La Chrétienté Latine

Jésus Christ La Méditerranée espace d’établissement de trois grandes religions monothéistes, judaïsme, christianisme et Islam (-> Jérusalem, ville trois fois sainte) Au Moyen-Age, un espace de confrontations (≠ d’affrontements) entre la Chrétienté latine, Chrétienté byzantine et Islam - II. L’espace méditerranéen, un espace de contrastes 1) Des contrastes de civilisation (fruit d’une histoire riche et tumultueuse) Globalement : - Au Nord-Ouest : une Méditerranée « romaine » relevant de l’aire

Monde méditerranéen au XIIe siècle La Méditerranée est le mare nostrum des Latins, sur laquelle trois continents ont une façade, l'Afrique, l'Europe et l'Asie, et les pays qui l'entourent n'ont été dominés que par l'Empire Romain. Au XIIe siècle, c'est une zone de richesses qui attire les convoitises. En 1085, Tolède, ville musulmane, tombe face aux chrétiens, et Alphonse de Castille en fait sa capitale. En 1095, Jérusalem (aux mains des musulmans depuis 638) est prise par les Turcs Seldjoukides

 Histoire des religions Chapitre 1 : La chrétienté au début du XVIe siècle I. La diversité géographique 1/ A peu de choses près, le christianisme est européen. Il y a cependant quelques exceptions : Il y avait eu des chrétiens schismatiques en Asie : les chaldéens (c’est-à-dire des nestoriens, croyant en la double nature du Christ sans union de sa personne) en Mongolie et en Chine, mais qui disparaissent aux XIVe-XVe siècles ; dans

L'humanisme : une influence artistique et littéraire, sociétale et historique. Définitions d'humanisme Dans son sens courant, le terme humanisme (« humanista » en latin dérivé du terme « homo » signifiant homme) désigne une façon de pensée, un ensemble d'idées centrée sur l'homme, sa situation et sa destinée dans l'univers ainsi que son épanouissement par la culture (scientifique et littéraire). Elles placent l'homme

Le mot humanisme vient du latin « humanistos » qui désigne « l'ensemble des qualités intellectuelles, morales et physiques qui distinguent l'Homme des autres créatures ». C'est aussi un courant de pensée. L'origine de ce mouvement vient des découvertes de la fin du XVe siècle : l'invention de l'Imprimerie (1450) qui permet de diffuser les savoirs. La production de livres s'accroit de plus en plus. Au 16ème les ouvrages deviennent même des moyens de propagande meme si l'Eglise continu de surveiller

lieu ou on va trouver le beau (Apollinaire, éloge de la Tour Eiffel) ou en tout cas elle encourage la création. La ville (corrigé) Petit à petit, le mot ville va se retourner par rapport à son étymologie. Le mot latin qui serait synonyme du mot ville est urbs. Dans un texte latin, Rome est traduite par Urbs, LA ville. On peut se concentrer sur l’opposition ville/campagne (province). Ville / Cité, la ville va être un endroit ou se développera une institution politique. Il faudra accepter une

1514, il voyage à travers l’Europe pour développer sa conception humaniste de la chrétienté. Quelques années plus tard, en 1524, Erasme publie « De libero arbitrio » dans lequel il s’oppose aux opinions philosophiques et théologiques de Luther. Erasme est l’enfant illégitime d’une famille modeste composée de sa mère Margaretha Rogerius et de son père Roger Gerard. Il intègre une école réputée ou il apprend le latin et le grec, parallèlement celui-ci est influencé par le mouvement humaniste grâce

dynamique de l’expansion franque, faisant de Rome un pôle de référence, mais jusqu’au 8e siècle, un « patchwork de micro-chrétientés » (P. Brown), des « petits mondes ». -> Pas une seule chrétienté car il existe différents peuples barbares donc plusieurs visions de la religion. -> Seulement fin 8ème avec l’empire carolingiens que la véritable chrétienté se met en place. Du morcellement (politique) après la disparition de l’Empire romain à la reconstruction d’une unité (chrétienne)

vie, d'écriture, et de pensée. Origine de la Renaissance La fin de l'Empire byzantin L'Empire byzantin était depuis longtemps entré en décadence. Les débuts de la crise remontent à la prise de Constantinople par les croisés en 1204. Les barons latins ruinèrent la ville qui ne se releva jamais complètement de ce pillage. En outre, le fossé entre riches et pauvres se creusait de plus en plus alors que les ressources de l'État diminuaient dangereusement. Incapable d'assurer la défense de ses propres

arabes et plus tard ceux de la Renaissance. Diophante a aussi écrit un traité sur les nombres polygonaux, le plus ancien de cette science ; il ne nous en reste que 10 livres sur 13[1]. Six d'entre eux ont été publiés en latin et annotés par Claude-Gaspard Bachet en 1621, en latin et grec et annotés par Pierre de Fermat à Toulouse en 1670 (après sa mort), et ont été traduits en français par Simon Stevin et Albert Girard en 1625 (après la mort de Stevin). Diophante s'intéresse notamment aux problèmes