La Caricature Critique

1 LA SECONDE GUERRE MONDIALE PAR LES CARICATURES DE PRESSE – Marie Bellando-Mitjans, CIMER M2, 2014-20152 Table des matières Introduction 3 Typologie des caricatures de la Seconde Guerre mondiale 4 I. Représenter l’État 4 A. Les symboles nationaux 4 B. Les chefs d’État 11 II. L’animalisation 17 A. Animaux emblématiques 17 B. Animaux attribués 19 III. Les référents culturels 24 A. Références au réel 24 B. Références de fiction

La caricature politique à travers les Guignols de l'infos Introduction : « Vous croyez toujours ce qu’on vous dit à la télévision ! Bonsoir ! » . Cette citation, qui sert d’entrée aux Guignols de l’info est désormais culte ; il est vrai que ce programme s’est imposé comme une référence médiatique depuis déjà 19 ans ! Le faux journal télévisé s’attache à poser un regard dérisoire sur l’actualité et ses acteurs. L’émission initialement intitulée «Les arènes de l’info». La particularité

plusieurs problèmes. Sur le plan juridique, le droit à la critique et à la caricature garantit l'activité des satiristes et des humoristes, mais le rire dont l'objet est la religion peut encore aujourd'hui susciter des réactions violentes. Je prends pour exemple les caricatures de Mahomet qui avaient été publié par un journal Danois en 2005. Ces caricatures provoquaient une vague d'indignation dans le monde musulman. Nous pouvons dire que la caricature est un droit des plus absolus. Or nous pouvons voir

caricaturale des ridicules et par l'expression mécanisée d'une passion. C’est pourquoi dans la littérature française on a souvent tendance à employer la satire qui est le fait de critiquer en se moquant de la société, des individus…tout en attaquant les ridicules de manière plus ou moins acerbe. La satire est une représentation critique et comique d'un défaut, d'un vice, d'un mensonge observé dans la réalité, sur le plan moral, politique ou social. L'auteur satirique perçoit le monde autour de lui comme un

Verlaine par la caricature avec "Monsieur Prudhomme" s'attaque aux bourgeois. Caricatural, tel est bien le portrait qu'en dresse Verlaine. Monsieur Prudhomme est Maire : « il est maire ».Monsieur Prudhomme qui est un nom propre péjoratif pour "homme prudent" qui donne le titre et le ton au poème, satirique. Le personnage est d'apparat, l'air grave mis en relief par la coupure au premier vers, pompeux, habillé d'un faux col, mais chaussé de simples pantoufles brodées de fil d'or certainement car elles

grosseur. R nous donne l'impression d 'un bourgeois dont la grosseur est proportionnelle à son importance. --> Métaphore filée de l'élephant avec le mot "cornacs" Vers 11 "épiciers retraités" sont en club R. se moque, dénonce. On est dans la caricature b. Les 3 individus isolés - Le gandin vers 7 - Le notaire vers 8 - Le bourgeois vers 18 --> "Le gandin"= article définis+ gandin C'est un être artificiel -->Il utilise ces "breloques à chiffres" pour s'afficher Ces 2 pers. sont rendus

t-il ici à construire un portrait de personnages que l'on appelle les précieux à travers Acis · Premièrement nous analyserons la construction de ce portrait satirique présentée sous la forme d'un dialogue puis nous montrerons l'efficacité de cette caricature du type social du précieux, dernièrement nous étudierons la portée réflexive du propos du moraliste. I. Un dialogue sur le vif · Dans ce fragment, La Bruyère emprunte un procédé au théâtre, il écrit sous forme

théâtre est un moyen de critique en utilisant la caricature. Certaines pièces tel que Le mariage de figaro ou autres, critique la justice dans l’acte 3 scènes 15, en caricaturant le jugement de figaro. Mais aussi il critique la bourgeoisie avec la caricature du comte qui désir Suzanne alors qu’elle se marie avec Figaro, le comte veut utiliser un certain droit du seigneur alors qu’il l’a abolit auparavant. Ce qui fait que la noblesse peut être aussi critiqué. La critique peut être représenté au théâtre

III. Un portrait charge (Portrait : prend une dimension générale.) 1) Une caricature Le moraliste est absent de son texte, il ne prend jamais directement la parole en son nom et se contente d'utiliser parfois le pronom personnel indéfini « on », comme dans « on le suit à trace » (l.10). Cependant, sa critique de Gnathon n'en reste pas moins une satire acerbe. Souvent le portrait tombe dans la caricature. Les accumulations de verbes mais aussi les nombreux pluriels et indéfinis à valeur

Enfin, nous disposons de la fameuse caricature de Leslie G. Illingworth parue dans le Daily Mail 1 semaine après le discours télévisé de Kennedy. « D’accord, monsieur le Président, discutons », cette caricature montre alors au monde les deux puissances s'adonnant à un véritable bras de fer avec de chaque côté l’arme nucléaire et un fameux bouton rouge pour mettre la pression. Cette caricature fut sûrement dessinée par un opposant au régime