La Bête Humaine Chapitre 3

- l'esprit critique et le scepticisme - l'ouverture d'esprit Chapitre 1 : La culture Première approche: → livre p15 -l'enfant sauvage 1- Dans cette image, l'enfant est en compagnie d'un loup et le tient comme s'ils étaient amis, il est très sale, il a les cheveux très long, il est nue et a un regard animal. 2- On voit que l'enfant sauvage représenté sur cette photo a grandi sans éducation à cause de son hygiène, et de sa nudité. 3- Parler anglais et fabriquer des outils sont des savoir transmis

pouvant se gouverner lui-même mais au contraire est rabaissé au rang de chose dans la mesure qu’il est reconnu comme la propriété d’un autre. Il doit être affranchi pour retrouver sa liberté. Mais en s’évadant il développe sa puissance d’agir. 3- Le sujet. Le prisonnier, lui, est privé de sa liberté de fait dans le sens de la puissance d’agir. Pour eux, la liberté de fait est extrêmement précieuse à tel point que si ils se battent pour avoir plus de liberté de droit ils augmentent leur liberté

points essentiels du travail. Dans le premier chapitre nous éclairons la notion d'une unité phraséologique, ses caractéristiques essentielles et ses particularités d'utilisation dans la langue, ses liens avec la culture du peuple et sa signification stylistique. De même nous éclairons les notions du zoonyme et zoomophisme. Puis nous faisons l'analyse comparée de la symbolique des zoonymes en français et en ukrainien. Dans le deuxième chapitre nous étudions l’aspect sémantico-structural des

Faculté des Sciences humaines Département de littérature française LE CERCLE INFERNAL Étude psycho-littéraire de Thérèse Raquin d'Émile ZOLA Mémoire de maîtrise présenté par Haya ADAM Directeur de recherche: Professeur L. PREYS Août 1981 Plan du travail I. II. Introduction Thérèse – Un cas d'hystérie ? 1. Les conflits émotionnels 2. L'évanouissement 3. "La comédie du remords" 4. Un cas d'hystérie ? Laurent – Un cas de paranoïa ? 1. Avant la folie 2. Fratricide et inceste 3. La folie a. Le rêve

individu, et ce qui lui est extérieur (le surhumain, le non humain, l’infrahumain) ou une scission qui traverserait l’homme, un divorce interne entre deux tendances irréductibles mais également constitutives de son être ? Examinons tout d’abord les termes de la dualité. L’humain c’est d’abord ce qui relève de l’homme en tant qu’espèce, le terme désigne les conduites les tendances, les comportements qui sont caractéristiques de l’espèce humaine. On pourrait par exemple citer le langage, le travail

province, à savoir les appétits de luxe, de fausse poésie et de fausse passion que développent les éducations mal assorties à l'existence future, inévitable. » Pensez-vous comme elle que la lecture de Madame Bovary est moralement édifiante ? 3 ) George Sand décrit ainsi Emma Bovary : une femme « dédaigneuse du réel », « folle et méprisable ». Ce jugement vous paraît-il rendre compte de la totalité du personnage d'Emma ? 4) Sainte-Beuve écrivait : « Madame Bovary est un livre avant

........5 Chapitre 1 ................................................................................ 11 Chapitre 2 ................................................................................16 Chapitre 3 ............................................................................... 22 Chapitre 4 ............................................................................... 28 Chapitre 5 ............................................................................... 32 Chapitre 6 ........

........5 Chapitre 1 ................................................................................ 11 Chapitre 2 ................................................................................16 Chapitre 3 ............................................................................... 22 Chapitre 4 ............................................................................... 28 Chapitre 5 ............................................................................... 32 Chapitre 6 ........

ennui sur leur visage, ils arrivèrent devant lui. L'enfant, sagement assis sous le porche de Mademoiselle Giraud, avait un peu oublié. Il fredonnait la sonatine de Diabelli. Ce n'était rien, dit Anne Desbaresdes, maintenant il faut rentrer. TEXTE n°3- De nouveau, la leçon — Tu t'en souviendras, dit Anne Desbaresdes, ça veut dire modéré et chantant. — Modéré et chantant, répéta l'enfant. À mesure que l'escalier montait, des grues s'élevèrent dans le ciel vers le sud de la ville, toutes en des mouvements

comme le film ne se veut pas tout blanc tout noir. Car l’accent est mis sur la sou�rance du roi, veuf solitaire qui doit obéir à son statut royal ; il est une sorte de “bête malgré lui”, sans que l’acteur qui l’interprète y soit pour peu de choses ; parce que Jean Marais, l’acteur, était déjà connu pour avoir joué dans La Belle et la Bête (1946) de Cocteau - déjà était-il attaché à ce rôle là de riche esseulé, d’autant plus que le film se déroule dans un monde pareillement fantastique, magie et château