La Bruyère Du Mérite Personnel

l’argumentation du XVIe à nos jours. CORPUS ___________________________________________ TEXTE A. Jean de La Bruyère, Les Caractères, 74, 1696 TEXTE B. Montesquieu, Lettres persanes, Lettre 28, 1721. TEXTE C. Voltaire, L'Ingénu, 1767. I. La question sur le corpus (/4). Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante : Expliquez l’objectif principal qui rapproche les textes de La Bruyère, Voltaire et Montesquieu. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés. A la suite

trois motifs. – Le changement de place des trois motifs à la façon d’un carré magique. – Les trois refrains. C   L’opposition de taille entre les deux animaux (« de belle taille » / « Elle, qui n’était pas grosse en tout comme un œuf » le pronom personnel, isolé en début de vers, rappelle par sa brièveté la petite taille de la grenouille ; « la chétive pécore ») et les efforts de la grenouille (progression du vers 4 au vers 10) mettent en valeur la valeur la vanité de la grenouille. La généralisation

trois motifs. – Le changement de place des trois motifs à la façon d’un carré magique. – Les trois refrains. C   L’opposition de taille entre les deux animaux (« de belle taille » / « Elle, qui n’était pas grosse en tout comme un œuf » le pronom personnel, isolé en début de vers, rappelle par sa brièveté la petite taille de la grenouille ; « la chétive pécore ») et les efforts de la grenouille (progression du vers 4 au vers 10) mettent en valeur la valeur la vanité de la grenouille. La généralisation

l’amélioration matérielle, intellectuelle et politique de | |représentant le mieux qualifié de l’ancienne France : gallicans royal. |l’humanité. | |Il est salué par La Bruyère comme un père de l’Eglise, il a magnifiquement |Une différence profonde sépare donc les philosophes du XVIIIème siècle et les | |développé les idées fondamentales de la tradition catholique et classique. |prédécesseurs. Les premiers

faite ici n’est pas la description d’un homme qui existe vraiment au XVIIesiècle, mais d’un homme que tous voudraient pouvoir devenir. L’honnête homme est souvent noble. S’il ne l’est pas, il doit avoir les qualités de la noblesse et assez de mérite personnel pour aspirer à faire partie de cette classe. C’est un homme du monde, qui ne travaille pas. Il cherche à plaire, à briller en société. Pour plaire et briller en société, il faut, bien sûr, avoir une grande capacité d’adaptation. C’est la seule

un avare)Figures d’insistance et d’amplificationRépétitionReprise d’un même mot ou d’une même expression.L’hyperboleExagérer un élément.Exemples : Dire mille fois merci. « Arrias a tout lu, a tout vu, il veut le persuader ainsi. » (La Bruyère, Caractères ) La gradationÉnumération de termes dans un ordre progressif ascendant ou descendant. Exemples : « Je le trouve petit, tout petit, minuscule. » (Rostand, Cyrano de Bergerac

(hors politique) et donne un idéal de vie. L’honnête homme peut vivre harmonieusement avec des gens très différents. L’honnête homme : - modèle social - mondain - cultive l’art de la conversation - pas forcément un Noble Cherche à valoriser le mérite personnel : - être de raison - évite les excès - recherche le juste milieu en toute chose - tente de maîtriser ses passions - sais s’adapter aux usages de son temps tout en gardant sa liberté de pensée. - homme de culture - peut écrire à ses temps perdus

bêtes ! Aussi longtemps qu'il y aura des loups, des éléphants, des onces, l'homme aura mieux que l'homme comme émule et comme adversaire. Tous ces grands oiseaux qui volent autour de nous, ces lièvres dont nous les femmes confondons le poil avec les bruyères, sont de plus sûrs garants de la vue perçante de nos maris que l'autre cible, que le cœur de l'ennemi emprisonné dans sa cuirasse. Chaque fois que j'ai vu tuer un cerf ou un aigle, je l'ai remercié. Je savais qu'il mourait pour Hector. Pourquoi voulez-vous

(1665), grand dramaturge classique du XIIe siècle. « Castigat ridendo mores », telle est la devise de la comédie qui en latin signifie «  la comédie corrige les mœurs par le rire ». Molière s’attaque donc aux vices de hommes, ainsis qu’à ses ennemis personnels : les bigots, les faux dévots, l’hypocrisie dans Le Tartuffe, l’avatrice dans l’Avare. A partir de 1651, Corneille est sévèrement concurrencé par Racine, qui oppose avec la simplicité de ses pièces à la plus grande complexité de celles d’un

précepteur du Grand Dauphin en 1670, c’est-à-dire, du fils de Louis XIV puis académicien en 1671. Il regrette ici la perte d’Henriette d’Angleterre (morte à 26 ans) qu’il a accompagnée lors de son trépas. On peut ressentir dans ce texte les sentiments personnels de l’auteur. Ô nuit désastreuse ! ô nuit effroyable, où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : madame se meurt ! Madame est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup, comme si quelque tragique accident