La Beauté du geste

"oir" marque l'idée d'un face à face entre ce couple. Il y a très peu de description de la femme, le poème reflète surtout un geste quotidien, la répétition de vers entier ainsi que l'imparfait des verbes marque l'idée d'habitude. Ce mouvement est un mouvement de douceur, le poète suggère "un air de harpe" au vers 9 puis "ses patientes mains" au vers 4.C'est ce geste de douceur qui fait renaître des souvenirs communs au poète. Le "je" dans ce poème représente le poète, le "elle" représente sa

En quoi le poème liminaire annonce-t-il ce recueil ? Notes de cours I- L’annonce d’une collaboration L’hommage à Man Ray Prééminence de son nom, évocation de son geste artistique. Tout se passe comme si Eluard préfaçait un recueil d’œuvres de Man Ray. Pourtant présence du « nous »… La présence ambiguë d’Eluard : l’illustration paradoxale La présence d'Eluard se lit à travers la signature PE et en italique, pourtant le « je » du poète est absent – il se dissout dans le dessin. Le vocabulaire

Composition du sonnet I. Eclipse de la Nuit face à l'arrivée de l'Aube II. Entrée en scène de l'Aube qui transfigure le paysage III. Sortie des eaux d'une Nymphe à l'éclatante beauté, sous le regard émerveillé du poète IV. Beauté du jour supplantée par celle de la nymphe, qui se révèle être la femme aimée Commentaire synthétique du sonnet * Premier quatrain : allégorie/ personnification du jour et de la nuit. La Nuit est une bergère qui rassemble son « troupeau d'étoiles » et son troupeau

suffisante, grâce aux indications de jeu et à l’imagination du lecteur, puis dans un second temps nous verrons que la représentation est l’aboutissement du texte théâtral. I. La lecture d’une pièce de théâtre est « suffisante » A. La beauté du texte théâtral Tout d’abord, la beauté et l’écriture du texte peuvent nous touchés. En effet, le texte théâtral est avant tout littéraire, et par conséquent l’auteur choisi avec soin les langages et les procédés stylistiques. Les tragédies versifiées de Racine en sont

importante est le nuage sur le quelle repose la Sainte.Il représente le ciel et la Terre, il est comme le passage entre Dieu et les hommes.Il n'est pas poli en contraste aux autres éléments de la structure ce qui lui donne quelque chose de légèreté. La beauté signifie la sainteté de la Sainte,de la perfection religieuse et morale de la Sainte.C'est une vision Chrétienne de la Sainte.La Sainteté n'est pas un idéal spirituel mais la religion Chrétienne est incarnée.La sainteté resplendit dans la chair et

l’amour et de la beauté : celle d’une vieille prostituée, dont la description détaillée pourrait donner des haut-le-cœur au lecteur ! En cela, il se situe sur une ligne de crête entre esthétique traditionnelle et réalisme cru, entre parodie comique et révolution artistique, entre laideur immorale et beauté amorale, au-delà du bien et du mal, au-delà surtout du beau et du laid. Aussi ce poème contribue-t-il à sa manière -satirique- au geste d’« alchimie

Botticelli, Alexandre Cabanel, Raphael ou Titien. Le nom de vénus, déesse de l'amour, évoque immédiatement à l'esprit féminité, grâce et beauté absolue. Cette évocation en appelle également aux souvenirs littéraires du lecteur qui s'attend alors à un tableau poétique, un blason plus ou moins stéréotypé. Ce poème s'annonce comme la célébration d'un éternel féminin, d'une Beauté divinisée. Or ces attentes sont bousculées dès le premier vers puisque la comparaison avec le cercueil associe une certaine morbidité

l'art peut aussi s'entendre dans le sens quelquefois péjoratif d'artifice. En tant que pratique, il est le fait de l'artisan. L'artisan est celui qui maîtrise un art. L'artiste, maîtrise un talent ou un génie particulier le rendant apte à créer la beauté. Toutefois, comme le suggère l'expression "Beaux-Arts", un rapport existe entre l'artisan et l'artiste ; Et, pourtant, la création artistique et l'oeuvre d'art ne s'expliquent pas uniquement par la possession de la maîtrise d'une technique. Art et

du vocabulaire usé de l’expression amoureuse qui n’est pas celui des valet : « La flamme, les feux, la sincérité de mes feux » l.26 Les « grâces » (les beautés, les appas) : derapage, allusions grivoises et sous-entendus d’Arlequin dont est bien consciente Cléanthis « je savais bien que mes grâces entreraient pour quelque chose ici » mes beautés charnelles et physiques. « vous êtes aimable mais coquet » (vous jouer au séducteur) : Cléanthis utilise avec précision le vocabulaire raffiné, elle fait

FF : en vos grades et qualités. Le sujet que je dois traiter ce midi est: « L'éclairage des étoiles, le Temple s'illumine, nos cœurs aussi ». C'est au centre de la Loge, sur le Pavé mosaïque, éclairé par les TROIS ETOILES: Sagesse, Force et Beauté, qu'est déroulé le TABLEAU DU GRADE D'APPRENTI. C'est au cours de l'ouverture des travaux que le Vénérable Maître demande: «Frères Premier et Second Surveillants, je vous invite à me rejoindre à l'Orient pour allumer vos flambeaux et rendre