La Cigale

Livre X 2 Le Renard : position inférieur + manque d’argent=nécessité de se nourrir pour  vivre mais il possède l’art de la parole => L’artiste, l’écrivain, celui qui a  besoin d’un mécène. Il appartient à la catégorie des « parasites ». Voir « La  cigale et la Fourmi».  II. V.5 à 12 : l’efficacité du discours du Renard 1) Trois caractéristiques du discours du Renard - Flatteur : le terme apparaît v.14 - Moqueur : « Vous êtes le phénix… » - Rusé : détourne son objectif (le Renard parle de l’apparence

et de laisser aller au détriment de la vérité. Désir de contenir, rationnaliser la littérature. Boileau : "Qu ne sait borner ne sait jamais écrire." Inachèvement et dialogue avec le lecteur : Visible dans n'importe quelle fable de LF. Ex : "La Cigale et la fourmi", LF ne se prononce pas, ne prend parti ni pour la ciagele paresseuse, ni pour la fourmi égoiste. Art de la suggestion. ----------------------- [1]Phrase qui reste en suspens.

difficulté supplémentaire à donner un sens au texte. En effet, la plupart des fables s’adressent plus à un public adulte, par le fait que ces textes sont souvent le reflet de la société. Ils demandent alors un regard plus intelligent. Par exemple, « la Cigale et la Fourmi » qui est produite dans le but de critiquer la société, elle invite le lecteur à prendre conscience des inégalités sociales ou encore «  les grenouilles qui demandent un roi » qui évoquent les rapports entre le peuple et son gouvernement

Fables de La Fontaine ou le renard se fait prendre son propre piges, cest notamment grce aux rcritures de fables mais aussi grce aux fables moderne quon amne le lecteur rire. Dans La cigale de Jean Anouilh qui est une rcriture de La Cigale et la Fourmi dans les Fables de La Fontaine, on fait rfrence la cigale qui est prsent comme une star qui fait les casinos et les boites de nuits, ce qui reste assez farfelu et trs drle. Ou encore dans Lcrevisse amoureuse de Jean Anouilh qui parle dune crevisse

LA FONTAINE, Fables, livre I |1. La Cigale et la Fourmi |Vit aux dépens de celui qui l'écoute : |Et moi j'y tombe, et je péris. | |La Cigale, ayant chanté |Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. " |- Ami, lui dit son camarade, | |Tout l'été,

au piège par l’araignée. Je justifie le choix de cette fable par le fait que la morale m’a plu, et qu’elle est en quelque sorte une critique du système de l’époque de La Fontaine, comme beaucoup d’autres de ses fables. * « La Cigale et la Fourmi » La Cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à

moule Laissez refroidir pendant 10 minutes Et vous obtenez un MANNHEIM Vous en pensez quoi ? bien sur ce n'est pas moi qui les écrit mais j'aime bien :) Sinon j'aime bien les poésis comme celle de Jean de la Fontaine : La Cigale et la Fourmi La Cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister

faire aussi grosse que le bœuf (exprimant la volonté d’un paysan voulant vivre comme un bourgeois par exemple). • Structure : Le premier livre des fables est un recueil composé de 22 fables en vers rimés de manières variées (par exemple dans La Cigale et La Fourmi, on passe des rimes plates jusqu'au vers 14 puis embrassées jusqu’à la fin, les vers sont organisés en heptasyllabes sauf le vers 2 avec seulement deux syllabes ; Dans Le Renard et La Cigogne, il y a une alternance dans les vers en alexandrins

fable qui oppose deux végétaux personnifiés au service d’une morale ? I- Nous allons définir les caractéristiques d’une fable. « Le chêne et le roseau » est classé dans le premier recueil où on retrouve les fables les plus connues comme : « la Cigale et la Fourmi » ; « le Corbeau et le Renard ». On a la présence de deux végétaux : un chêne et un roseau qui sont personnifiés et qui agissent comme des êtres humains. Les personnages ont deux caractères opposés : le chêne qui est le fort et le roseau

fois démonstrative,  sérieuse, et universelle. La fable veut éduquer et pour cela, elle n’hésite pas à mettre en relief, en bonne place et sans ambigüité sa morale. Contrairement à d’autres fables qui jouent davantage sur l’implicite (comme « La Cigale et la fourmi » ou bien encore « la jeune veuve ») le lecteur n’a ici pas à deviner mais juste à lire, au moment conclusif, la morale de cette histoire : cette morale se présente comme la conséquence de l’histoire précédemment narrée (« C’est ainsi