La Bienveillance

patient atteint d’une grave maladie et auquel le médecin ment sur la gravité de son état. Ce mensonge n’est pas motivé par un cynisme quelconque, mais très souvent par la bienveillance : le médecin ne veut pas affoler ou blesser moralement le malade en lui révélant une vérité pénible ou insupportable. Mais, à son insu, cette bienveillance repose sur une distinction entre ceux qui sont capables de vérité et ceux qui ne le sont pas. Or cette différence est-elle légitime ? Qui peut en juger ? Mentir au patient

  dont   l’âme   ne   me   paraît   pas   grosse.   Quand   j’ai   reconnu   qu’ils   n’ont   aucunement   besoin   de   moi,   je   m’entremets   pour   eux   en   toute   bienveillance   et,   grâce   à   Dieu,   je   conjecture   fort   heureusement   quelle   compagnie   leur   sera   profitable.   J’en   ai   ainsi   accouplé   plusieurs   à   Prodicos,   et

L’amitié demande d’abord une bienveillance au sens fort du terme. Vouloir le bien. L’amitié vient d’un attrait qui se fonde sur le bien que j’ai vu dans l’autre. J’ai vu l’excellence de l’autre et lui souhaite du bien. Il n’y a pas d’amitié dans le mal (entre truands, pour détruire une personne, pour commettre un crime ou un délit). Le mal finit pas se retourner contre les prétendus amis et détruire leur relation. Cela veut dire aussi qu’il ne peut y avoir amitié qu’entre des êtres doués de vouloir

en 1981). Affaire célèbre car il a été guillotiné pour le meurtre d’une petite fille et il a toujours subsisté un doute sur sa culpabilité. Il y avait un autre coupable possible mais qui n’avait pas été tout à fait découvert. La captation de la bienveillance prend un tour inattendu. L’avocat se met du côté de ses interlocuteurs, il exprime qu’il partage ses émotions pour après, quand il va venir avec sa démonstration d’innocence, leur faire passer le message. «Ne vous fiez pas sur les apparences, juger

à son peuple. Elle lui permet ainsi de symboliser le role de protection et de bienveillance du Roi envers ses sujets, et celui indispensable du peuple permettant de faire vivre son Roi. De plus, cette mise en scene nous est revelee à la ligne 35-36, "image naive des peuples et du prince qui les gouverne, s'il est bon prince", ou l'auteur nous confirme sa pensée. (emilie) oui, 0.5points En effet, la bienveillance du Roi envers ses sujets est démontrée par l'utilisation du champ lexical de

autres ; or, pour cela, il suffit qu'il y en ait deux. Mais si ces deux personnes prient chacune de leur côté, bien qu'elles s'adressent à Jésus, il n'y a point entre elles communion de pensées, si surtout elles ne sont pas mues par un sentiment de bienveillance mutuelle ; si même elles se voient d'un mauvais oeil, avec haine, envie ou jalousie, les courants fluidiques de leurs pensées se repoussent au lieu de s'unir par un commun élan de sympathie, et alors Elles ne sont point assemblées au nom de Jésus

.] L'A MIS HORS DE DOUTE" Portrait de Gilliatt, vu par le reste des personnages. Titre programmatique. "GILLIATT, NOUS L'AVONS DIT [...] ET OU IL LISAIT" « Nous l'avons dit ». Volonté de proximité, une manière de raccrocher de prendre la bienveillance et de capter son lecteur. « Les motifs abondés ». Il y a profusion de ragot, on peut toujours trouver des motifs pour trouver du mal à parler de quelqu'un. Il y a accumulation de paroles désobligeante. Il reprend la voix populaire, « Qu'est-ce

de motivation et de nouvelles valeurs apparaissent. Au final, les auteurs identifient dix types motivationnels : (a) le pouvoir ; (b) l’accomplissement ; (c) l’hédonisme ; (d) la stimulation ; (e) l’autonomie ; (f) l’universalisme ; (g) la bienveillance ; (h) la tradition ; (i) la conformité ; (j) et la sécurité. L’approche théorique reste cependant identique. Elle subordonne comme nous l’avons présenté en introduction, l’existence des valeurs à certains domaines de motivations universels,

l’origine donné lieu à la division du travail.La possibilité d’acquérir et de posséder davantage de biens plutôt que de le produire soi-même. On ne peut pas fabriquer soi-même tous ce qu’on a besoin d’utiliser.Quelles sont les places respectives de la bienveillance et de l’intérêt pour obtenir des autres ce dont on a besoin ? Il tâche de gagner leurs bonnes grâces par des flatteries et des attentions serviles. Il sera bien plus sûr de réussir, s’il s’adresse à leur intérêt personnel et s’il leur persuade

semble, à lui, être la bonne, pourvu qu'il ne nuise pas à la liberté qui peut coexister avec la liberté de chacun selon une loi universelle possible (autrement dit, à ce droit d'autrui). – Un gouvernement qui serait fondé sur le principe de la bienveillance envers le peuple, tel que celui du père envers ses enfants, c'est-à-dire un gouvernement paternel, où par conséquent les sujets, tels des enfants mineurs incapables de décider de ce qui leur est vraiment utile ou nuisible, sont obligés de se comporter