La Cedeao

contre la reconnaissance: La modalité d’accession au pouvoir de la junte n’est pas conforme avec les institutions africaines, telles que l’Union africaine et la CEDEAO. En effet ces institutions considèrent l’élection présidentielle comme le seul mode valable pour accéder au pouvoir. Ainsi, l’Union Africaine dans sa Charte Africaine de la démocratie, des élections, et de la gouvernance dispose dans l’article 23

commerce), Garnier Flammarion, Paris, 1979.  Moussa Makan Camara, Questions brûlantes pour Démocratie naissante, 2004  Sémou PATHE GUEYE : du bon usage de la démocratie en Afrique  Senghor Jean Denis Dit Vieux, Intégration économique : cas de la CEDEAO, MCN, Rabat ENA, 1990  Assiongbor Folivi, Discours et allocutions: 1987-1992, Editions L'Harmattan, 2010 - 288 pages.  Dominique Kounkou, Monnaie africaine: la question de la zone franc en Afrique centrale, Editions, L'Harmattan, 2008 - 345 pages

PRESENTATION DU RAPPORT DE LA MISSION D’EVALUATION DE LA SECURITE EN GUINEE AU GROUPE INTERNATIONAL DE CONTACT SUR LA GUINEE (CIG-G) PAR LE GENERAL LAMINE CISSE CHEF DE MISSION Conakry le 16 mai 2010 Monsieur le Président de la Commission de la CEDEAO, Président du CIG-C Messieurs les Co-présidents du CIG-G Messieurs les ambassadeurs Mesdames, Messieurs La mission d’évaluation de la sécurité qui nous a été confiée le 1er Février 2010 et qui a duré 3 mois, s’est déroulée dans de bonnes conditions

foisonnement de traité et d’institutions régionales dont l’objectif primordial été de promouvoir développement autocentré des Etat membres de ces organisations. Il s’agit notamment de Union Economique et Douanière de l’Afrique Centrale (Udeac1994), la Cedeao, la CDAA, la CEAO et bien d’autres encore. Ce regain d’importance pour les institutions régionales ou sous régionales s’inscrit directement dans les politiques d’ajustement structurel préconisés  massivement depuis les années 90 à destination des

les P.A.S ont été partout en Afrique de l’ouest de puissants instruments de paupérisation des populations. Cette situation a perduré malgré l’existence d’institutions d’intégration régionale comme l’OMVS, le Conseil de l’Entente, l’UMOA, la CEAO, la CEDEAO dont le fonctionnement et l’efficacité laissaient toujours à désirer. En effet il en était ainsi parce que l’absence de volonté politique des gouvernements pour faire de l’intégration, conjuguée à la mise à l’écart des peuples dans le processus ne

Etats appliquent aux marchandises originaires des pays tiers, les mêmes droits d’entrée (ou droit de porte ou droit de douane). Ce nouveau Tarif qui doit régir désormais les relations entre les Etats entraîne le déplacement du cordon douanier. Le TEC-CEDEAO est donc le Tarif uniformisé des quinze (15) Etats membres (Bénin ; Burkina Faso ; Cap-Vert ; Côte d’Ivoire ; Gambie ; Ghana ; Guinée ; Guinée-Bissau ; Libéria ; Mali ; Niger ; Nigeria ; Sénégal ; Sierra Leone ; Togo) appliqué aux marchandises originaires

leur solidarité. Cet idéal est demeuré le fils conducteur de leur politique de coopération sous-régionale tout au long de la dernière décennie. La création d’organismes sous-régionaux comme la Communauté Economique Des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA), la Mano River Union, l’Autorité du Liptako Gourma, l’Organisation pour la Mise en Valeur du Fleuve Sénégal (OMVS), le Comité Inter-États de Lutte contre de la Sécheresse au Sahel (CILSS),

comprend la Mauritanie, l’Afrique du Sud, le Burkina Faso, la Tanzanie et le Tchad. Mais, déjà, que de sons discordants qui laissent supposer que la France de Sarkozy, l’ONU de Ban Ki-moon et la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) à la sauce sénégalaise d’Abdoulaye Wade, assaisonnée d’épices nigérians de Jonathan Goodluck et du Burkinabé Blaise Compaoré, sont déterminés à empêcher l’éclatement de la vérité en Côte d’Ivoire. Eux reconnus comme des ennemis notables du poumon

agricoles Il a été organisé du 01 au 05 septembre 2008 au Centre Informatique Communautaire (C.I.C) de la CEDEAO à Lomé au TOGO un atelier de formation de renforcement des capacités dans l’utilisation des NTIC pour le développement du commerce régional des produits agricoles et agroalimentaires. Cette initiative du CILSS appuyé par ses partenaires que sont l’USAID et la Commission de la CEDEAO vise à initier les opérateurs économiques à la pratique de l’outil informatique. Cette séance de formation

régionales tentent de maintenir la paix et les règles internationales. On peut prendre l’exemple de la CEDEAO (Afrique de l’ouest) il s’agit d’une organisation régionale qui a une force militaire d’intervention. Elle s’applique dans plusieurs opérations maintien de la paix. Surtout la CEDEAO prend des sanctions quand des coup d’Etat renversent le gouvernement au Mali et au Niger. Au Niger la CEDEAO a même menacé d’utiliser la force pour rétablir la démocratie.