La Bruyère Et La Religion

deux courants à la fois (comme Pierre Corneille). Mais dès la fin du siècle se dessine en littérature un courant de pensée qui annonce déjà les Lumières (avec La Bruyère par exemple). Les grands noms de la littérature de cette époque sont : Corneille, Jean Racine, Molière, Pascal, La Rochefoucauld, La Fontaine, Nicolas Boileau, La Bruyère, Mme de La Fayette, Mme de Sévigné, Le Cardinal de Retz. ------------------------------------------------- Au XVIIIe siècle Le xviiie siècle est appelé siècle

gréco-romaine et du christianisme. Pourtant, elle n’a jamais été unie politiquement et les Européens n’ont pas cessé de se battre entre eux : la première guerre mondiale n’est même pas la première confrontation générale sur le Vieux Continent (les guerres de religion, les guerres révolutionnaires et napoléoniennes, en sont d’autres exemples). Est-ce un scandale ? Peut-être ; mais c’est surtout, en réalité, une situation des plus banales, qu’on retrouve en Grèce, dans la Gaule antique, chez les Mayas, en Inde…

latins (idée soutenue par Perrault et La Fontaine). La Poétique d'Aristote est le support des règles qui régissent le théâtre. Le classicisme recherche ce qui est permanent et universel, et peint la nature humaine, thème d'études des moralistes (La Bruyère, La Rochefoucauld). LES REGLES CLASSIQUES - L'ordreL'idéal classique aime l'ordre?: de nombreux théoriciens de la littérature élaborent des règles. - Instruire et plaireIl faut «instruire et plaire», pour corriger les vices. Mais la réflexion

latins (idée soutenue par Perrault et La Fontaine). La Poétique d'Aristote est le support des règles qui régissent le théâtre. Le classicisme recherche ce qui est permanent et universel, et peint la nature humaine, thème d'études des moralistes (La Bruyère, La Rochefoucauld). LES REGLES CLASSIQUES - L'ordre L'idéal classique aime l'ordre?: de nombreux théoriciens de la littérature élaborent des règles. - Instruire et plaire Il faut «instruire et plaire», pour corriger les vices. Mais la réflexion

Nous avons affaire ici, à un corpus de trois textes ayant pour objectif commun la dénonciation de la misère. Un premier texte datant du 17ème siècle, nous livre un extrait de l’essai Les Caractères de « l’Homme » de Jean de la Bruyère, classiciste. Le second est une définition de « misérable » apparût au cours du siècle des Lumières (1751-1772), rédigée par Diderot et d’Alembert, créateurs de l’Encyclopédie. Puis le dernier texte, réalisé par le chef du romantisme Victor-Hugo est un discours,

Baccalauréat : Oral Dénonciation de la guerre - LA BRUYERE La guerre a pour elle l’Antiquité, Les Caractères : Jean de La Bruyère 17ème siècle. Moraliste français. Né à Paris en 1645. Mort à l’âge de 50 ans à Versailles (1696) d’apoplexie : attaque cérébrale. L’œuvre Les Caractères, parut en mars 1688. Réelle dénonciation avec un registre polémique => Pour attaquer ou prendre la défense d’un comportement, d’un mode de vie, d’une institution ou d’une œuvre. La mise en évidence des prétendues

livres,...). - Thème : Portrait caricatural et satirique d'un collectionneur de fleurs soumis à la mode. Passion qui ne concerne qu’un seul objet, qui isole le collectionneur. Futilité et danger des passions à la mode. - Problématique : Comment La Bruyère donne t’il à ce portrait une valeur argumentative ? Comment nous invite t’il à dépasser le cas du fleuriste pour élargir notre réflexion ? Plan I) Le portrait du collectionneur A. Un portrait en actions Personnage en focalisation externe, point

XVI° siècle (Humanisme) Europe : époque de la renaissance artistique qui prend ses sources dans le cinquecento (XVI°) italien Guerres de religions : Protestants / Catholiques St Barthélemy : 24 août 1572, massacre de protestant Edit de Nantes : 30 avril 1598, Henri IV se fait accepter comme Roi de France Naissance de l’absolutisme en France Ecrivains : -François Rabelais -Joachim du Bellay -Pierre Ronsard -Michel de Montaigne -William Shakespeare XVII° siècle (Baroque) Guerre

les trois classes de grammaire et la première de lettres en recevant les leçons de maîtres comme Nicole et Lancelot. Ensuite, on l'envoie au collège de Beauvais. Il achéve là-bas sa seconde classe de lettres et de rhétorique. Racine partage avec La Bruyère, Boileau et Fénelon le privilège de représenter de façon remarquable l'héritage d'Athènes parmi les classiques français. Il rencontre Boileau en 1663 qui deviendrat son meuilleur ami. Ces relations avec Moliére de 18 ans son aîné, serons pourtant

la foi catholique partout à l’exception de l’Europe du nord. En France, la fin du concile de Trente coïncide avec le début des guerres de religion. L’art « baroque » ou « fantasque» est un témoignage de la Contre-Réforme catholique. Avec ses excès, il s’oppose à l’austérité des luthériens et calvinistes. Dans une Europe déchirée par les guerres de Religion, le style baroque est encouragé par l’Église catholique romaine qui reprend confiance et s’affirme dans la promotion de l’art baroque : Les