La Captive Victor Hugo

Texte A : Jean Racine, Britannicus, acte II, scène 6, 1669. Texte B : Victor Hugo, Hernani, acte I, scène 2, 1830. Texte C : Georges Feydeau, La Dame de chez Maxim, scène V, 1899. Sujet complet pour information : Question de corpus. Quel(s) registre(s) littéraire(s) (tonalité) pouvez-vous associer au motif du personnage caché dans chacun des textes du corpus ? Commentaire Vous commenterez l’extrait de la pièce de Victor Hugo (Texte B). Dissertation Pensez-vous que certaines situations théâtrales

la mise en scène. Avant le XXe, le dramaturge faisait entièrement le travail de l'écriture jusqu'à la représentation. Est ce que de part le travail du metteur en scène la pièce est transformé du livre à sur scène ? Grâce à la pièce Ruy Blas de Victor Hugo et au théâtre en général, nous étudierons comment le travail du metteur en scène donne du sens et de l'originalité à la scène ainsi que les limites du metteur en scène sur le changement du sens du texte puis nous nous focaliserons sur la fonction

 J'aime l'araignée J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait ; Et que rien n'exauce et que tout châtie Leur morne souhait ; Parce qu'elles sont maudites, chétives, Noirs êtres rampants ; Parce qu'elles sont les tristes captives De leur guet-apens ; Parce qu'elles sont prises dans leur oeuvre ; Ô sort ! fatals noeuds ! Parce que l'ortie est une couleuvre, L'araignée un gueux; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes, Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes

INTRO Présentation/thème du poème Victor Hugo chante la jeunesse dans Les Contemplations de 1856. Cette ode lyrique évoque une promenade dans les bois en compagnie d'une jeune femme. La scène idyllique d'une "nature amoureuse" est brusquement interrompue par ce constat doux-amer : "Depuis, j'y pense toujours". Problématique Avec sa douceur mêlée de regrets, dont on comprend qu'elle exprime une certaine nostalgie, la plus grande réusssite de ce poème est sans doute dans l'expression de la fraîcheur

“J’aime l’araignée et l’ortie“ , Victor Hugo. I.La position anti-conformiste du poête. Poême à la première personne: “J’aime l’araignée et l’ortie” , c’est donc le poête qui parle. On peut dire que le poête s’oppose à l’opinion commune représentée par le “on” : “ parce qu’on les hait” Il s’adresse au passants: “Passants faites grâce”, qui signifie épargner.il invite les passants à avoir de la compassion. Anaphore de plaignez, ce qui montre l‘insistance: “ plaignez la laideur, plaignez .

l’appel à la compassion : « tristes captives », « prises dans leur oeuvre », victimes de leur destin : « ô sort ! fatals noeuds ! » Faire ensuite remarquer que l’araignée et l’ortie se rejoignent dans le même triste sort (« elles sont toutes deux victimes ») et qu’elles partagent le rejet, la relégation, l’assimilation à des images dévalorisantes : « elles ont l’ombre des abîmes » ; « on les fuit » ; une couleuvre ; un gueux. La stratégie argumentative de Victor Hugo repose donc dans un premier temps

tout d’abord inventer un personnage dont l’histoire, la personnalité et les vertus nous feront rêver. Il devient alors une inspiration. Dans Le Portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde, Dorian Gray est un jeune homme magnifique au visage parfait. Il captive ainsi tous les personnages du roman, mais aussi le lecteur. Ces personnages « qui font rêver » tendent à devenir des modèles, atteignables ou non ; leurs actes, qualités et dires sont admirés. Ils poussent le lecteur dans la bonne direction et peuvent

thèmes littéraires les plus développées. a. Parce qu’elle est connue et crainte de tous La mort est partout présente, dès le berceau. Qui n’a pas peur d’un décès prématuré de son enfant, disparaissant, tué par des soldats comme le petit garçon dont Hugo évoque la mémoire dans « Souvenir de la nuit du 4 », ou dans un accident comme la fille du poète des Contemplations ? Qui ne redoute de perdre sa mère comme Cosette dont le destin bascule après le décès de Fantine dans les Misérables ? Qui n’a jamais

ÉTRANGERS Pondichéry SÉRIES GÉNÉRALES   Objet d'étude : La poésie. Texte A : Victor Hugo, « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII (1856). Texte B : Lautréamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant 11, 9 (1869). Texte C : Tristan Corbière, « Le Crapaud », Les Amours jaunes (1873). Texte D : Germain Nouveau, « Le Peigne », Valentines (1887).  Texte A -  Victor Hugo (1802-1885), « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes

Dans les pouvoirs des fables , Jean de la Fontaine expose la strategie argumentative d'une fable. Alors que le peuple reste sourd aux discours de l'orateur qui le met pourtant en garde contre une guerre imminente, le même auditoire est soudain captivé par le récit des aventures fabuleuses de Cérès. Le fabuliste conclut ainsi son récit : « Le monde est vieux, dit-on ; je le crois, cependant / Il le faut amuser encor comme un enfant. » Il semble ainsi plus agréable d'écouter ou de lire des histoires