La Chartreuse De Parle

politique. Déjà, peu après la mort de son ami, Mérimée écrivit: « B****, original en toutes choses [...] se piquait de libéralisme et était au fond de l’âme un aristocrate achevé » . Nous avons étudié dans notre dernier article un détail de La Chartreuse de Parme qui démontre la coexistence des deux penchants politiques de Stendhal . Nous nous proposons ici d’examiner quelques aspects intéressants de cette dualité politique dans Le Rouge. . Stendhal le jacobin Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal

Ombres », de nombreux articles de critique où Victor Hugo se fait une très haute idée de la mission du poète qui est comme un phare qui guide les nations, et est l'annonciateur de l'avenir. Le peuple est invité à l'écouter parce que c'est Dieu qui parle à travers lui. Hugo dan ce œuvre se sent investi d'une responsabilité sociale et pense que le poète doit être comme un prophète de la bible mais dans la société. Il est dans la réalité mais il voit ailleurs, aussi dans ses rêves il voit le future.

convient, en littérature, de laisser le champ libre à une forme d'œuvres qui oscillent entre les deux.Citons notamment Stendhal, précurseur de la littérature-miroir, proche d'un romantisme violent avec le personnage de Julien Sorel, ou feutré avec La Chartreuse de Parme. Et aussi Balzac, proche d'un réalisme romantique avec le personnage de Lucien de Rubempré ou du roman poétique avec Le Lys dans la vallée. Mais ces nuances ont mis du temps à voir le jour. « Stendhal et Balzac avaient pu paraître des anti-Lamartine:

voyant ça que les français vont aimer le classicisme. Ils trouvent cela épatant car il s’agit de nouveaux motifs dans l’ornementation. Ils ne s’intéressent pas à la spatialité. Ils n’ont pas remarqué les travaux de Bramante, Alberti, Brunelleschi Chartreuse de Pavie : Thème l’Antique, profusion ornementale. Pilastres, entablement, colonnes… Filarete de Milan (ci-contre): mélange classique et gothique. Bramante : a laissé un peu faire les maçons pour la façade au cours de Santa Maria delle Grazie

sûr, ces genslà vont au cinéma; mais ils y vont pour se distraire; ou bien, ils y vont pour s'instruire (ce sont eux qui applaudissent le plus vivement les longs-métrages "documentaires"); ou bien encore, nourris de littérature, ils vont voir La Chartreuse de Parme ou Eugénie Grandet, bref des films ou ils puissent se retrouver en pays de connaissance. Le plus souvent, ils sortent du cinéma, déçus, ulcérés quelquefois, toujours mécontents. Ils n'ont pas retrouvé à travers le film le style, la personnalité

les représentations iconographiques du héros et du anti-héros. Lectures analytiques : 1- Miguel de Cervantès, L’Ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche (1605), chapitre VIII : l’épisode des moulins à vent (intégral). 2- Stendhal, La Chartreuse de Parme (1839), chapitre III : extrait du texte relatant la bataille de Waterloo, de « Nous avouerons que notre héros » jusqu’à « il n’y comprenait rien du tout ». Documents et activités complémentaires : Le héros dans la tradition littéraire :

brouiller. Les temps de la narration : Le narrateur raconte les événements qui se sont déroulés dans un passé plus ou moins éloigné : le récit est au passé. Le narrateur raconte des événements qui sont supposés se passer au moment où il parle : le récit est au présent. Le récit au futur est extrêmement rare. 2) L’ordre du récit Plusieurs choix sont possibles : Le récit chronologique : le narrateur raconte les événements dans l’ordre où ils sont censés avoir eu lieu.

Bovary Lecture du roman Indiana Visionnage du film de Bel ami (version us) Etude d’un corpus : Problématique : Comment le roman s’approprie-t-il l’histoire ? Texte 1 : Alfred de Vigny, <<réflexion sur l’art>>,1826 Texte 2 : Stendhal, La chartreuse de Parme ,1839 Document 3 : Peinture de Clément Andrieu, 1852 Textes analytiques Texte 1 : Indiana, George Sand, 1832 : chapitre 21 Quand son mari l’aborda d’un air impérieux et dur, il changea tout d’un coup de visage et de ton

hiérarchies totales, fondées en nature, portant ainsi à identifier la valeur sociale et la valeur «personnelle», les dignités scolaires et la dignité humaine». Bourdieu est aussi auteur de La noblesse d’État, grandes écoles et esprit de corps. Il parle d’aristocratie d’adolescence pour désigner les jeunes gens désignés par les grandes écoles. Mirabeau : «la société française est une cascade de mépris». En France il y a toujours la logique du classement. Nos plus grands écrivains sont des

se montre ironique vis à vis de son personnage, il nous invite à porter un regard distancié sur ce personnage. Cette ironie crée alors une complicité entre l’auteur et le lecteur, aux dépens du personnage.Exemple : – La Chartreuse de Parme , Stendhal : Stendhal fait preuve d’une ironie affectueuse envers Fabrice Del Dongo. Emprisonné, Fabrice est émerveillé par la vue de sa cellule d’où il aperçoit Clélia dont il est amoureux. Stendhal commente ironiquement :