La Blanchisserie De Gervaise

spatio-temporel spécifique qui renvoie a une société donnée comme par exemple dans l’œuvre de Zola L’assommoir ou nous sommes transportés dans le milieu ouvrier et notamment une illustration du métier de blanchisseuse qu’exerce le personnage principal Gervaise, La blanchisserie est décrit en détail ainsi que la rue où elle se trouve, nous sommes situé à l’époque de l’auteur c'est-à-dire au XIVème siècle dans Paris avec des lieus réels. C’est une société où il est difficile de gagner en notoriété lorsque l’on part

reconnaître dans ce type de personnage. On a d'ailleurs appelé « bovarysme » cette tendance très répandue à l'insatisfaction chronique. Gervaise, l'héroïne de L'Assommoir de Zola, plutôt jolie mais boiteuse, s'est vue affublée du surnom de « Banban ». Mais elle incarne la femme du peuple accablée par la misère : elle travaille dur pour acquérir une blanchisserie mais, victime du sort et de l'hérédité familiale, elle finira par sombrer dans l'alcoolisme et la déchéance. Si ce roman et son personnage

vivre dans la misere, quitte Gervaise et ses enfants pour s’enfuir avec Adèle. Gervaise reprend alors le métier de blanchisseuse. Elle accepte d’épouser Coupeau, un ouvrier zingueur. Ils ont une fille, Anna Coupeau, dite Nana, héroïne d’un autre roman des Rougon-Macquart. Gervaise et Coupeau travaillent durement. Gervaise rêve d’ouvrir sa propre boutique, mais un accident la contraint à différer son projet : Coupeau tombe d’un toit sur lequel il travaillait. Gervaise décide de soigner son mari a

puissances de l’argent sont prêtes à se ruiner. La prostitution, l’héritage, l’atavisme, la puissance des banquiers, leurs fantasmes ,leurs désirs. Tableau d’une société peu reluisante. L’Assommoir  de Zola, Portrait de Gervaise, de son parcours hors normes. Ascension ( la petite blanchisserie, le travail tenace et persévérant, puis l’abandon dans l’alcool, la chute vertigineuse de la petite blanchisseuse).On parle des gens du peuple, des ouvriers et de leur rapport à l’alcool.Volonté du romancier d’expliquer

dans son vomi  « Elle avait de grands yeux d’enfant vicieuse allumés d’une curiosité sensuelle ». o Nana est une digne fille de son père Lantier qui dévore les boutiques et attaque la confiserie de Virginie après avoir englouti la blanchisserie de Gervaise. o Nana habituée à montrer sa langue : « Cache donc ta menteuse ! » , « Veux-tu bien rentrer ton chiffon rouge ». o « Jolie pépée » - Poétique d’un personnage - La mobilité du personnage : o Malgré

déplacé. Mais ce faisant, il impose une sorte de reconnaissance de façons de parler non-normées, mais réelles et donc dignes d’être observées, et il accentue le réalisme de ses romans. D ÉMILE ZOLA L’Assommoir (1877) L’anniversaire de Gervaise l’échauffait, ce monde attroupé, béant de gourmandise; elle aurait voulu enfoncer la devanture9, pousser le couvert jusqu’à la chaussée, se payer là le dessert, sous le nez du public, dans le branle10 du pavé. On n’était pas dégoûtant à voir, n’est-ce

des antiques épopées, par la lenteur puissante, le large courant, l'accumulation tranquille des détails, la belle franchise des procédés du conteur. Il ne se presse pas plus qu'Homère. Il s'intéresse autant (dans un autre esprit) à la cuisine de Gervaise que le vieil aède à celle d'Achille. Il ne craint point les répétitions ; les mêmes phrases reviennent avec les mêmes mots, et d'intervalle en intervalle on entend dans le Bonheur des dames le "ronflement" du magasin, dans Germinal la "respiration

crée un désordre qui bouleverse le rapport à l’Être. Des forces secrètes surgissent et modifient la perception des personnages. Ils n’ont plus le même regard sur la réalité. Ils croient voir des machines respirer comme des êtres humains. Pensons à Gervaise face à l’alambic dans L’Assommoir. Le rêve et la réalité se confondent. Tout apparaît comme surnaturel. Le narrateur rend visible la présence du fantastique dans l’existence humaine. Grâce aux concepts d’espace mental, de temps éclaté et de fantastique

reconnaître dans ce type de personnage. On a d’ailleurs appelé « bovarysme » cette tendance très répandue à l’insatisfaction chronique. Gervaise, l’héroïne de L’Assommoir de Zola, plutôt jolie mais boiteuse, s’est vue affublée du surnom de « Banban ». Mais elle incarne la femme du peuple accablée par la misère : elle travaille dur pour acquérir une blanchisserie mais, victime du sort et de l’hérédité familiale, elle finira par sombrer dans l’alcoolisme et la déchéance. Si ce roman et son personnage

reconnaître dans ce type de personnage. On a d’ailleurs appelé « bovarysme » cette tendance très répandue à l’insatisfaction chronique. Gervaise, l’héroïne de L’Assommoir de Zola, plutôt jolie mais boiteuse, s’est vue affublée du surnom de « Banban ». Mais elle incarne la femme du peuple accablée par la misère : elle travaille dur pour acquérir une blanchisserie mais, victime du sort et de l’hérédité familiale, elle finira par sombrer dans l’alcoolisme et la déchéance. Si ce roman et son personnage