La Beauté Est Elle Une Qualité Des Choses

brièvement au mouvement surréaliste. Francis Ponge se maria avec Odette Chabanel en 1931 puis adhéra au partir Communiste en 1937. Durant cette période, il travaille « vingt minutes » chaque soir à ces petits textes qui constitueront le Parti pris des choses. En 1944, Satre écrivit un article élogieux sur Francis Ponge, c’est le début de sa notoriété. Il quitte le parti Communiste en 1947, considérant que le parti interférait avec sa liberté d’auteur individuel. Il devint ensuite professeur à L’alliance

l'art contemporain, ou bien, tout bonnement d'un hommage au "grand art" de Dürer. A vrai dire, on ne sait jamais avec Jean Clair, tant l'ancien directeur du musée Picasso se montre déstabilisant, fuyant dans ses réponses. D'un côté, il affirme des choses et condamne une certaine indigence de l'art contemporain. De l'autre il semble pencher carrément pour des relents passéistes, une forme de nostalgie face à ce que l'art était avant. Est-ce simplement un constat qu'il fait sur l'art contemporain ou

jugements sur un sujet, même s'il est délicat de définir laquelle, et cette vérité sera la norme du goût. Un sentiment, au contraire, sera toujours juste car il ne se réfère pas la réalité de l'objet. Par conséquent la beauté n'appartient pas aux choses, c'est l'homme qui crée la beauté en façonnant son sentiment esthétique. De ce fait, un objet sera changeant en fonction de celui qui le contemple. L'idéal serait, selon Hume, qu'on ne cherche pas l'universalité du beau et qu'on se contente de son propre

trouvions en présence de leur répliques réelles... Grâce à cette idéalité, l'art imprime une valeur à des objets insignifiants en soi et que, malgré leur insignifiance, il fixe pour lui en en faisant son but et en attirant notre attention sur des choses qui, sans lui, nous échappaient complètement. L'art remplit le même rôle par rapport au temps et, ici encore, il agit en idéalisant. Il rend durable ce qui, à l'état naturel, n'est que fugitif et passager; qu'il s'agisse d'un sourire instantané, d'une

notion de beauté. On désigne par « œuvre d'art » toute création artistique volontaire et qui a comme finalité le beau. Elle peut prendre comme forme la peinture, la sculpture, la musique, la littérature. La notion de « beauté » est une valeur à laquelle renvoie le jugement esthétique. Ce jugement esthétique peut-il être possible ? Comment peut-on exprimer ce jugement sur une œuvre d'art alors qu'il n'y a pas de règles établissant ce jugement ? Est-ce une obligation de représenter « la beauté » ?

montre qu’elle est séduite à l’avance. -L’accumulation des adjectifs valorisants, des tournures valorisantes, des comparatifs et des superlatifs montrent que cette servante est fascinée par le portrait de Dorante. Elle montre aussi son interet pour la beauté et le physique. -Il y a un parallélisme dans la construction, des termes… -Elle est aussi capable de se moquer de Silvia, elle est donc moins naïve qu’on ne pourrait le croire. Elle est contrainte d’avoir raisons comme le montre les interrogations

poète au même titre que la beauté. ? De tous temps, les poetes ont recherché et on été inspirés par la beauté que ce soit sous la forme-même du poème ou en tant que source d’inspiration. les grecs croyaient que le poète écrivaient sous l’influence d’une muse. Certains poetes, appartenant à differents mouvements littéraires comme la Pleiade, comme Ronsard, le Romantisme, notamment Victor Hugo ou Lamartine, ou le symbolisme, comme Baudelaire ou Rimbaud, pensent que la beauté est incarnée le plus souvent

le voir – que l’analogie n’apporte rien de nouveau en fait de connaissance exacte, qu’elle n’est en rien scientifique, et qu’on peut l’abandonner sans dommage à la littérature et à la poésie… En un sens, l’analogie est un certain regard sur les choses, qui permet d’aller plus loin que la simple apparence, d’approcher de plus près la réalité qui demeure voilée. Comme nous sommes tous ici en recherche d’un nouveau regard sur l’homme, sur la création, sur Dieu, nous allons immanquablement rencontrer

1910. Personnages principaux : Dorian Gray : C’est un jeune homme très beau, avec des cheveux blonds et bouclés. Il est très riche, s’habille très bien et possède une grande et belle demeure. Il à dans les 25 ans jusqu'à 38 ans dans le récit. Ca beauté reste la même jusqu'à ce qu’il détruise le portrait que lui avait peint Basil. Au départ c’est un jeune homme innocent, gentil… Mais avec le temps, la rencontre de Lord Henry et l’acquisition de son portrait magnifique il devient narcissique et se

la vérité de ce sentiment. Il y a une grande simplicité dans le décors et dans le personnage. C'est un amour naturel. Sa beauté naturelle ressort dans le texte (« admirable beauté », » il faisait chaud et elle n'avais rien, sur sa tête et sur sa gorge, que ses cheveux confusément rattachés ») elle dévoile sa nudité, la chevelure est symbole de sensualité . Elle a une beauté originelle. Elle rappelle la venus de Botticelli. La phrase est construit en 3 mouvements. (2 long et 1 court) il y a un