La Chaîne du bonheur

Peut-on être esclave de soi-même ? Calliclès , dans le Gorgias de Platon, affirme que le bonheur , l’accomplissement de soi passe par la satisfaction de tous ses désirs, le fait de « laisser prendre à ses passions tout l’accroissement possible et d’être capable de leur donner satisfaction » . Par conséquent , toute limitation des désirs apparaît comme un esclavage , une soumission. Cependant , n’Est-ce pas être incapable de se commander à soi-même réplique Socrate ? La maitrise de soi ne fait-elle

[sont] engluées dans la colère depuis si longtemps».(P.31) C’est depuis des générations que cette colère est transmise et que Nawal finira par la transmettre à sa fille « en héritage».(P31) Il fallait que Nawal quitte le village pour briser cette chaine qui dure depuis longtemps et fait une promesse à sa grand-mère avant que celle-ci n’est meurt d’apprendre :«à lire, à écrire, à compter, à parler,[…] à penser»( P.31) c’était sa seule chance d’échapper à cette tradition et de ne pas ressembler à

plus réaliste, l'aspect extraordinaire de ces pays lointains.        A cet instant, l'épice EST la référence commerciale. Elles font le bonheur des sac à poivres, ces hommes immensément riches, et comparés à la valeur de leurs marchandises. Ces commerçant bravent les difficultés qu'ils rencontrent pour rapporter ces fleurs et ces graines qui font le bonheur de leurs bourses et celui des palets de ceux qui peuvent se les offrir. Mais au delà des mille et une merveille, quand bien même des licornes

bon quelle nécessité y a-t-il à avoir un mot comme mauvais ? Inbon fera tout aussi bien, même mieux, parce qu'il est l'opposé exact de bon, ce n'est pas un autre mot. Et si l'on désire un mot plus fort que bon, quel sens y a-t-il à avoir toute une chaîne de mots vagues et inutiles comme excellent, splendide et tout le reste ? Plusbon englobe le sens de tout ces mots, et, si l'on veut un mot encore plus fort, il y a doubleplusbon. Naturellement, nous employons déjà ces formes, mais dans la version

au bonheur des Américains? on verra par l'étude des ses fondements, et de son fonctionnement puis de ses remises en cause et limites, entre 1945 et 1970 qu'il ne représente, comme tous les modèles, qu'un modèle historiquement daté et susceptible d'être modifié ou rejeté et conduisant à une profonde mutation de la société américaine, de plus en plus divisée. Le modèle américain, comme tout modèle universaliste tire sa légitimité d'un principe de base: le devoir moral d'apporter le bonheur aux

tapis des grades de l’apprenti et du compagnon . Il serait étonné de constater que le cordeau , outil tout à fait indispensable dans le métier , a reçu dans la Maçonnerie Symbolique le nom de Houppe dentelée avec des Lacs d’amour devant représenter la Chaine d’Union reliant tous les Maçons . Ce symbolisme très touchant du cordeau de maçon est tiré par les cheveux en raison du dilettantisme sentimental des Maçons acceptés . Toujours d’après BOUCHER , ces Maçons ne savaient pas que toute construction doit

aristocratique que propose Nietzsche ni le christianisme du cœur que suggère Dostoïevski. Et bien que chaque être humain appartienne à un peuple, à une époque, à une couche sociale, il n’en reste pas l’esclave. Il est possible de se libérer de toutes ces chaînes que la plupart des mortels accepte d’une façon passive : Nietzsche est un parfait exemple. La lutte contre son temps prend pour Nietzsche l’apparence de la lutte contre soi-même, mais en réalité il s’agit d’une lutte contre ce qui l’empêche d’être

l’homme et la totalité du monde : la passion est un refus de l’ordre naturel des événements, des enchaînements inéluctables qui nous déterminent. Ainsi, par exemple, l’homme qui s’emporte contre une situation donnée ne le fait que par ignorance de la chaîne des causes et des effets qui ont nécessairement conduit à cette situation. Il subit le monde corporel. Cette conception des passions nous amène à poser la question suivante : pouvons-nous y échapper, et comment ? C’est la connaissance rationnelle

transformation sociale, voire les révolutions de notre temps. * La force de l’utopie technologique est de décharger l’utopie sociale de sa charge, à savoir l’incertitude de son accomplissement. * Le progrès technologique peut il nous amener vers le bonheur ? 2. L’essence du néolibéralisme * Les trois quarts des embauches sont à durée déterminée, la part des emplois incertains ne cesse de croître, le licenciement individuel tend à n’être plus soumis à aucune limitation. * L’utopie néolibérale

possibilité de choisir . En médecine, la contraception rend possible une certaine planification des naissances. A l'opposé, la conception in vitro a rendu le bonheur aux couples stériles.En troisiéme lieux, l'évolution technologique permet aussi à la majorité de bénéficier du confort matériel. Nous devons à la robotisation la suppression du travail à la chaîne dans de nombreux ateliers.Ainsi, que C'est grâce aux applications techniques que la femme a pu s'affranchir des tâches ménagères : avec le lave-linge