La Chatte sur un toit brûlant

que tu es sourd ? » Il était sourd en effet. Cependant il commençait à s’impatienter des façons de Coppenole, et se tourna tout à coup vers lui avec un grincement de dents si formidable que le géant flamand recula, comme un bouledogue devant un chat. Alors il se fit autour de l’étrange personnage un cercle de terreur et de respect qui avait au moins quinze pas géométriques de rayon. Une vieille femme expliqua à maître Coppenole que Quasimodo était sourd. « Sourd ! dit le chaussetier avec son

commentateur Pierre Mertens, nouvelliste contemporain « Le chevalier nu », contes de l’Allemagne médiévaleDES LEÇONS RÉCRÉATIVES VERTUS PÉDAGOGIQUES DU RÉCIT BREF Colette, La Paix chez les bêtes , «  Poum » [le chat noir] Les mille & une nuits , « Parabole de la vraie science de la vie » La figure orientale de Nasreddine, entre folie et sagessePierre Gripari, Patrouille du conte : désordre de l’ordre moralChapitre 6 : ParadoxesRÉALISME

humain finit. Tous ces démons taillés dans des blocs de granit, Olympe monstrueux des époques obscures, Les Sphinxs, les Anubis, les Ammons, les Mercures, Sont assis au désert depuis quatre mille ans ; Autour d’eux le vent souffle, et les sables brûlants Montent comme une mer d’où sort leur tête énorme ; La pierre mutilée a gardé quelque forme De statue ou de spectre, et rappelle d’abord Les plis que fait un drap sur la face d’un mort ; On y distingue encor le front, le nez, la bouche, Les

humain finit. Tous ces démons taillés dans des blocs de granit, Olympe monstrueux des époques obscures, Les Sphinxs, les Anubis, les Ammons, les Mercures, Sont assis au désert depuis quatre mille ans ; Autour d’eux le vent souffle, et les sables brûlants Montent comme une mer d’où sort leur tête énorme ; La pierre mutilée a gardé quelque forme De statue ou de spectre, et rappelle d’abord Les plis que fait un drap sur la face d’un mort ; On y distingue encor le front, le nez, la bouche, Les yeux,

Ils plantée là, au milieu du chemin de sable, de n’étaient pas nombreux face aux jeunes qui cailloux et jonché de détritus, censé être une cassaient tout, se déplaçant d’une rue à une rue. «Souvent, les assaillants lançaient des autre, saccageant, brûlant, volant... Ce sont couteaux sur leurs ennemis depuis les toits les pires heures qu’a connues cette ville», des maisons», explique Omar, jeune raconte Mabrouk, un jeune fonctionnaire universitaire de BBM. Lui et ses proches qui a monté, avec d’autres

château, un platane au nord, un tilleul au sud. Tout au bout de la grande étendue d'herbe, un petit bois en bosquet terminait ce domaine garanti des ouragans du large par cinq rangs d'ormes antiques, tordus, rasés, rongés, taillés en pente comme un toit par le vent de mer toujours déchaîné. Cette espèce de parc était borné à droite et à gauche par deux longues avenues de peupliers démesurés, appelés peuples en Normandie, qui séparaient la résidence des maîtres des deux fermes y attenantes, occupées

mère, tu le savais, ça ? Je l’ai bien fréquentée, même. Je l’ai enfilée parderrière près de ce ruisseau. Ses compagnons éclatèrent de rire. L’un d’eux poussa un cri aigu. Je répétai à Hassan de ne surtout pas s’arrêter. — Elle avait une petite chatte étroite toute sucrée ! ajouta l’inconnu, hilare, en échangeant des poignées de main avec ses amis. Plus tard, une fois le film commencé, j’entendis Hassan marmonner d’une voix rauque dans le noir. Des larmes coulaient le long de ses joues. Je me

un platane au nord, un tilleul au sud. Tout au bout de la grande étendue d’herbe, un petit bois en bosquet terminait ce domaine, garanti des ouragans du large par cinq rangs d’ormes antiques, tordus, rasés, rongés, taillés en pente comme un toit par le vent de mer toujours déchaîné. Cette espèce de parc était borné, à droite et à gauche, par deux longues avenues de peupliers démesurés, appelés peuples en Normandie, qui séparaient la résidence des maîtres des deux fermes y attenant, occupées

l'auditoire tienne bien ses yeux : je ferai rage, et je saurai gémir comme il faut. (Aux autres.) Cependant mon goût principal est pour les rôles de tyran : je pourrais jouer Hercule à ravir, et le rôle de Déchire-Chat [«Dans une vieille comédie, la Fille rugissante, il y a un personnage nommé Déchire-Chat.» STEEVENS.], à tout rompre : Les rocs en furie, Avec un choc frémissant, SCÈNE II 13 Le songe d'une nuit d'été Briseront les verrous Des portes des cachots ; Et le char de Phébus Brillera de loin

damnées (Delphine et Hippolyte), v. 78-79, 90-91, du poème III des "Épaves". 252. Cf. la pièce suivante, et Le Thyrse (Le Spleen de Paris, XXXII, Pl. I, p. 335). Voir aussi les remarques sur la danse dans La Fanfarlo (Pl. I, p. 573-574). 253. Cf. Le Chat (poème LI), et Les Chats (poème LXVI). 254. Cette stérilité pourrait être celle de Lesbos (dans Femmes damnées, on retrouve aux v. 61 et 63, la rime "inutile" / "stérile"). 255. Voir La Chevelure (poème XXIII). 256. Voir la pièce précédente. 257