La Belle Ensorceleuse

15) Amengual, Barthélemy, « Entr'acte session et Mystères», dans Avant-Scène du Cinéma (Paris), 1 Février 1982. 16) Herpe, Noël, « René Clair ou l'unité d'organisation du silence», dans Positif (Paris), Février 1993. 17) Trémois, Claude-Marie, « La belle époque de René Clair » dans Télérama (Paris), 8 Septembre 1993. 18) Faulkner, Christopher, « René Clair, Marcel Pagnol et la dimension sociale de la parole » dans l'écran (Oxford), été 1994. 19) Clair, R., « De Stroheim un Chaplin», dans Positif (Paris)

L’Odyssée d’Homère : Circé (chants X , XII) I/ LA CARACTERISATION DU PERSONNAGE A/ Son « état-civil », B/ Sa biographie Circé est une déesse/nymphe, et donc immortelle, qui apparaît sous les traits d’une magicienne. C’est une ensorceleuse , nommée «  Circé la merveilleuse » (vers 455, chant X), « Circé la royale » (vers 36, chant XII) ou encore « La bouclée », « Circé aux beaux cheveux » (vers 136 chant X). Elle est souveraine de l’île d’Aiaié, et vit dans son palais entourée de

c'est une façon de faire entrer la modernité dans le lyrisme. L'alcool, le tabac notamment, suggérés par « Soirs de Paris ivres de gin » et «  les cafés gonflés de fumée » associent la vile à la fête permanenta et à la musique tzigane. Ce Paris de la Belle Epoque s'amuse toute la nuit grâce à l'électricité. La joie de vivre du poète est favorisée par le progrès et c'est cela que l'homme du poème apprécie tant. Paris est devenue la ville lumière. Maintenant, nous étudierons le chant d'amour déçu. En

le passage qui qualifie Manon Lescaut par exemple « elle me paru si charmante » (ligne 11) et également « […], un air si charmant de tristesse » (ligne35); Cet adjectif approprié à Manon peut avoir deux sens, elle peut être à la fois jolie et ensorceleuse, car Des Grieux est tombé sous son charme. La rencontre entre Des Grieux et Manon Lescaut est dans doute un véritable coup de foudre comme « je me trouvai enflammé tout d'un coup [...] » (ligne 14) ou encore « l'amour me rendait déjà si éclairé »

la figure démoniaque, ensorceleuse La Loreley est imaginée par le poète romantique allemand Brentano au XIX° siècle qui à inséré dans son roman Godwi le poème de la Loreley (1801): elle avait le pouvoir de s’emparer de l’esprit des hommes , elle les tuait par sa beauté. => érotisme, femme fatale, don Juane Condamnée au couvent par un évêque qui lui évite le bûcher, elle choisi de se suicider en regardant le Rhin. Chez Apollinaire c’est une femme dangereuse, belle est ambiguë, mais elle

 ­Manon est un personnage victimise , soumis a ses parents    B.Le demon en Manon  Toutefois cette facade de jeune fille persecutee cache une femme  habile et sure de son pouvoir  .Un personnage double:   ­L’idee du personnage double est du a l’usage du mot ‘charmant’  avec belle et ensorceleuse (5)  .Manon, un personnage isole:   ­Manon est seule dans la cour avec le parallelisme de conduction (les  autres femmes contre les autres)    TR: Ainsi le recit etant retrospectif, on peut se demander l’importance  que ce moment a eu sur le narrateur 

On s’est toucher, j’ai senti une émotion forte, on à un peu flirter, ce n’est pas grand choses. Mais c’est assez pour me demander ce qui m’attend par la suite. C’est de la luxure, une torture, tu dois être une ensorceleuse. Car tu as réussi l’impossible, à savoir gagner ma confiance. Ne joue pas à cela, ça peut être dangereux si tu me trahis. Parce que si tu me brûle, je vais te montrer ce que sa fait de faire mal, car j’ai été trahi comme une merde avant toi. L’amour est l’enfer, essaye de

des enfants légitimes d'une concubine en plus de ceux que lui donnait son épouse. Socrate d'ailleurs semble avoir eu une seconde femme : Myrto, en plus de son acariâtre épouse, Xantippe. Périclès, lui, répudia sa femme légitime pour vivre avec la belle et brillante Milésienne, Aspasie, dont la culture et le genre de vie scandalisaient nombre d'Athéniens. Même dans la littérature , ce fait est courant.Homère attribue à ses héros une seule épouse et une ou plusieurs concubines. L’épouse assure une

narrateur déjoue l’attente en ne donnant aucun portrait de Manon (Charmante …). Aussi ténue que soit l’évocation de Manon, sa présence n’en est pas moins forte (si charmante) qui donne un caractère hyperbolique. Deux manières de lire ces adj. : belle et ensorceleuse. Elle semble avoir jeté un sort à notre narrateur. L’adj. Charmant est utilisé 3x dans le passage. Ce texte repose sur un balancement entre l’avant et l’après. On passe du champ lexical de la timidité au départ (sagesse, excessivement timide

la hauteur de 1 heure) donne à la première personne l'heure de ce qui ne se partage pas. Le cœur du poète est solitaire. · « Les yeux » (placés en face de la 2ème heure) se doublent à 2 heures, deux comme les deux yeux, ceux du poète ou de la belle ensorceleuse dont le nom déguisé va suivre.Les yeux, une des obsessions d'Apollinaire,  sont ici comme le miroir du cœur. · « L'enfant » (placé en face de la 3ème heure) : trois heures est l'heure de l'heure de l'enfant, ce tiers qui vient compliquer les