La Bête Humaine Contexte

où un vieil ermite, parce que le comte refuse de se repentir de tous les maux qu’il cause, lui prédit une malédiction qui ne tarde pas à prendre effet : chaque nuit de pleine lune, il se métamorphosera en renard, tout en conservant son esprit humain, jusqu’à ce qu’il fasse preuve d’utilité. Il lui faudra alors, sous sa nouvelle apparence, réapprendre à vivre, et à coexister avec les êtres qu’il méconnaissait, mais avant tout parvenir à surmonter et à affronter les dangers de la forêt. © Nathan

renversé le pouvoir. Ils espéraient une nouvelle répartition des richesses pour le peuple, mais cela n’a pas pris beaucoup de temps que les bourgeois ont repris le contrôle de la société et cela est dû à une montée du capitaliste sauvage dans un contexte d’urbanisation et d’industrialisation. De ce mal de vivre du peuple est né le courant littéraire de l’époque. Les écrivains de ce courant écrivaient avec un style anticonformiste et exprimaient ainsi leur intériorité. Ce sont les poètes. Victor Hugo

milieu ouvriers. Il établit un plan du quartier La goutte d’or et un plan de la grande maison ouvrière. Ainsi Zola établit une documentation sur la société minutieuse et presque scientifique, De plus il s’appuie sur un cadre spatial réel.C’est dans un contexte urbain et d’emplois que s’organise la société du roman. A travers l’observation du romancier nous voyons bien la classe ouvrière exposée a l’exploitation, a la pénibilité des emplois, a la misère et a l’alcoolisme. Gervaise, Coupeau, les Lorilleux

de Machiavel en tentant une synthèse, une analyse rapide de ce texte essentiel de la philosophie politique qui inspirera tous les grands hommes d’Etat, de Mitterrand à De Gaulle en passant par Churchill et Napoléon. Le Prince s’inscrit dans un contexte historique compliqué, celui du morcellement politique de l’Italie à la Renaissance. Les innombrables royaumes sont l’objet de menaces d’attaques extérieures (de la France notamment). Machiavel est un patriote qui craint de voir son pays démantelée

solutions pour ne pas tomber dans ce double écueil. • sécheresse de la fable, transition manquée. • Transposition impossible en raison des présupposées même du genre. La transition du récit allégorique à la moralité. A transposition du monde humain au monde animal. L’intérêt de la fable selon LF : • intérêt éthique : la fable édifie et amène à la piété • intérêt didactique : la fable instruit et enseigne. LF suggère qu’il faut travailler à une conformité entre la fiction et le réel

spectateur. De plus, les dégradés de gris correspondent à l'époque victorienne, qui met assez bien en place cette période durant laquelle se passe l'histoire, se déroulant de 1837 à 1901. Ainsi, il y a également une bande-son qui nous remet dans le contexte historique, avec par exemple, les bruits de la chaufferie de l'hôpital, ou les locomotives à vapeur, des bruits très présents durant l'époque concernée. Mais ce n'est pas seulement en lien avec l'époque que David Lynch choisit ces bruits, et cette

différentes caractéristiques humaines sous des points de vue différents. Par conséquent, « l’autre monde », c’est aussi le microcosme humain : ses sociétés, ses pensées, ses croyances, ses désirs, ses moyens de communication, son corps, etc. C’est pourquoi cette œuvre romanesque est placée sous le sceau de l’étrangeté : parce qu’elle offre une nouvelle perspective, plus surprenante, de l’Homme. L’altérité – la monstruosité parfois comme dans le cas des Séléniens mi-homme mi-bête – est naturellement étrange

l’écriture palimpseste renforce la cohérence des univers de fiction qui composent l’imaginaire gaudéen. Entre constance et variation, l’intratextualité, fondement de l’imaginaire tragique de l’auteur, tisse le canevas d’un grand roman de la tragédie humaine dont chaque texte en serait la déclinaison. Réécriture de soi et création littéraire dans l’œuvre de Laurent Gaudé : une mise en réseaux intratexuelle Auteur français immédiatement contemporain, Laurent Gaudé est à l’origine d’une œuvre riche

jour où un vieil ermite, parce que le comte refuse de se repentir de tous les maux qu’il cause, lui prédit une malédiction qui ne tarde pas à prendre effet : chaque nuit de pleine lune, il se métamorphosera en renard, tout en conservant son esprit humain, jusqu’à ce qu’il fasse preuve d’utilité. Il lui faudra alors, sous sa nouvelle apparence, réapprendre à vivre, et à coexister avec les êtres qu’il méconnaissait, mais avant tout parvenir à surmonter et à affronter les dangers de la forêt. © Nathan

les flots, font l'objet de divers supplices. Les démons, reptiliens pour quelques-uns, sont bleus et parfois marrons. Certains sont ailés mais ils semblent tous conçus sur un même modèle, celui de la bête centrale, aux cornes courbées, associées à un pelage épais et aux serres griffues, Les humains, quant à eux, sont représentés blancs et sont de cette façon facilement distinguable de cette obscurité omniprésente. Tourmentés par les serviteurs de Satan, certains sont sciés, d’autres pendus par les