La Boetie L Homme

résistance (Locke, Second Traité du gouvernement civil), à condition que les « structures de base » de la société soient globalement viciées (Rawls, Théorie de la justice).    2) Le peuple a toujours plus de pouvoir qu’il ne le croit, comme le montre La Boétie dans le Discours sur la servitude volontaire. La politique ne se fait pas toute seule, ce n’est pas seulement l’affaire de « spécialistes ». L’action politique institutionnelle (l’action des autorités instituées) est permise et effective à condition

Médiamétrie - Observatoire des Usages Internet - 1 er trimestre 2009 LES PRODUITS/SERVICES ACHETÉS EN LIGNE LE COMPORTEMENT DES CYBER-ACHETEURS (AU COURS DES 6 DERNIERS MOIS) Produits techniques Voyage / Tourisme Services* Habillement et accessoires Homme / Femme / Enfant Produits culturels Maison Hygiène / Beauté / Santé Finance / Assurance Jeux et jouets Alimentation Voitures 46 25 24 20 18 11 3 EN % DES INTERNAUTES 52 51 47 46 49% 78% Produits techniques Produits culturels Vêtement des internautes

Seconde Guerre Mondiale, l’idée de « droit des peuple à disposer d’eux-mêmes » fait son chemin et la décolonisation est en marche (par exemple, en 1947, l’Inde). En 1950, moins d’un an après le début de la crise algérienne, le poète, dramaturge et homme politique martiniquais Aimé Césaire écrit alors le Discours sur le colonialisme. Il est, avec d’autres étudiants antillo-guyanais et africains (parmi lesquels Léon Gontran Damas, le Guadeloupéen Guy Tirolien, les Sénégalais Léopold Sédar Senghor et

pourra l’être un alexandrin. Or, la liberté n’est-elle pas différente de l’indépendance ? La liberté suppose une raison intérieure, autrement dit que le sujet libre soit lui-même la cause des ses actions et qu’il ne soit soumis à aucun autre homme. Le citoyen d’une république (res publica) n’est pas indépendant mais il devrait être libre car il n’obéit à aucune volonté particulière étrangère à lui-même. La loi le libère en l’affranchissant de la volonté d’autrui (seul oppresseur potentiel.)

latin, le grec. Il fait des études de droits, ce qui fait de lui qu'il est très habile dans le domaine de l'argumentation. En 1557, il est conseillé à la cour de justice de Bordeau et se lie d'amitié avec un autre conseillé appelé Etienne de L a Boétie. ( « Parce que c'était lui, Parce que c'était moi » ) signe que l'amitié dépasse toute compréhension du comment du pourquoi. En 1570, à la mort de son père, il se retire sur la terre de Montaigne, il va devenir un savant, il passe donc ses journées

nostalgie de sa moitié perdue qu’il cherche et une fois trouvé il a atteint le bonheur). De plus l’amour rend humain car c’est un désir qui n’est pas animal (contrairement aux besoins naturels : manger, boire, dormir). On ne peut aimer qu’en étant un homme. Le sentiment amoureux est alors la recherche de quelqu’un avec qui passer le reste de sa vie, c’est un sujet qui fit parler de lui en bien et en mal, des personnes en ont voulu à Cupidon, d’autres se sont inspiré d’histoire réelles ou fictives, d’autres

Aristote, la seule véritable amitié est l'amitié vertueuse. Cette dernière est recherchée par tout homme, même si tout homme ne la rencontre pas nécessairement. Elle peut naître entre deux individus d'« égale vertu » selon le philosophe et se distingue de l'amour en cela que l'amour crée une dépendance entre les individus. Toujours selon Aristote, l'ami vertueux (« véritable ») est le seul qui permet à un homme de progresser car l'ami vertueux est en réalité le miroir dans lequel il est possible de se voir

comme dans le postambule de la DDFC d’Olympe de Gouges, quinze ans et une Révolution plus tard. · Un texte qui s’inscrit dans les aspirations des philosophes des Lumières à la liberté et à l’égalité dans la société.· Un texte écrit par un homme, qui s’adresse aux femmes (avec respect, adulation, « ô », mais aussi responsabilisation)· Un discours argumentatif au registre polémique ayant pour but de conduire à la prise de conscience et à l’action. · Problématique

AMITIE, •            CHARITE, •            SOLIDARITE, •            FRATERNITE. L'AMITIE Quand on parle de l'amitié, on se souvient vite des très belles pages que MONTAIGNE a écrites, inspirées par l'amitié profonde qui le liait à Etienne de la BOETIE. Cette • amitié » était plus proche de ce qu'est — ou ce que doit être — la FRATERNITE des Francs-Maçons que des amitiés communes d'aujourd'hui. L'amitié, de nos jours, est plus en surface et plus fortuite. L'occasion l'a créée, l'intérêt peut-être

limitation de ces pouvoirs (dans le temps, les titulaires), on voit déjà émerger le principe de collégialité, il est dangereux de consacrer tout les pouvoirs a un seul homme. Les grecs ont une grande histoire constitutionnelle, ils ont vu le pb de la concentration des pouvoirs -> abus de pouvoir. Dans la Grèce antique, dès qu'un homme devient trop puissant, on le rejette. Cette haine du pouvoir, car il est dangereux pour l'égalité et la liberté, a été parfaitement comprise par les grecs ainsi que