La Beauté Est Elle Universelle

___________________________________________________________ 5 2. La question de l’utilité ____________________________________________________________ 5 3. Un statut social ____________________________________________________________ ______ 6 B. La notion de beauté ______________________________________________________ 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) __________________________________ 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le jo li (Schopenhauer et Niet zsche) ________________________

liens entre le mal et la beauté, le bonheur et l'idéal inaccessible (À une passante), la violence et la volupté (Une martyre), entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares[2]). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne)

Depuis quarante-cinq ans, j’ai orienté mon parcours autour de cette question : comment se mettre au service de la vie, de la scène même de la vie, cette planète dont la beauté ne cesse de me couper le souffle ? Devant la marche du monde, je ne cesse de me demander comment il est possible que nous ne la voyions pas dans sa splendeur. Pourquoi n’avons-nous aucun émerveillement ? Vue du ciel, la planète n’est pas la mappemonde découpée que nous en avons fait. Nous sommes libres d’organiser le vivre-ensemble

manifestement en train de danser ou dans des postures acrobatiques, il s’agit probablement d’esclaves, affectés à ces fonctions artistiques. b) L’expression la plus simple des peurs et des croyances La danse est donc un phénomène universel et immémorial. Elle est présente dans la plupart des sociétés primitives sous la forme de rituels, elle est associée à des cérémonies magiques ou religieuse, et possède un caractère sacré dans de nombreuses civilisations, notamment en Asie.

positive, il explique que tous les peuples ont chacun un imaginaire qui leur permet de produire une œuvre d’art. Mais est-ce une religion de cette sorte secréterait des critères de beauté qui ne seraient à la ressemblance de ceux dus à une religion objective ? Dans une religion objective, il est possible que le critère de beauté puisse être tel qu’une intervention de la raison soit possible à l’occasion d’un embellissement par l’art. En effet, c’est une religion objective qui peut conférer au beau des

propre à chaque corps (langue, palais, gosier). A chacun donc son agréable : "chacun a son goût ". Le beau est ce qui est représenté, sans concept, comme l'objet d'une satisfaction universelle. Le beau n'est pas un plaisir propre à une sensibilité. Il est plaisir que chacun peut et doit prendre, il est donc universel. Cette universalité est rapportée à l'objet au lieu d'être ramenée à sa source. L'universalité du beau n'est pas fait elle est de droit. Ce pourquoi elle est exigible ("je crois pouvoir

d'émotions, de sentiments, de réflexion, Les artistes sont-ils utiles ? Oui, ils peuvent être utiles. En effet, l’art fait réfléchir, elle fait rêver, elle fait imaginer. De plus, elle nous transporte dans un autre univers qui nous fait découvrir une beauté qui n’a pas forcément déjà été vu. Cependant,  les artistes qui produisent des œuvres qui ne sont vouées qu’à être contemplées et qui ne sont ni des objets d’usage comme artisanat, ni des objets de consommation n’apportent rien à la société, encore

supériorité morale (un beau geste). 4. Pour KANT, le jugement de goût ne détermine pas son objet en le pensant sous un concept universel, puisqu'il porte toujours sur un cas parti­culier ; c'est un jugement réfléchissant dont l'universalité réside dans l'accord des sujets ; c'est pourquoi le beau est défini comme « ce qui plaît universellement sans concept » ; « la beauté est la forme de la finalité d'un objet en tant qu'elle est perçue en lui sans représentation d'une fin. » Thèse : 1.Le

création d’une nouvelle réalité. Mais par des procès d’insinuation elle est aussi révélatrice d’une vérité parfois cachée. Ces deux notions de la poésie en apparence lointaines peuvent avoir comme point commun la recherche et l’immortalisation de la beauté. Le mot “poésie” vient du grec « poitevin » qui signifie “créer”; celui qui fait de la poésie est donc un créateur. La restitution d’un monde onirique, fantastique comme nouvelle réalité est à l’origine de l’Univers poétique. Le poète ainsi

et la beauté, le bonheur et l'idéal inaccessible (_À une passante_), la violence et la volupté (_Une martyre_), entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares&action=edit&redlink=1)). En parallèle de poèmes graves (_Semper Eadem_) ou scandaleux pour l'époque (_Delphine et Hippolyte_), il a exprimé la mélancolie (_Mœsta et errabunda_) et l'envie d'ailleurs (_L'Invitation au voyage_). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur