors de l’histoire biblique. Les corps montrent des reliefs anatomiques de plus en plus apparents, tangibles, attirant l'attention sur quelque geste, sur l'éloquence des postures. C'est une peinture sculpturale, un jeu d’imbrications musculaires puissamment contrasté par les ombres COMPOSITION Le rythme de composition entière coule de gauche à droite. Vers la gauche, c’est la profusion du jardin

humaines » (l.2) la gazelle personnifiée est un personnage protagoniste du récit d'où ces multiples fonctions. 2) les fonctions de la gazelle. A) la fonction poétique de la gazelle. o Par sa beauté, « grâce » (l.16), « bonds harmonieux »(l.9) o la beauté, la nature ambiguë sont indispensables dans un conte où il y a du merveilleux. o Sa fonction d'émotion, de charme émeut et trouble le lecteur B) la fonction dramatique de la gazelle o s'elle