La Cantatrice Chauve Conclusion

son courant littéraire. L’histoire n’est pas absurde en elle-même, c’est plutôt le style d’écriture de la pièce et l’absurdité de la vie qui le sont. C’est donc une pièce de théâtre absurde très différente d’ »en attendant Godot » ou de la « Cantatrice chauve » de Ionesco qui, elles, étaient d’abord absurdes dans leurs histoire et ensuite, surtout pour Godot, dans leurs thèmes principaux. 6.1 Thèmes Mort Le thème de la mort est présent tout au long de la pièce. On le voit dès la première phrase

« il faut un certain courage pour se décider à écrire, mais même à parler » (« Des raisons d'écrire » - recueil Proêmes – 1948). Pour le lecteur, ajoute F. Ponge, tous les poèmes devraient donner ce titre : « raisons de vivre heureux » (ibid). Conclusion On pourrait croire à un pot-pourri, à un inventaire à la Prévert. Mais il n'en est rien. Ponge resserre le texte, prêtant l'oreille aux sons, attentif à l'étymologie, à l'homonymie ou l'homophonie. Se lançant pleinement dans une écriture qui revendique

a un sentiment très fort de l'absurde. C'est une société qui ne se comprend plus. Tout ce que l'on a mis en place s'écroule. Les écrivains vont mettre en mot ce sentiment de l'absurde. Exemple : Un écrivain roumain E. Ionesco Rhinocéros, La Cantatrice chauve, La leçon ou des écrivains Irlandais comme Beckett avec En attendant Godo. Sartre avec Nausée. Cela fait n'être chez l'européen une espèce de désespoir. Jean baptiste Clamence il clame dans le désert qu'il est tout seul dans un monde qui n'a

628 à recopier. Biographie : Eugène Ionesco, 1909 – 1994 Écrivain et auteur dramatique français d'origine roumaine, Eugène Ionesco est le chef de fil du théâtre de l'absurde qui s'est opposé au théâtre bourgeois des années 1950. Dans la Cantatrice chauve (1950), il ne se passe rien : les personnages parlent par clichés pour montrer « la tragédie du langage » et font « fonctionner à vide le mécanisme théâtral. » Pour Ionesco, le langage est le vecteur de toutes les dominations. Dans Les Chaises

existentialistes d’Albert Camus et de Jean-Paul Sartre, les dramaturges de l’absurde voient, selon d’Eugène Ionesco, «l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles».  Rendu célèbre par Eugène Ionesco ("la Cantatrice chauve", 1951 ; "Rhinocéros", 1959), et Samuel Beckett ("En attendant Godot", 1952), le théâtre de l’absurde tend à éliminer tout déterminisme logique. Il conteste le pouvoir de communication du langage, et réduit les personnages à des archétypes

de Jacques Noël. En avril 1960, Rhinocéros fut monté à Londres au Royal Court Theatre dans une mise en scène d'Orson Welles avec Laurence Olivier dans le rôle de Bérenger. Pièce emblématique du théâtre de l'absurde au même titre que La Cantatrice chauve, la pièce dépeint une épidémie imaginaire de « rhinocérite », maladie qui effraie tous les habitants d'une ville et les transforme bientôt tous en rhinocéros. Cette pièce est généralement interprétée comme une métaphore de la montée des totalitarismes

de l’absurde dont les auteurs ont souvent participé à la guerre et ont donc conscience de ce que le peuple a vécu. Biographies et bibliographies des écrivains les plus courants Eugène Ionesco (1912-1994) Biographie Bibliographie La cantatrice chauve, 1950 Résumé : les Smith, un couple anglais très maniéré, discutent de tout et de rien, essentiellement de rien en fait, et c’est surtout Mme Smith qui passe seule en revue tous les sujets de son quotidien, des sujets qui vont de ses enfants

lent), rit (retenu), Mäßig (modéré), Rascher (plus vite), Langsam (lent) soit 5 indications en 12 mesures. En outre, Schoenberg introduit ici le silence comme élément thématique (mes. 19, 21, 23 et 25) ce qui a un effet expressif très important. Conclusion Au regard de ces quelques points de détails, nous constatons que Schoenberg pose ici le problème de la définition de l’abstraction musicale : trouver l’intelligence entre le rapport consonant et dissonant impliquant une nouvelle lecture musicale

lequel se débattent les personnages pour nous en dégoûter. On dit que la tragédie est toute-puissante. Elle propulse la littérature à son apogée, car le héros atteint des sommets de lucidité qui ne pourront être égalés. Voilà sa force. En conclusion, on peut affirmer que la tragédie n’existe plus au 20e siècle, mais que le tragique demeure toujours. Cependant, elle nous a laissé quelques énigmes encore sans réponse à nous les hommes. En effet, comment peut-on être coupable parce qu'innocent

style de Lagarce est « un vocabulaire  à  la fois volontairement pauvre et d’une sophistication monstrueuse ». Eugène  Ionesco a le même rapport au langage que le dramaturge. Il montre l’absurdité de la logique de la parole. Notamment, dans La Cantatrice Chauve où  un langage courant et banal explose.   L’intermède a d’une certaine manière le même effet car la scène déréalise le théâtre. La parole permet de construire une discontinuité  entre la scène et le dialogue car les lecteurs ne savent pas si