La Beauté du geste

• Etude méthodique du Corps Humain, du Spectacle, de l’Œuvre. • Le corps humain nous offre deux sortes de langage : le geste (danse) et la voix (musique). En quel sens l’art est langage ? Le plus puissant langage est l’action (imiter est le premier langage du geste). Le premier échange consiste à trouver un écho ans le semblable. Par imitation attentive, le geste commun devient modèle. La danse est donc la plus ancienne conversation. • Le langage absolu par contre se retrouve dans tous

La beauté peut-elle être naturelle ? Les différentes définitions du beau : -Le beau est une satisfaction qui ne résulte d’aucun intérêt. -Le beau produit une universalité subjective qui postule l’accord de tous. -Le jugement de goût n’est pur que s’il n’est pas conditionné par la représentation d’une fin. -Le beau est l’objet d’une satisfaction nécessaire, il ne s’agit pas d’une nécessité logique, mais de l’ordre subjectif du sentiment. La beauté est relative. C’est l’idée commune, en

La littérature épique au Moyen-Age La chanson de geste La Chanson de Roland 1 La littérature épique au Moyen-Age La chanson de geste La Chanson de Roland  L’art dans la Chanson de Roland (Lagarde & Michard, 1985)  plusieurs Manuscrits existent (à peu près 6)  on cite souvent sous la forme de celui d’Oxford  littérature anglo-normande, riche (4.002 décasyllabes en 291 laisses inégales)  les défauts :  invraisemblanes,  contradictions,  anachronismes et  fantasie dans

AFOULKI Savourez votre bien-être Même si l’on peut emprunter divers rituels de beauté des cinq coins du monde, il faut avouer que nous autres Marocaines avons un patrimoine cosmétique naturel qui fait des envieuses. La beauté fait partie intégrante de la tradition cosmétique de la femme Marocaine. Les anciennes générations ont puisé dans la nature et inventé des préparations et des gestes de beauté qui appartiennent désormais au patrimoine féminin Marocain. Leurs connaissances et usages remontent

ne trouve plus de joie, de beauté dans les choses qui l'entourent. Cela nous montre bien l'étendue de son désespoir car rien ne lui redonne la joie de vivre, tout était gris. Même la plus belle des saisons « L'été », ainsi que les plaisirs de la vie ne parvenaient pas à le faire s’échapper de ses idées noires. Toute chose le mettait en colère, il n'arrivait plus a respirer, il suffoquait dans ce monde sans espoir. Mais l'espoir est revenu avec un mouvement, un geste plus léger qu'un souffle, venu

l’histoire d’une femme qui pose un geste violent pour se libérer des actes de violence qui sont posés par son mari envers elle et ses enfants. L’intention est de démontrer que dans certain cas seul un geste de violence permet de ce libérer d’une vie de couple violente pour ce protéger sois même et aussi protéger les êtres que nous aimons dans ce cas si ses enfants. L’intention de communication de la femme est tout d’abord de se convaincre elle-même que le geste qu’elle a posé était le seul moyen

A.La notion de Beauté : La notion  de beauté inclus en elle des objets d’une si grande diversité que nous ne voyons même plus ce qu’il y a de commun entre ces différents objets, c'est-à-dire entre les genres de beautés qu’ils expriment. Qu’ y a-t-il de commun entre la beauté d’un tableau de Renoir, une symphonie de Beethoven, un geste technique d’un athlète, la plaidoirie d’un avocat ou encore le visage d’une personne. Il semble difficile de parvenir à une définition de la beauté, c’est d’ailleurs

celles de Solange / Claire (parle peu, attitudes, gestes de soumission) soulignent les rapports de dominant à dominé. B. Une exposition détournée Certains éléments plongent le spectateur dans la perplexité. Le jeu souligné de Claire /Madame : le geste tragique, la violence de son discours ; Quelle est l'intrigue ? le rôle d'une scène d'exposition "classique" est de faire le point sur une situation . Ici, la scène semble se perdre dans les détails : les gants, les préparatifs de la toilette, l'anecdote

la meilleure note de sa commune au certificat d'études primaires Il commet son premier vol à l'âge de dix ans. C'est l'acte fondateur de la mythologie de Genet qui, fustigé pour son acte, donne un change très existentialiste en sanctifiant son geste, revendiquant ainsi une asocialité profonde. Il fugue et, à treize ans, est séparé d'office de sa famille d'adoption pour suivre une formation de typographe. Fuguant à nouveau, il est enfermé dans la colonie pénitentiaire de Mettray, où se cristallisent

de vie palestiniennes, sur l’état de guerre permanent et sur le chaos qui en résulte, montrent une situation de cul-de-sac propice aux gestes les plus désespérés. La scène de la destruction de la maison ancestrale révolte le narrateur : même si le geste est la riposte musclée à un attentat terroriste commis par un membre du clan, il choque par l’insensibilité de son radicalisme. Il prive en effet les habitants du clan du seul lieu qui soit vraiment leur et contribue à la dislocation du tissu social