La Captive Victor Hugo

mal. Il s'adresse directement aux femmes comme si elles étaient en face de lui. Et, cet effet ne se retrouve pas avec l'argumentation indirecte, avec celle-ci, on ne se sent pas indispensable pour l'auteur, c'est comme s'il ne se souciait pas de captiver le lecteur. Dans le texte de Rousseau, Les confessions qui est indirect, le lecteur peut se sentir inutile, il n'a pas le ressenti que les paroles de l'auteur s 'adressent à lui : « J'étudiais un jour seul ma leçon » Le destinataire pourrait être

histoire. Elle perdure dans le temps et reste célèbre. Mais quelles sont les œuvres littéraires qui peuvent intéresser les lycéens d’aujourd’hui ? Nous étudierons dans une première partie les œuvres connues et reconnues du XIXème siècle susceptibles de captiver les lycéens, puis nous analyserons dans une seconde partie les livres d’aujourd’hui. Enfin, nous nous intéresserons dans une troisième partie sur l’alliance de l’obligation et du plaisir de lire. Aujourd’hui, les lycéens ne présentent pas un

mieux pour parler de Napoléon serait […] une admiration frisant l’étonnement et une désapprobation constante frisant la tristesse » Toute une tradition fait de Napoléon le principe du grand homme appelé à bouleverser le monde. Des auteurs tels Victor Hugo font du vaincu de Sainte-Hélène le Prométhée moderne. L'ombre de « Napoléon le Grand » plane sur de nombreux ouvrages de Balzac, Stendhal, Musset, mais aussi de Dostoïevski, de Tolstoï et de bien d'autres encore. 2. La Bataille d’Eylau Eylau

pas du tout d'accord avec toi mon chère! Selon moi, une lecture, pour être intéressante doit être basé sur une histoire concrète, réel,avec de nombreuses et précices décriptions afin de se faire entrainer dans l'histoire! A: Justement! Pour être captivé par le fils du récit, il faut pauvoir s'échapper du quotidien fade et redondant, ressentir la passion,l'amour,la flamme eternelle que concerve un roman romantique. regarde, le soir en rentrant du travail je prefère me plonger dans une lecture qui

peuvent faire ouvrir les yeux au lecteur sur la vie qui l’entoure au quotidien et qu’il ne soupe sonne pas … Certain roman peuvent faire réfléchir sur la condanation et la vie des bagnards, c’est le cas dans « le dernier jour d’un condamné » de Victor Hugo qui parlent d’un homme qui c’est retrouver captif sans espoir de libération et qui se fait harceler par la mort et devient fou et désespérée, même dans ces rêve il se fait hanter par cette présence pesante et accablante qui est la mort. De plus

Mais ce n’est pas le cas partout. Parlons de Cosette. l'un des personnages du roman Les Misérables (1862) de Victor Hugo(1802-1885). Elle est une enfant maltraitée par les Thénardier qui vont s'avérer être des individus sans scrupule. Nous nous mettons à sa place et éprouvons toutes sortes d’émotions péjoratives. Nous souffrons avec Cosette, comme si nous étions elle. Nous savons que Victor Hugo a mené une lutte incessante contre les injustices de son temps et contre la misère.Et c’est pour cette raison

sens, du Moyen-Age à nos jours. Textes : Texte A : Victor Hugo, « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII (1856). Texte B : Lautréamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant 11, 9 (1869). Texte C : Tristan Corbière, « Le Crapaud », Les Amours jaunes (1873). Texte D : Germain Nouveau, « Le Peigne », Valentines (1887). ========================================================== Texte A - Victor Hugo (1802-1885), « J'aime l'araignée », Les Contemplations

avec des oeuvres normales, sans fiction ( essais, articles ''guerre'', … ) auteurs differents ( Voltaire, Camus, Victor Hugo, ... ) (transition) on a vu que l'auteur a une liberte incroyable pour faire passer son message, maintenant on va voir quel impact cela aura sur le lecteur. II] efficacite d'une ODF du point de vue du lecteur Quand on lit un livre on est tres souvent captive par l'histoire, on voit cela especialement dans les ODF, qui ont aussi le but de attirer le lecteur avec les themes

de Bertrand plait à Hugo, Deschamps et Nodier,il rencontre sainte-Beuve et lui présente son oeuvre apres la faillite de l'éditeur sautelet qui fait son premier échec.Lors de son retour à Paris en 1833, il contracte avec l'éditeur Eugène Renduel qui lui promet une publication mais n'y donne finalement aucune suite. Ce dernier , pour le premier tirage de l'oeuvre verse alors a Bertrand 150 francs, cepandant l'écrit « reste dans les tiroirs » une nouvelle fois.En 1839, Victor Pavie, éditeur d'Anger

capable de métamorphoser le réel, de déchiffrer les symboles et d’accéder à l’univers des idées. Cette conception du poète médiateur du sacré, et voyant privilégié, fut celle de la Pléiade (XVIème siècle), reprise ensuite par les poètes du XIXème siècle, Hugo, Théophile Gautier, Baudelaire et Rimbaud qui assimile même le poète à Prométhée. B. La poésie engagée La poésie engagée et philosophique, moins proche de nous, tient cependant une place notable à l’époque. Les prises de position religieuse